Mesdames, Messieurs les Ministres,
Nous allons procéder au vote sur la loi sur la reconnaissance du burn-out, soumis par le Gouvernement Fédéral :
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Loi fédérale portant à reconnaissance et prise en charge de l'épuisement professionnel
Titre 1 : De la définition de l'épuisement professionnel
Article 101 .-
Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out est défini comme une psychopathologie survenant en conséquence de facteurs issus du milieu professionnel, et est reconnu à ce titre comme maladie du travail.
Article 102 .-
Le syndrome d’épuisement professionnel résulte le plus souvent de la combinaison des différents facteurs ci-définis :
- Facteurs individuels (attentes élevées, implications, dispositions, âge, contexte social et familial, etc)
- Facteurs interindividuels ou organisationnels (conflits, agressions, surcharge de travail, conflits de rôle, insécurité, etc)
- Facteurs suggérant que l’on est dans un système impersonnel, déshumanisant (manque de participation aux décisions, de reconnaissance, pressions exercées par la hiérarchie et l'entourage professionnel, etc)
- Facteurs suggérant que l’on est peu apprécié, peu efficace (surcharge qualitative, peu d’opportunité d’exercer ses compétences, ambiguïté de rôle, etc)
Article 103 .-
Les conséquences reconnues du syndrome d’épuisement professionnel sont :
- Les conséquences individuelles (troubles pathologiques, physiques, etc)
- Les conséquences relationnelles et interindividuelles (conflit, divorces, etc)
- Les conséquences professionnelles et organisationnelles (absentéisme, fautes d'inattention, etc)
Les symptômes du burn-out peuvent être comportementaux, tels que l’irritabilité, la perte d’énergie, la colère, l’incapacité à faire face aux tensions, un manque d’attention, l’impatience et le manque de motivation.
Au niveau physique, le burn-out peut entraîner des signes somatiques : rhume, maux de ventre, nausées, migraines chroniques, etc…
Au niveau psychologique, il peut entraîner peut entraîner une perte d’estime de soi, un état de tristesse pouvant aller jusqu'à des troubles dépressifs majeurs, un état d’anxiété, des insomnies, perte d'appétit et des troubles de l'attention et de la concentration.
Titre 2 : De la prise en charge de l'épuisement professionnel
Article 201 .-
L’épuisement professionnel, ou burn-out, est reconnue comme maladie professionnelle.
Tout professionnel de santé peut diagnostiquer un épuisement professionnel conformément à la définition non exhaustive de la présente loi et à l’état de la recherche à ce sujet.
Tout professionnel de santé peut poser un diagnostic d'épuisement professionnel sur la base de symptômes et de circonstances extérieurs à la définition apportée par la présente loi à condition de recevoir un second avis concordant d'au moins deux autres professionnels de la santé, de psychiatrie ou de médecine du travail.
Article 202 .-
Tout diagnostic d’épuisement professionnel peut donner droit à un arrêt de travail, dont la durée et le renouvellement est laissé à la souveraine prescription du professionnel de santé, dont le cadre légal s'inscrit dans la législation provinciale.
Le professionnel de santé pourra également prescrire un suivi psychologique, pris en charge à 100% par la protection sociale.
Article 203 .-
Toute entreprises ou administration de la fonction publique doit prendre les mesures nécessaires pour faciliter et pérenniser le retour et la réhabilitation dans son poste ou un autre poste au moins équivalent (avec accord) de l’intéressé. A défaut, l’intéresser pourra recourir aux prud’hommes qui statuera sur les mesures sincères et réelles apportées par l’entreprise.
Article 204 .-
La décision des prud’hommes peut donner droit au versement par l’entreprise d’une somme allant jusqu’à 3 millions de pluzins, s’ajoutant à la réparation des préjudices pour l’employé.
Les droits aux chômages et une aide à la réinsertion est garantie aux employés, tels que les prévoient les législations provinciales.
Article 205 .-
L'intéressé bénéficie d'une semaine de congé payé durant l'année de son diagnostic. Il bénéficie également d'une semaine de congé payé supplémentaire par an, les deux premières années suivant le diagnostic, avec possibilité de renouvellement par un professionnel de santé.
Un travailleur s'étant vu diagnostiqué un syndrome d'épuisement professionnel devra avoir une rémunération garantie d'au moins 115% du SMC horaire et bénéficiera d'un temps de travail diminué de 15 à 30% selon l'avis du médecin du travail.
Fait à Aspen,
Le XX/XX/XXX
Article 101 .-
Le syndrome d’épuisement professionnel ou burn-out est défini comme une psychopathologie survenant en conséquence de facteurs issus du milieu professionnel, et est reconnu à ce titre comme maladie du travail.
