La Frôce est un RPG Politique par forum, gratuit. Micronation virtuelle, vous y faites évoluer votre personnage pour accéder aux plus hautes fonctions de l'état.
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Les associations locales sont :
Mouvement des Contribuables
Association des Amis du Bunker Social
Groupe de Défense des Populations Précaires
Congrès de la Cause Animale
Alliance contre le Racisme et l'Antisémitisme
Fédération des Parents d'Elèves de Transalpie
Plus de Laïcité
Dates importantes :
- Début de campagne : Vendredi 5 octobre
- Fin de campagne : Mardi 16 octobre à 21 heures
Les messages postés avant ou après les dates d'ouverture ne comptent pas
Discours de Pascal Artois (UDC) au Mouvement des Contribuables
Chères concitoyennes,
Chers concitoyens,
Je ne pouvais faire campagne sans m’adresser à vous, contribuables de Transalpie. En effet, j’ai pris la mesure du mécontentement légitime qui traverse notre province suite à la réforme qui a détruit notre système fiscal ainsi que les principes qui le fondait: justice et humanisme ! Tout cela a disparu pour laisser place à un système inique et lourd pour les classes populaires et les classes moyennes ainsi que pour les TPPME. Un système qui met en danger la santé financière de la grande majorité des ménages et qui écrase dans l’œuf, la volonté d'entreprendre, ne peut persister.
Avec mon mouvement, nous avons - dès le début - critiqué cette réforme inhumaine, nous avons lutté contre elle, même par la rue et ce, à vos côtés. Certes, cette bataille, nous ne l'avons pas remportée. En effet, nous avons espéré que notre gouverneur était un homme d'écoute, nous avons espéré qu'il était un homme raisonnable et pragmatique, nous avons espéré qu'il était un homme attentif à ses concitoyens mais nous avons eu torts. Fort de sa majorité parlementaire, le gouverneur de notre belle province a fait passé sa réforme sans prendre en compte les demandes légitimes des Transalpiens.
Cependant, perdre une bataille ne veut pas dire que l'on a tout perdu. Perdre une simple bataille ne veut pas dire qu'il n'y a plus d'espoir. Non! L'Union de la Droite et du Centre ne rendra pas les armes. Nous ne rendrons pas les armes! Car une fiscalité juste et viable pour tous est la condition de l'épanouissement et de la prospérité de tous! Aussi, si vous nous en donnez les moyens, si vous nous faîtes confiance, nous abrogerons cette réforme injuste et absurde!
Je pourrais m'étendre sur les problèmes de cette réforme comme la suppression pure et simple de la proportionnalité; le danger qu'elle fait planer sur le chiffre d'affaires des entreprises transalpiennes - et par conséquent, sur leur survie - ou encore, la fragilisation de notre appareil fiscal que cette réforme provoque en le faisant uniquement reposer sur la consommation. Cependant, vous connaissez ces problèmes et nous ne sommes pas uniquement là pour critiquer le gouvernement précédent. Nous ne sommes pas là pour tirer sur l'ambulance. Nous sommes là pour proposer un avenir serein et juste, nous sommes là pour proposer une politique humaine et pragmatique, nous sommes là pour construire une Transalpie meilleure pour tous!
La fiscalité transalpienne d'avant la réforme était loin d'être parfaite et il est clair qu'elle demandait des améliorations afin de la rendre plus efficace et moins lourde. Si vous nous en donnez les moyens, nous améliorerons l'appareil fiscal transalpien et ce, dès la première année de notre arrivée au pouvoir. Ce sera notre première des priorités. Nous nous y engageons!
Nous rendrons la charge fiscale plus légère mais également mieux équilibrée entre consommation et travail car il est inacceptable de se faire spolier les fruits de son dur labeur sous couvert de contribuer à la société. Contribuer ne doit pas nous dépouiller.
Nous augmenterons le nombre de paliers de l'impôt sur le revenu ainsi que de la taxe professionnelle et ce, afin de renforcer la proportionnalité et donc, la justice de ces taxations. Nous ne pouvons pas accepter que le revenu net d'un citoyen s'effondre après une promotion. Nous ne pouvons pas accepter qu'une entreprise soit mise en difficulté après avoir réalisé un mois excellent. Il est impensable et inacceptable que nous continuons à sanctionner la réussite et le progrès. La réussite ne doit pas être punie.
Nous perfectionnerons la TVA afin qu'elle ne soit pas un moteur d'exclusion appauvrissant les moins nantis, notamment sur le plan culturel, mais un moteur d'inclusion encourageant l'enrichissement et le progrès pour tous. Il est impensable que la culture soit inaccessible à tous alors qu'elle est la richesse de l'Humanité. Tout individu a le droit d'accéder à la culture, a le droit de s'enrichir, d'apprendre et parfois même, de voir naître une vocation en lui. La culture doit être partagée et non pas bridée.
