Frôce - Micronation virtuelle - RPG Politique

Monsieur le Président de l'Assemblée Fédérale,
Monsieur le Chancelier,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Députés,

Ma question s'adresse à Victor Karlsson, Chancelier Suprême.

En tant que Député Fédéral et Gouverneur d'Antsiranana, je souhaite vous alerter sur le comportement d'un de vos Ministre, Monsieur Jean Bournay. En tant que Ministre de votre Gouvernement Fédéral, nous attendons de lui un comportement différent.

Quand nous entendons de sa bouche la réaction suite aux graves incidents à l’usine Pegaso d’Aspen en Transalpie suivante : "La seule solution n'est pas de garder le patron mais de le déloger et de collectiviser !". Je vous pose la question : est-ce que le Gouvernement défend toujours un état de droit ?

Il a également tenu le commentaire suivant en parlant de ma province : "Il est temps de mettre fin à un Empire Colonial insupportable qui ruine toute une province, mise à genoux, alors qu'elle peut rayonner à travers le monde comme un modèle d'avenir si elle se libère.". Comment pouvez-vous accepter qu'un de vos ministre tienne ces propos alors que vous êtes au pouvoir depuis plusieurs années ? Souhaites-il exacerber les tensions ?

Un autre point m'embête également, est-ce que vous tenez réellement en main votre Gouvernement ? Monsieur Bournay est-il devenu l'homme à tout faire du Gouvernement ? Nous avons l'impression qu'il s'occupe des affaires institutionnelles, de la coopération interprovinciale et de la santé.

Rires chez les députés RPL

Monsieur le Chancelier Suprême, nous avons pris quelques exemples. Vous devez en avoir certaienement d'autres. Je vous demande de remettre de l'ordre dans votre Gouvernement et d'arrêter ses élans communistes. La Frôce n'est pas un régime communiste et ne le sera jamais. Nous sommes un état de droit, un état de libertés et un état où chacun a le droit de pouvoir entreprendre librement et sans pression.

Bournay démission !

Je vous remercie.

Applaudissements dans les rangs du FCF, celui pointé du doigt à qui on a même pas demandé l'avis, saluant la foule qui l'applaudie, tout souriant.

Monsieur le Président de l’Assemblée Fédérale
Mesdames et Messieurs les députés
Ma Question d’adresse à Monsieur le Chancelier Suprême

Sa jeunesse avait un joli visage, son âge avait une belle âme. Il s’appelait Hugo Simoni, il avait 32 ans. Il était ouvrier dans l’usine Pegaso à Aspen et c’est dans cette tragique journée du 28 mai qu’il a mit fin a ses jours. C'est un jeune homme, il avait encore du temps devant lui mais il en a été décidé autrement.

Je ne parlerai pas ici du problème sur le nombre d'heures qu'il effectuait par semaines ou de ses conditions de travail car cela dépasse de mes compétences de Député Fédéral, mais je voudrai vous parlez de la reconnaissance du Burn out, ou autrement dit le syndrome d'épuisement professionnel.

Ce problème est si courant dans le monde de l'entreprise, qu'il en ronge son fonctionnement correct, et pousse des milliers de personnes à se donner la mort.
Pour éviter d'autres drames, pour éviter que d'autres personnes passent à l'acte et qu'ils puissent se rétablir, je vous pose la question monsieur le Chancelier Suprême, qu'est ce que le gouvernement a l'intention de faire ?

12/06/093 - Question du groupe ADF

Monsieur le Président de l’Assemblée Fédérale
Mesdames et Messieurs les députés
Ma Question d’adresse à Monsieur le Chancelier Suprême

Ils sont 629... 629 migrants sur un navire humanitaire par l’ONG SOS Méditerranée aujourd'hui à naviguer en direction de l'Espagne, après que la République italienne ait refusé d'accueillir ce navire à la suite de la mise en application des promesses de campagne engagée par le nouveau gouvernement italien.

Pour dire "non" au traité européen de Dublin et montrer son mécontentement à ses partenaires, l'Italie aujourd'hui se soustrait à ses obligations internationales. L'Espagne a manifesté sa capacité à accueillir le navire après le refus italien. Toutefois, entre l'Italie et l'Espagne, il y a nous, la Frôce.
Dans un navire qui ne peut normalement qu'accueillir 500 personnes, les 629 migrants et l'équipage sont aujourd'hui en proie à tous dangers éventuels. Devons-nous aujourd'hui attendre qu'un accident arrive dans les eaux territoriales frôceuses ?
Pourquoi la Frôce, qui est plus proche que l'Espagne, n'accepterait elle pas d'accueillir le navire humanitaire au sein de l'un de ses ports? Je pense notamment à ceux de Tyrsènie ?
Je profite de ma question pour féliciter le gouvernement fédéral et l'ambasseur frôceux à l'ONU pour leur action dans l'élection de la Frôce au conseil de sécurité de l'ONU. Toutefois, la communauté internationale ne pourrait tolérer aujourd'hui, à l'heure où la Frôce tient désormais ce rôle au conseil de sécurité, un silence face à la situation humanitaire en Méditerranée.

Je vous remercie.