Article 102 .-
Le syndrome d’épuisement professionnel résulte le plus souvent de la combinaison des différents facteurs ci-définis :
- Facteurs individuels (attentes élevées, implications, dispositions, âge, contexte social et familial, etc)
- Facteurs interindividuels ou organisationnels (conflits, agressions, surcharge de travail, conflits de rôle, insécurité, etc)
- Facteurs suggérant que l’on est dans un système impersonnel, déshumanisant (manque de participation aux décisions, de reconnaissance, pressions exercées par la hiérarchie et l'entourage professionnel, etc)
- Facteurs suggérant que l’on est peu apprécié, peu efficace (surcharge qualitative, peu d’opportunité d’exercer ses compétences, ambiguïté de rôle, etc)
Article 103 .-
Les conséquences reconnues du syndrome d’épuisement professionnel sont :
- Les conséquences individuelles (troubles pathologiques, physiques, etc)
- Les conséquences relationnelles et interindividuelles (conflit, divorces, etc)
- Les conséquences professionnelles et organisationnelles (absentéisme, fautes d'inattention, etc)
Les symptômes du burn-out peuvent être comportementaux, tels que l’irritabilité, la perte d’énergie, la colère, l’incapacité à faire face aux tensions, un manque d’attention, l’impatience et le manque de motivation.
Au niveau physique, le burn-out peut entraîner des signes somatiques : rhume, maux de ventre, nausées, migraines chroniques, etc…
Au niveau psychologique, il peut entraîner peut entraîner une perte d’estime de soi, un état de tristesse pouvant aller jusqu'à des troubles dépressifs majeurs, un état d’anxiété, des insomnies, perte d'appétit et des troubles de l'attention et de la concentration.
Titre 2 : De la prise en charge de l'épuisement professionnel
Article 201 .-
L’épuisement professionnel, ou burn-out, est reconnue comme maladie professionnelle.
Tout professionnel de santé peut diagnostiquer un épuisement professionnel conformément à la définition non exhaustive de la présente loi et à l’état de la recherche à ce sujet.
Tout professionnel de santé peut poser un diagnostic d'épuisement professionnel sur la base de symptômes et de circonstances extérieurs à la définition apportée par la présente loi à condition de recevoir un second avis concordant d'au moins deux autres professionnels de la santé, de psychiatrie ou de médecine du travail.
Article 202 .-
Tout diagnostic d’épuisement professionnel peut donner droit à un arrêt de travail, dont la durée et le renouvellement est laissé à la souveraine prescription du professionnel de santé, dont le cadre légal s'inscrit dans la législation provinciale.
Le professionnel de santé pourra également prescrire un suivi psychologique, pris en charge à 100% par la protection sociale.
Article 203 .-
Toute entreprises ou administration de la fonction publique doit prendre les mesures nécessaires pour faciliter et pérenniser le retour et la réhabilitation dans son poste ou un autre poste au moins équivalent (avec accord) de l’intéressé. A défaut, l’intéresser pourra recourir aux prud’hommes qui statuera sur les mesures sincères et réelles apportées par l’entreprise.
Article 204 .-
La décision des prud’hommes peut donner droit au versement par l’entreprise d’une somme allant jusqu’à 3 millions de pluzins, s’ajoutant à la réparation des préjudices pour l’employé.
Les droits aux chômages et une aide à la réinsertion est garantie aux employés, tels que les prévoient les législations provinciales.
Article 205 .-
L'intéressé bénéficie d'une semaine de congé payé durant l'année de son diagnostic. Il bénéficie également d'une semaine de congé payé supplémentaire par an, les deux premières années suivant le diagnostic, avec possibilité de renouvellement par un professionnel de santé.
Un travailleur s'étant vu diagnostiqué un syndrome d'épuisement professionnel devra avoir une rémunération garantie d'au moins 115% du SMC horaire et bénéficiera d'un temps de travail diminué de 15 à 30% selon l'avis du médecin du travail.
Fait à Aspen,
Le XX/XX/XXX
Gabriel Von Bertha
Député fédéral
Jean Bournay
Ministre Fédéral de la Protection Social et de la Santé
Victor Karlsson
Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar
Député fédéral
Jean Bournay
Ministre Fédéral de la Protection Social et de la Santé
Victor Karlsson
Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar
Voici les choix possibles :
- POUR
- CONTRE
- BLANC
La répartition est à exprimer en NOMBRE DE VOIX (ceux exprimés en pourcentage ne seront pas comptabilisés). Le panachage est possible.
Rappel de la répartition des sièges :
CUL : 42 sièges
MAMA : 80 sièges
UPP : 126 sièges
ADF : 8 sièges
RPL : 9 sièges
PAS : 59 sièges
LR : 5 sièges
PLC : 24 sièges
FCF : 11 sièges
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