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AIF - 02/11/090
Aspen - Anne-Lise Martin hospitalisée : une bavure de la Police Urbaine ?
Un incident s’est produit cet après-midi devant l’entrée principale de l’Hôtel de Ville d’Aspen. L’ancienne députée fédérale Anne-Lise Martin venait effectivement de stationner sur le parvis du bâtiment pour y entamer une grève de la faim. Quelques minutes après son installation, 12 agents de la Police Urbaine sont arrivés sur les lieux pour lui rappeler l’interdiction d’attroupement dans l’espace public formulé récemment par arrêté municipal.
Le ton est alors très vite monté. Confrontés au refus de la jeune femme de circuler, les policiers ont alors fait usage de leurs matraques de type tonfa, et de leurs bombes lacrymogènes sur Madame Martin. Plusieurs témoins affirment avoir vu les policiers urbains rouer de coups et piétiner cette dernière alors qu’elle était déjà au sol, après l’avoir copieusement aspergée de gaz lacrymogène. L’un des agents aurait filmé la scène avec son smartphone personnel.
Anne-Lise Martin a été conduite aux urgences de l’Hôpital Universitaire d’Aspen-Est. Elle souffrirait de multiples contusions sur le corps, de fractures à la mâchoire et à la pommette, de deux côtes fêlées ainsi que d’une luxation de l’épaule gauche. Elle s’est vue prescrire une incapacité totale de travail de 80 jours.
Une enquête interne a été ordonnée par la police des polices pour déterminer la responsabilité des agents incriminés.
Julien se présenta devant la presse pour une intervention.
Le climat délétère qui enveloppe actuellement notre capitale fédérale porte atteinte à la capacité de travail du gouvernement. Afin de retrouver de la sérénité et un cadre propice au travail, j'annonce devant vous la délocalisation provisoire du Ministère du Budget Fédéral vers Pastelac. Nous reviendrons lorsque la situation sera apaisée ou si la Garde Impériale nous assure une plus large protection. La campagne de diffamation de la maire d'Aspen à mon encontre a accru l'hostilité des habitants envers ma personne et ma présence physique à Aspen me met en danger.
Je condamne également la brutalité de l'intervention policière contre Anne-Lise Martin qui manifestait seule et ne constituait donc pas un attroupement illégal.
Pour toutes ces raisons je quitte la capitale séance tenante et me met en route vers Pastelac.
Je vous remercie.
Je condamne avec fermeté l'attaque dont Anne-Lise Martin a été victime et lui apporte tout mon soutien.
Que la police municipale ose attaquer une femme parce qu'elle a le cran de s'opposer au racisme et au fascisme des politiques municipales aspinoises est une honte absolue pour la ville d'Aspen et une insulte à notre démocratie.
Si les policiers incriminés sont évidemment à blâmer, la faute incombe d'abord à l'exécutif de la ville d'Aspen, actuellement gérée par une raciste irresponsable au mental instable, qui passe le plus clair de son temps à insulter tout ce qui passe devant elle, à menacer des membres du gouvernement, et bien sûr à casser des iPhones.
4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94) 2ème Gouverneur de Catalogne (90-92) 3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92) 2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90) Ancien Maire de Pastelac Prince dans une dimension parallèle Biographie | Pluzin | Résidence
+ L’interpellation de Madame Martin par la Police Urbaine était justifiée, cette dernière ayant délibérément violé l’arrêté municipal en vigueur interdisant de stationner ou de s’attrouper dans l’espace public. Les agents de police sont intervenus dans une logique de sécurité publique et de respect de la législation en vigueur dans la municipalité.
Il y a visiblement eu des débordements de la part des agents concernés, qui ont perdu patience suite aux multiples provocations d’Anne-Lise Martin. Ces derniers seront identifiés et punis à la hauteur des méfaits commis. Anne-Lise Martin devra elle aussi répondre de ses actes suite à son acte illégal.
Ce nouvel incident déplorable est à imputer au gouvernement fédéral et en premier lieu à Julien Citron, qui n’a eu de cesse ces derniers jours de souffler sur les braises à Aspen pour son simple amusement personnel.
Je condamne la récupération politique du Ministre du Budget qui se sert d’un événement dont il est directement responsable pour justifier le transfert d’un bâtiment du gouvernement fédéral dans une ville détenue par son propre parti. Il s’agit d’une grave ingérence politique et d’un conflit d’intérêt qui symbolise la volonté de la majorité actuelle de détenir les pouvoirs absolus.
+Les Démocrates ne soutiendront pas un parti qui cautionne qu'une élue puisse envoie la police agresser des opposants politiques.
Que la direction du PLC réagisse, que la maire d'Aspen présente des excuses, ou démissionne.
Que le PLC montre qu'il ne se réduit pas à ce genre de procédés dignes des pires dictateurs, où bien nous n'avons plus rien à faire à leurs côtés.
Lisa Reyes Présidente de la République Vice-Présidente de l'Assemblée Fédérale Députée fédérale Présidente de Reyes Industries
+ Le Gouvernement fédéral adresse ses plus sincères sympathies et voeux de rétablissement à Anne-Lise Martin.
Vu la situation actuelle à Aspen et vu le précédent fixé par le Gouvernement précédent en ce qui concerne l'absence de récupération politique de l'image des blessés, le ministre de la santé et moi-même avons convenu de placer madame Martin sous protection de la police fédérale qui aura pour ordre de ne laisser pénétrer dans sa chambre que les membres du corps médical et les personnes invitées par madame Martin, toute photographie ou vidéo sera proscrite.
Le compte-rendu de ses blessures fait bien plus penser à une agression sauvage qu'à une opération de police, ce sont des actes qui n'ont pas leur place dans une démocratie. Si la mairie d'Aspen ne prend pas d'elle-même les mesures adaptées, le Gouvernement fédéral demandera à la justice administrative de le faire.
