Re: Appartement d'Eliott Marshall - 91 rue Montredon
Posté : 17 nov. 2017, 22:10
Eliott aimait beaucoup taquiner Victor et prenait un réel plaisir à le faire tourner en bourrique. Il avait mal aux abdominaux à force de rire.
Comment tu rentres ? rire Tu veux savoir comment tu rentres, toi Victor Karlsson ? rire Mais qui t'as dit que tu allais rentrer dans cet état toi hein ? rire
Quand Victor prit un air très contrarié, Eliott fit la mou.
Rooh ... Boude pas, je vais te les rendre ! Tiens !
Eliott lui tendit les clés et alors que Victor était en train de s'avancer vers lui, il les éloigna de nouveau en éclatant de rire. Il se trémoussait sous l'effet des chatouilles de Victor tout en essayant de conserver les clés hors de portée.
Quand Victor se jeta sur lui, Eliott s'interrompit de rire brusquement. Pendant ce long silence, son sourire s'effaça progressivement. Il sentit son ventre se nouer et le rythme de son cœur s'accélérer. Il eu du mal à comprendre ce qui lui arrivait ... Il n'avait jamais ressenti cela pour un autre homme. Alors que les lèvres de Victor se rapprochaient, Eliott fit tomber les clés dans l'indifférence générale.
Lorsque Victor posa ses lèvres sur les siennes, Eliott ferma les yeux pour se laisser entraîner par cette sensation particulièrement agréable. Il ne s'était jamais senti aussi bien avec un autre homme. Tout semblait avoir disparu, rien ne comptait pour lui. Rien, si ce n'est Victor.
Eliott entreprit alors de caresser doucement le dos et la nuque de Victor. Il ne parvint pas à réaliser ce qui était en train de se produire mais tout lui semblait tellement parfait et surréaliste. Plus rien n'avait d'importance.
Eliott rompit le baiser délicatement et ouvrit de nouveau les yeux. Ses joues s'étaient empourprées et ses yeux brillaient. Il embrassa Victor dans le cou avant de lui murmurer à l'oreille.
J'ai envie de toi.
Comment tu rentres ? rire Tu veux savoir comment tu rentres, toi Victor Karlsson ? rire Mais qui t'as dit que tu allais rentrer dans cet état toi hein ? rire
Quand Victor prit un air très contrarié, Eliott fit la mou.
Rooh ... Boude pas, je vais te les rendre ! Tiens !
Eliott lui tendit les clés et alors que Victor était en train de s'avancer vers lui, il les éloigna de nouveau en éclatant de rire. Il se trémoussait sous l'effet des chatouilles de Victor tout en essayant de conserver les clés hors de portée.
Quand Victor se jeta sur lui, Eliott s'interrompit de rire brusquement. Pendant ce long silence, son sourire s'effaça progressivement. Il sentit son ventre se nouer et le rythme de son cœur s'accélérer. Il eu du mal à comprendre ce qui lui arrivait ... Il n'avait jamais ressenti cela pour un autre homme. Alors que les lèvres de Victor se rapprochaient, Eliott fit tomber les clés dans l'indifférence générale.
Lorsque Victor posa ses lèvres sur les siennes, Eliott ferma les yeux pour se laisser entraîner par cette sensation particulièrement agréable. Il ne s'était jamais senti aussi bien avec un autre homme. Tout semblait avoir disparu, rien ne comptait pour lui. Rien, si ce n'est Victor.
Eliott entreprit alors de caresser doucement le dos et la nuque de Victor. Il ne parvint pas à réaliser ce qui était en train de se produire mais tout lui semblait tellement parfait et surréaliste. Plus rien n'avait d'importance.
Eliott rompit le baiser délicatement et ouvrit de nouveau les yeux. Ses joues s'étaient empourprées et ses yeux brillaient. Il embrassa Victor dans le cou avant de lui murmurer à l'oreille.
J'ai envie de toi.