Visite de la Galerie des Offices - Provinciale 88
Posté : 10 juil. 2017, 23:22
Ce lundi matin, Léo Dowranl s'est rendu à la Galerie des Offices d'Assolac avec son camarade Teodore Lazarsky. Il a pu observer la collections des toiles de grands maîtres de la Renaissance de la galerie, notamment La Naissance de Vénus et Le Printemps de Botticelli et L'Annonciation de Léonard de Vinci. Teodore lui présenta galerie des grands hommes toscans et lui parla longuement des tableaux de Cimabue et de Piero della Francesca.
Au sortir du Musée, des journalistes accostèrent les deux hommes.
- Que comptez-vous faire pour la culture dans la province de Tyrsènie ?
- Je pense que l'une des priorités est de rendre visible ce magnifique patrimoine de notre province, notamment auprès des plus jeunes pour qu'ils aient une véritable éducation artistique. C'est pour ça que non seulement, il y aura la gratuité des musées et autres lieux culturels, comme le musée de l'Histoire de la science, le palais Abatellis à Gagliano, tous les dimanches. J'aimerais aussi augmenter les fréquentation de publics scolaires et des EPHAD dans les établissements culturels, pour éviter l'isolement de nos anciens et permettre comme je l'ai dis une véritable éducation artistique, mais pour tous, car comme tous les enfants vont à l'école, c'est par elle que la culture devient universelle.
- Vous parlez ici de grandes villes, et pour les agglomérations rurales allez-vous les oublier ?
- Bien sûr que non. Quand je dis ouvrir à la culture, cette ouverture n'est pas que générationnelle, elle est aussi géographique. Je suis sûr que si nous faisons un appel d'offre pour construire par exemple un musée sur les anciennes techniques du travail paysans, nous trouverons des volontaires. Mais au-delà cela, pour éviter la concentration de la culture et permettre sa plus large diffusion, il ne faut pas penser qu'aux muséeq. Vous savez, musée, c'est un mot grec qui vient de muse, et les muses sont les déesses des arts. Aussi, il faut mettre les associations au cœur de l’action culturelle sur tout le territoire de Tyrsènie. On a des associations d'enseignement de la musique, de pratique de l'écriture, de photographie, etc... Il faut leur permettre de vivre et faire vivre nos campagnes et soutenir l'implantation de structure culturel et sportif dans les petites communes par exemple en renforçant les aides aux salles indépendantes de concert, de cinéma, aux petits commerces culturels indépendants en encadrant les loyers, en donnant des autorisations d'évènements plus facilement ou en facilitant leurs évènements. Je pense par exemple aux concerts, on pourrait se montrer plus tolérant, ou plus prévoyant en ce qui concerne le risque de tapage sonore.
- Mais tout ceci va coûter très cher. Vous n'avez pas peur de plomber le budget de la province ?
- Cela aura un coût, et pour éviter que cela ne devienne trop important, j'aimerais, pour protéger notre art et notre patrimoine, intégrer les œuvres d’art dans l'impôt sur la fortune, et intégrer les revenus tirés de leur vente dans l'Impôt sur le revenu.
Ceci dit, l'un des journalistes se tourna vers Théodore pour lui poser des questions sur son programme pour Assolac concernant la culture.
Au sortir du Musée, des journalistes accostèrent les deux hommes.
- Que comptez-vous faire pour la culture dans la province de Tyrsènie ?
- Je pense que l'une des priorités est de rendre visible ce magnifique patrimoine de notre province, notamment auprès des plus jeunes pour qu'ils aient une véritable éducation artistique. C'est pour ça que non seulement, il y aura la gratuité des musées et autres lieux culturels, comme le musée de l'Histoire de la science, le palais Abatellis à Gagliano, tous les dimanches. J'aimerais aussi augmenter les fréquentation de publics scolaires et des EPHAD dans les établissements culturels, pour éviter l'isolement de nos anciens et permettre comme je l'ai dis une véritable éducation artistique, mais pour tous, car comme tous les enfants vont à l'école, c'est par elle que la culture devient universelle.
- Vous parlez ici de grandes villes, et pour les agglomérations rurales allez-vous les oublier ?
- Bien sûr que non. Quand je dis ouvrir à la culture, cette ouverture n'est pas que générationnelle, elle est aussi géographique. Je suis sûr que si nous faisons un appel d'offre pour construire par exemple un musée sur les anciennes techniques du travail paysans, nous trouverons des volontaires. Mais au-delà cela, pour éviter la concentration de la culture et permettre sa plus large diffusion, il ne faut pas penser qu'aux muséeq. Vous savez, musée, c'est un mot grec qui vient de muse, et les muses sont les déesses des arts. Aussi, il faut mettre les associations au cœur de l’action culturelle sur tout le territoire de Tyrsènie. On a des associations d'enseignement de la musique, de pratique de l'écriture, de photographie, etc... Il faut leur permettre de vivre et faire vivre nos campagnes et soutenir l'implantation de structure culturel et sportif dans les petites communes par exemple en renforçant les aides aux salles indépendantes de concert, de cinéma, aux petits commerces culturels indépendants en encadrant les loyers, en donnant des autorisations d'évènements plus facilement ou en facilitant leurs évènements. Je pense par exemple aux concerts, on pourrait se montrer plus tolérant, ou plus prévoyant en ce qui concerne le risque de tapage sonore.
- Mais tout ceci va coûter très cher. Vous n'avez pas peur de plomber le budget de la province ?
- Cela aura un coût, et pour éviter que cela ne devienne trop important, j'aimerais, pour protéger notre art et notre patrimoine, intégrer les œuvres d’art dans l'impôt sur la fortune, et intégrer les revenus tirés de leur vente dans l'Impôt sur le revenu.
Ceci dit, l'un des journalistes se tourna vers Théodore pour lui poser des questions sur son programme pour Assolac concernant la culture.