Nous innoverons également en mettant en place une taxe positive, une taxe qui favorisera l'économie transalpienne dans son ensemble en défavorisant légèrement les produits et services des entreprises en situation de monopole. Cette taxe nouvelle et ambitieuse permettra une concurrence saine en équilibrant le rapport de force entre TPPME et grandes entreprises. Cette taxe ne sanctionnera pas le succès et la réussite mais permettra à tous d'avoir sa chance et de redonner le goût d'entreprendre.
Voilà, le projet que nous prônons. Le projet d'une fiscalité moderne et juste, le projet d'une fiscalité qui agit en faveur d'une meilleure économie, le projet d'une fiscalité équilibrée, légère et efficace.
Ensemble, nous pouvons le faire.
Ensemble, nous ferons de notre fiscalité, un exemple pour la Frôce entière, pour le monde entier.
Ensemble, nous ferons de la Transalpie, un modèle pour tous!
Vive l'Empire, Vive la Frôce et Vive la Transalpie!
Ministre fédéral de la Protection Sociale et de la Santé - VIIè Législature
Maire de Anglès - VIIè Législature
Secrétaire Général de Alternative Démocratique Frôceuse (ADF)
Discours de Vincent De Salvo (PLC) devant la Fédération des Parents d’Elèves de Transalpie
Très chers représentants des parents d’élèves de Transalpie,
C’est un très grand honneur pour moi d’avoir l’occasion de m’exprimer devant vous au sujet de ma vision de l’enseignement scolaire en Transalpie. Comme vous le savez, j’ai réformé de manière forte ce domaine durant le deuxième mandat de Gouverneur que les transalpiens m’ont confié et qui va bientôt s’achever.
Vos enfants et vous êtes les premiers concernés par la réforme que j’ai portée. C’est pour cette raison que je tiens particulièrement à venir vous expliquer clairement les raisons qui m’ont motivées à effectuer ces changements.
Tout d’abord, je veux que vous sachiez que je prône l’école de l’excellence. Je veux une école dans laquelle tous les enfants ont les mêmes chances de réussir, quelle que soit leur classe sociale. Par le travail et le mérite.
Je considère que les enfants vont à l’école pour apprendre, se cultiver, acquérir les savoirs fondamentaux. Si l’école doit instruire aux enfants les règles de base de civisme et de bonne conduite, ce sont vous, parents, qui les éduquez et leur transmettez les valeurs qui vous sont chères.
L’école ne peut pas se substituer aux parents.
Il n’y a pas de place pour la politique et l’idéologie à l’école. En tant que Gouverneur de Transalpie, j’ai toujours été vigilant à ce que les professeurs ne dépassent pas ce que je considère comme leur domaine de compétences. Deux élèves venant de familles ayant des convictions politiques totalement opposées doivent recevoir strictement le même enseignement et le même traitement.
Je ne transigerai jamais sur cela.
Mais je veux rappeler que je respecte tous les enseignants pour leur courage et la difficulté de leur métier. Être instituteur ou professeur est une vocation. Une magnifique vocation.
Durant le mandat qui vient de s’écouler j’ai mis fin au contrôle continu à partir du début du cycle élémentaire. Je suis fondamentalement hostile à l’évaluation continue car elle crée, de principe, une école à plusieurs vitesses.
L’iniquité crée par ce style d’évaluation est insoluble. L’enseignement inculqué est propre à chaque établissement. Il y a aussi des cultures de notation différentes entre les établissements.
Le risque est aussi de se retrouver avec des diplômes équivalents mais qui ont des valeurs différentes selon l’endroit où on l’a obtenu. Ce n’est clairement pas acceptable. Lors d’une épreuve finale, un dix-huit sur vingt atteste des compétences d’un élève, qu’il vienne d’un lycée prestigieux ou d’un établissement modeste.
Nous nous devons d’être dotés de critères communs de correction et de notation si l’on veut éviter toute pression extérieure, au quotidien, sur les professeurs. Il y a aussi une «tension» supplémentaire qui peut s’installer entre ces derniers et leurs élèves.
Il y a également le fort risque d’absentéisme à partir du moment où les contrôles sont terminés, un ou deux mois avant la fin de l’année scolaire.
J’ai durci les conditions d’accès aux cycles supérieurs d’enseignement ainsi que celles des redoublements.
Ma logique est très simple. Je veux mettre fin à une spirale que je constate et qui m’inquiète profondément. Beaucoup d’élèves se retrouvent avec trop de lacunes basiques, elles les empêchent de suivre correctement les enseignements prodigués dans les collèges et les lycées.
