Siège national du Bunker Social
Posté : 06 mai 2018, 10:04
6 mai 93, 18h30
L'accueil au Bunker Social avait mobilisé plusieurs centaines de personnes qui avaient convergé devant le bâtiment très bien gardé. Le mot d'ordre était un accueil festif marqué du sceau de l'ironie au nouveau fleuron de l'extrême-droite.
Les manifestants réunis à l'appel du collectif "Vivre Ensemble en Catalogne" tambourinaient sur les casseroles et s'époumonaient avec les sifflets.
Pastelac étant également le siège de l'Union Pour le Progrès, de nombreux militants socialistes avec les drapeaux du parti étaient présents.
Julien avait fait venir la fanfare municipale d'Etchegorda qui enchaînait les morceaux festifs et notamment Bella Ciao , un hymne revenu à la mode que tout le monde reprenait en chœur.
Des banderoles affichaient des slogans antifascistes et étaient accrochés sur les bâtiments qui faisaient face au siège du Bunker Social. Julien se saisit d'un mégaphone.
Et l'extrême-droite on en veut pas !
Son slogan fut repris par les manifestants qui le scandèrent.
Et l'extrême-droite on en veut pas ! Et l'extrême-droite on en veut pas ! Et l'extrême-droite on en veut pas !
Siamo tutti antifascisti ! Siamo tutti antifascisti !
Pastelac déteste les fascistes ! Pastelac déteste les fascistes !
L'ambiance était festive et plutôt calme, Julien était fier de son coup.
L'accueil au Bunker Social avait mobilisé plusieurs centaines de personnes qui avaient convergé devant le bâtiment très bien gardé. Le mot d'ordre était un accueil festif marqué du sceau de l'ironie au nouveau fleuron de l'extrême-droite.
Les manifestants réunis à l'appel du collectif "Vivre Ensemble en Catalogne" tambourinaient sur les casseroles et s'époumonaient avec les sifflets.
Pastelac étant également le siège de l'Union Pour le Progrès, de nombreux militants socialistes avec les drapeaux du parti étaient présents.
Julien avait fait venir la fanfare municipale d'Etchegorda qui enchaînait les morceaux festifs et notamment Bella Ciao , un hymne revenu à la mode que tout le monde reprenait en chœur.
Des banderoles affichaient des slogans antifascistes et étaient accrochés sur les bâtiments qui faisaient face au siège du Bunker Social. Julien se saisit d'un mégaphone.
Et l'extrême-droite on en veut pas !
Son slogan fut repris par les manifestants qui le scandèrent.
Et l'extrême-droite on en veut pas ! Et l'extrême-droite on en veut pas ! Et l'extrême-droite on en veut pas !
Siamo tutti antifascisti ! Siamo tutti antifascisti !
Pastelac déteste les fascistes ! Pastelac déteste les fascistes !
L'ambiance était festive et plutôt calme, Julien était fier de son coup.