[Bio] Eduardo Belfort

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Eduardo Belfort
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Eduardo Belfort

Eduardo Belfort au Palais Provincial de Transalpie, décembre 90


Eduardo Belfort GOT MO est un homme politique frôceux né le 1er juillet 45 à Symphorien, en Transalpie.

Enfance et famille
Fils aîné de James Belfort et Teresa Lopez, Eduardo a un frère et deux soeurs. Son père est frôceux d’origine américaine et sa mère est cubaine. Celle-ci est arrivée en Frôce quelques années avant sa naissance pour fuir le régime communiste de Fidel Castro. Son père travaille comme barman et sa mère comme gouvernante dans l'hôtellerie.
Eduardo est un fervent catholique. Il est initialement baptisé dans la foi mormone puis devient baptiste et enfin catholique. Il est marié à María Ruiz, son premier amour, rencontré au lycée. Le couple a quatre enfants : Elena, Sara, Hugo et Lorenzo. Les Belfort vivent à Symphorien, en Transalpie.

Débuts en politique
Durant sa jeunesse, Eduardo milite dans des associations politiques étudiantes sur Aspen. Fondateur et dirigeant actuel de l'Agence Digitale Belfort, spécialisée en conseil et stratégie de marketing digital, il s'engage en politique en 88, en rejoignant le Mouvement Populaire pour le Développement, dont il devient brièvement député fédéral. Il s'y distingue rapidement par sa volonté de réformer en profondeur le parti agrariste. Toutefois, suite à des divergences de point de vue et à sa volonté de s'engager dans un parti plus proche de ses convictions, il quitte le MPD.

Président-fondateur du PLC (88-90)
Le 24 juillet 88, il fonde le Parti Libéral-Conservateur aux côtés de Sara Tsila-Yahudit. Il est officiellement investi Président au cours du Congrès fondateur du PLC, le 1er août 88. Conseiller municipal de Symphorien sur cette période, il succède à Robert de Saint-Jullis, après la démission de ce dernier pour raisons de santé.

Aux élections générales de 89, il est la tête des listes PLC aux élections fédérale, transalpienne et à la mairie de Symphorien. Il est réélu à la tête de la ville de Symphorien, néanmoins, il n'arrive qu'en seconde position à l'élection provinciale, tandis que l'élection fédérale est remportée par la coalition de gauche menée par le parti LE!.
Sa formation fait son entrée à l'Assemblée de Transalpie avec 37 sièges, et le PLC rejoint alors la majorité provinciale, aux côtés du MPD et de l'ADF. Eduardo Belfort entre alors au gouvernement transalpien menée par le Gouverneur Bern Wölfi du MPD, en tant que Ministre de la Police et de la Sécurité. Il mène dès lors une politique sécuritaire qu'il oriente principalement vers la lutte contre le radicalisme islamiste. Toutefois, après certaines controverses regardant le gouverneur Bern Wölfi, celui-ci démissionne en octobre 89.
Eduardo Belfort, que Bern Wölfi avait alors désigné comme son successeur, est élu à la tête de la province et devient Gouverneur de Transalpie.

Gouverneur de Transalpie (89-90)
Dès ses premières semaines au poste de Gouverneur, Eduardo Belfort se fait remarquer par des décisions controversées, notamment le décret provincial de mise sous tutelle de l'islam, tandis qu'à l'échelon locale, une montée des violences dans la ville d'Aspen, tenue par la maire Sara Tsila-Yahudit, conduit la Chancelière Ansaldi à décréter l'exil temporaire du gouvernement fédéral hors de Transalpie. S'ensuit un affront entre le gouvernement fédéral et le gouvernement transalpien, dont certains responsables dénigrent ouvertement le gouvernement fédéral, remettant en cause sa légitimité.
Malgré les efforts du Gouverneur Belfort et du Vice-Chancelier Karlsson pour mettre un terme à la crise, celle-ci atteint son paroxysme le soir du samedi 4 novembre 90 à Aspen, lorsque la maire Sara Tsila-Yahudit tente de commettre un attentat contre une mosquée, tandis que des miliciens royalistes marchent vers le Palais d'Anthelme avec l'intention de déposer l'Imperatore Vittorio. Les événements conduisent à l'imposition de l'état d'urgence fédéral sur le territoire transalpien, ainsi qu'au déploiement de la police fédérale et de la garde impériale.
Bien qu'Eduardo Belfort ait condamné l'attaque menée par Sara Tsila-Yahudit, dont il ignorait la condition mentale, la crise du 4 novembre a conduit le MPD de Transalpie à prendre ses distances avec le Gouverneur Belfort. Privé de majorité, Eduardo Belfort consacrera dès lors le reste de son mandat à un retour progressif à la normale, avec notamment la fin de l'état d'urgence sur le territoire transalpien et en soutenant l'abrogation des décisions arbitraires de Sara Tsila-Yahudit à la mairie d'Aspen.