Personne ne peut tolérer qu’un enfant entre au collège sans savoir poser une division ou en faisant cinquante fautes d’orthographe à chaque dictée.
Laisser faire cela est néfaste pour ces enfants, il faut leur permettre d’enregistrer les savoirs qui leur seront utiles toute leur vie.
Je veux lutter coûte que coûte contre l’affaiblissement du niveau scolaire, ce n’est pas une fatalité et je suis persuadé que si on veut l’école de l’excellence, on peut l’obtenir.
L’obtention du BNES a une grande place dans ma réforme. La suppression des modules et la mise en place des sections S, ES, L et STG ont été décidées dans un but d’équité entre chacun.
Il y avait une disparité logique et cruelle entre chaque établissement. Pas tous ne peuvent fournir le même enseignement de chaque module au vu de leur multiplicité.
Avoir des sections différentes mais déterminées, qui enseignent de façon commune à tous les étudiants qui les ont choisies est la bonne solution. Cela permet de leur donner les mêmes chances de réussite et de fixer un cap clair à chaque établissement. Cela permet aussi aux élèves de ne pas mettre de côté des matières qui pourraient les intéresser.
C’est un système équilibré entre l’approche anglo-saxonne qui est véritablement un lycée à la carte et un système à l’italienne, dans lequel tous les étudiants suivent scrupuleusement les mêmes enseignements avant les études supérieures.
L’école est une base fondamentale de toute vie active. J’espère avoir pu vous convaincre de mon investissement dans ce domaine. J’y accorderai toujours une importance capitale.
Chaque décision qui a été prise, l’a été en pensant uniquement à l’intérêt des étudiants. Et ce sera de même dans le futur, si mes administrés me renouvellent leur confiance.
Vive l’école !
Vive la Transalpie !
Et vive la Frôce !
Discours de Romane Macé (LGU) devant l'association des parents d'élèves de Transalpie
Très chers parents d'élèves,
Je vais commencer ce discours par une question que je pense, tous les parents se sont posée: Qu'est ce qu'un bon parents?
Je tiens à vous rassurer en vous rappelant qu'il n'y a pas de parents parfaits!
Un bon parent, c'est quelqu'un qui donne, et/ou veut donner le meilleur pour ses enfants. Cela passe par le fait de prendre du temps, de ramener le meilleur pour nos enfants. Le souhait de tout parent, c'est que nos enfants aient le meilleur avenir possible. Mais ce souhait n'est pas forcément celui d'un papa et d'une maman, mais il peut-être celui de deux mamans, de deux papas, d'une maman, d'un papa: tout le monde a le droit d'être parent!
Ensuite, j'aimerai vous parler de ma vision de l'école. Je ne vois pas forcément l'école comme une usine, où l'excellence et le mérite règnent, mais je la vois plutôt comme un lieu, fait pour nos enfants, où ils peuvent se forger un esprit critique, une bonne culture générale, se faire des amis ou bien des amours, car la jeunesse évolue,la mixité sociale est importante, mais l'égalité des chances n'attends pas! Quiconque étudiant en Transalpie, doit avoir les mêmes droits, qu'il étudie à Chouchenn et à Vauxin, à Hofbach et Aspen!
Maintenant, je vais me spécialiser sur l'enseignement dans le secondaire: en effet, la réforme de M. De Salvo n'est pas bonne, pas bonne du tout. En effet, ces modules permettaient aux lycéens de choisir leur module, en fonction de ce qui leur plaît, et non ce qui est supposé leur plaire! Et si c'est pour dégoûter les enfants des études, à quoi ça sert! Même la France, ce pays avec des conservateurs au pouvoir, a adopté ce changement! Pourquoi revenir en arrière? Il n'y a strictement aucune logique! Par conséquent, comme vous l'avez sans doute compris, si je suis élue, je remetterai à l'ordre du jour ces modules, avant qu'il ne soit trop tard!
Puis, concernant l'école primaire, je pense que notre école doit s'inspirer par exemple de méthodes innovantes, tel que la méthode Montessori, qui à notamment fait ses preuves en Septimanie, et j'estime, que notre belle province de Transalpie à les capacités pour devenir une pionnière en cette matière!
Enfin, j'aimerai vous parler de l'inclusion des élèves handicapés, car aujourd'hui, ceux ci ne sont pas ou peu intégrés... On ne va pas forcé vos enfants à les avoir en ami, on ne force pas des sentiments, mais quand je vois des moqueries à laquelle ces enfants sont sujets, cela est lamentable! Mettre ces enfants dans des classes "normales" vont les rassurer, et cela deviendra normal, car se sera une habitude.
