[Bio] Sara Tsila-Yahudit

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Sara Tsila-Yahudit
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Sara Tsila-Yahudit

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Sara Tzipi Danae Tsila-Yahudit, de son nom courant Sara Tsila-Yahudit, est une femme politique et avocate pénale de nationalités frôceuse et israélienne née le 15 mai 56 à Kiryat Shmona (Israël) et décédée le 4 novembre 90 à Aspen (Transalpie).

Généalogie
Sara est la petite-fille de Mo’she Tsila Gorgenheim † (-22-59), Grand Rabbin d’Aspen entre 32 et 41 et la fille de Aaron Tsila, diplomate israélien, et de Margarita Benayoun, écrivaine israélo-frôceuse.

Sa mère Margarita est la sœur de l’essayiste et philosophe israélo-frôceux Sacha-Herschel Benayoun † (8-78). Elle est donc la cousine de Marie-Lou Benayoun † (32-60), journaliste et activiste sioniste frôceuse, la fille de Sacha-Herschel.

Vie privée
Elle épouse en 74 Shmariyahu Yahudit, homme d’affaires israélo-frôceux ayant fait fortune dans le commerce de kippah, également cousin germain de l’ancien activiste sioniste Shmariyahu Ehrenkrantz. De cette union sont nés ses enfants Logan Yahudit en 75 et Tsipi Yahudit en 82.

Le couple établit sa résidence principale à Aspen, dans le quartier de Montebello.

Fortune personnelle et patrimoine
Selon le magazine « La Croissance », la fortune personnelle de Sara Tsila-Yahudit s’élevait à 12,8 millions de Pluzins fin 2016. Celle de son mari Shmariyahu est estime à 35 millions de Pluzins.

Sara est personnellement propriétaire d’une villa à Beer-Sheva (Israël), d’un complexe touristique à Cadria (Tyrsènie) et de 3 appartements dans le centre-ville d’Aspen. On la dit également amatrice de livres anciens, elle posséderait environ 5 000 ouvrages de valeur.

Engagement politique
Elle est engagée depuis 88 au sein du Parti Libéral-Conservateur, dont elle prend la vice-présidence en août 88 suite au congrès fondateur du parti.

Elle a milité, durant son adolescence, à l’Union Représentative des Juifs de Frôce, créée par sa cousine Marie-Lou Benayoun.

En septembre 89, elle est élue maire d'Aspen après une victoire qui s'est jouée à quelques dizaines de voix face à la candidate du MESS Anne-Lise Martin. Elle est également élue députée fédérale du PLC, qui fait alors son entrée à l'Assemblée Fédérale.

Mandat à la mairie d'Aspen
Élue en septembre 89 à la mairie d'Aspen, traditionnellement acquise à la droite radicale, elle devient rapidement une des figures de l'opposition au gouvernement fédéral écologiste. Elle instaure dès les premières semaines de son mandat des mesures en faveur de la communauté juive d'Aspen, notamment par des investissements dans des constructions de synagogue et les subventions d'établissements culturels liés à la communauté israélite.

Elle durcit sa politique après l'attentat du 1er octobre à la gare Saint-Charles, et commence à se faire remarquer par des arrêtés controversés pris à l'encontre des frôceux originaires d'Antsiranana, des résidents étrangers et de la communauté musulmane. Sous sa gouvernance, la mairie d'Aspen instaure le "certificat de non-musulmanie" et met en place des primes de départ censées encourager l'émigration des aspinois de confession musulmane. Elle s'oppose également avec virulence aux manifestations de soutien et aux donations à l'Antsiranana lors de la crise de peste de 89.

Son fait le plus marquant concernera son action dans le bras de fer qui oppose les autorités locales transalpiennes et le gouvernement fédéral d'alors. Début novembre 90, elle est accusée d'avoir commandité les violences policières à l'encontre d'Anne-Lise Martin, sa principale opposante à la mairie d'Aspen, fait qui conduit le gouvernement fédéral à déplacer son siège à l'extérieur de la capitale fédérale.
Ne cachant plus son hostilité au gouvernement fédéral, elle fit promulguer peu de temps après un arrêté interdisant de revendiquer l'appartenance aux principaux partis de la coalition gouvernementale.

Chute et mort
Après ce qu'elle considére comme une "fuite" et une "démission", Sara Tsila-Yahudit déclare ouvertement ne plus reconnaître l'autorité de la Chancelière Suprême Alessandra Ansaldi, ce qu'il lui vaudra d'être poursuivi pour trahison, le 4 novembre 90.
Ayant échappé à l'arrestation, elle commet un attentat dans une mosquée d'Aspen avant de s'immoler par le feu.
L'enquête qui suivit l'attentat révélera qu'elle était atteinte de graves troubles mentaux qui aurait dû justifier son internement, mais qu'elle parvint à dissimuler à son entourage.

Après son décès, son action comme maire d'Aspen et notamment son comportement lors du 4 novembre fut unanimement condamné par la classe politique frôceuse. Si la mairie revient par la suite à l'un des collaborateurs de Tsila-Yahudit, Sebastian Braun, ce dernier s'emploiera toutefois à l'abrogation de l'ensemble des arrêtés de l'ère Tsila-Yahudit.

  • Études
    • BNES Littéraire, au Lycée israélite d’Aspen (74)
    • Licence de Droit, spé. Droit pénal et Affaires criminelles, à l’Université d’Aspen IV (77)
    • Master de Droit pénal et Sciences criminelles, à l’Université d’Aspen IV (79)
    • Doctorat en Sciences juridiques (thèse : l’Animus Mecandi), à l’Université d’Aspen IV (83)
  • Expériences professionnelles
    • Clerc d’avocat stagiaire à Hertz & Fils - Aspen (75-76)
    • Clerc d’avocat stagiaire à Mozref & Associés - Aspen (77)
    • Greffière stagiaire au Palais de Justice de Transalpie - Aspen (78-79)
    • Clerc d’avocat au Cabinet d’avocats Benayoun – Aspen (80-83)
    • Avocate en Droit pénal au Cabinet d’avocats Tsila-Yahudit (84-90)
  • Engagements politiques
    • Trésorière de l’URJF (74-75)
    • Vice-présidente du Parti Libéral-Conservateur (88-90)
  • Fonctions législatives
  • Fonctions locales
    • Maire de la ville d'Aspen (89-90)
    • Ministre de Transalpie en charge de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche - Cabinet Belfort I (89-90)
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