Défaite en Transalpie et retrait de la vie politique (90)
Candidat à sa succession en Transalpie et à Symphorien, et réélu à la Présidence du PLC, il mènera à nouveau la campagne nationale du PLC aux élections générales de 90, aux côtés de Marcus Brandt et de Vincent De Salvo. Si le Parti connaît alors une percée aux municipales en conservant les villes d'Aspen et de Symphorien et remportant les villes de Chouchenn et de Farinata, la liste PLC de Transalpie, bien qu'obtenant 12 sièges supplémentaires, ne parvient pas à obtenir la prime majoritaire, qui est gagnée par la liste du MPD, menée par Arthur Lubenac. Une coalition provinciale RPL-MPD-ADF se forme, excluant le PLC, qui siège alors dans l'opposition, tandis que Christian Valmont, candidat du RPL, est élu gouverneur de Transalpie et succède ainsi à Eduardo Belfort à ce poste.

Après sa défaite, Eduardo Belfort démissionne de la présidence du PLC. Son Vice-Président, Marcus Brandt, lui succède avant que le parti ne soit repris en main par Vincent De Salvo, élu au Congrès qui suivit. Dès lors, Eduardo Belfort se concentre exclusivement sur la ville de Symphorien, à laquelle il a été réélu maire.
Il se présente à nouveau en 92 à la mairie de Symphorien. Symbole du libéral-conservatisme pour beaucoup des militants du PLC, il reçoit alors le titre de "Président d'Honneur du Parti Libéral-Conservateur". Toutefois, il perd la mairie de Symphorien au profit du RPL et après une défaite qu'il qualifie de "coup de grâce", Eduardo Belfort prend la décision de se retirer totalement de la politique nationale et locale, pour pouvoir se consacrer à sa vie de famille et à son entreprise.

  • Études
    • BNES Économique et Social, au Lycée Winston Churchill de Symphorien (63)
    • Bachelor Marketing and Business à l'Aspen School of Business (66)
    • Master en Marketing et Communication à l'Aspen School of Business (68)
  • Expériences professionnelles
    • Directeur Général chez ComNet, entreprise spécialisée dans la communication sur Internet (68 à 73)
    • Gérant de l'agence de communication MultiProjects (73 à 83)
    • Fondateur et Dirigeant de l'Agence Digitale Belfort, spécialisée en conseil et stratégie de marketing digital (depuis 83)
  • Engagements politiques
    • Militant à l'Union Frôceuse Inter-Universitaire (63 à 68)
    • Membre du Mouvement Populaire pour le Développement (88)
    • Président-Fondateur du Parti Libéral-Conservateur (88-90)
    • Président d'Honneur du Parti Libéral-Conservateur (depuis 92)
  • Distinctions et titres honorifiques
    • Chancelier Suprême du Mérite de la ville d'Aspen (90) (titre retiré)
    • Marquis d'Or du Marquisat de Norijo (90)
    • Grand-Officier de l'Ordre de Transalpie (Comme ancien Gouverneur de Transalpie) (93)

Président d'honneur du Parti Libéral-Conservateur
Député fédéral
Maire de Symphorien

Ancien Gouverneur de Transalpie
Ancien Premier Ministre de Transalpie
Ancien Président de l'Assemblée Fédérale


Biographie | Pluzin

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