[Bio] Julien Citron

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Julien Citron
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Julien Citron


Julien Citron


Le Dr. Julien Citron, né à Anglès le 9 juillet 51, est un professeur, docteur en histoire, politicien et homme d'État frôceux.

Enfance et famille
Son père était propriétaire d'un restaurant de cuisine italienne tandis que sa mère était fonctionnaire à la mairie lors du mandat d'Housni N'Kouildor. Julien se passionne pour l'Histoire et le droit des femmes alors que la ville est tenue par une administration d'extrême-droite qui discrimine ouvertement les femmes en leur imposant leur tenue vestimentaire et des wagons séparés dans le métro. Les mauvaises expériences de sa mère à la mairie en raison de sa condition féminine le marquent.

Carrière à l'université
Il se lance en politique à l'université en rejoignant le syndicat des étudiants de gauche dont il va présider la section d'Anglès pendant trois ans. Après ses études il parvient à obtenir sa thèse et un poste de professeur d'Histoire contemporaine à l'université d'Anglès II. Il est vice-Président de l'université pendant 4 ans.
Depuis cette période, il est marié et père de trois enfants.


Entrée en politique locale et engagement à l'UPP (88)
L'année 88 est marquée par son arrivée à l'UPP, parti le plus proche de ses convictions. On lui propose alors de diriger la liste du parti à Antsiranana. Après une campagne intense face à Julia Blum (RPL) et Fanilo Nomenjanahary (MARR), il termine avec 13,75% des voix et entre dans l'opposition. Il se rallie au régionaliste Fanilo Nomenjanahary lors de l'élection du gouverneur, manquée de 2 voix, car il est aussi convaincu qu'un statut spécial doit être accordé à la province. L'autonomisation de la province devient alors un de ses combats politiques et il s'affiche notamment aux côtés des régionalistes, ce qui déplaît dans la majorité.
En parallèle il soutient Victor Karlsson à l'élection du Premier Secrétaire de l'UPP et devient son Porte-Parole. S'ouvre alors une période creuse pour lui et ses camarades de parti qui n'ont qu'un rôle d'opposant dans l'arène politique.


Ministre du gouvernement Ansaldi (89-90)
Le vent tourne lors des élections de l'année 89. Alors colistier aux élections fédérales avec Victor Karlsson, l'UPP se place second et entre dans une majorité de Gauche composée du MARR, des Ecologistes et des socialistes. Julien est alors nommée ministre de la Politique Monétaire, du Commerce Extérieur et des Comptes Publics sous le gouvernement Ansaldi I et affiche sa volonté d'entreprendre une politique de relance, qui sera caractérisé par une réforme fiscale radicale visant à renforcer la progressivité de l'impôt, qui sera très décriée par l'opposition mais qui recueillera un fort soutien à gauche. Il est également élu maire d'Etchegorda en Catalogne, où il restera controversé suite à une affaire impliquant son fils et le rapt du proviseur du lycée où celui-ci était élève, qui mènera à une intervention du gouvernement catalan de Paolo Valbonesi
Il est un peu plus tard nommé au gouvernement catalan après la première élection de Victor Karlsson, alors Vice-Chancelier, au poste de Gouverneur.


Retour dans l'opposition (90-91)
Malgré les sondages qui donnent la liste fédérale de l'UPP en tête, celle-ci finit deuxième derrière la liste du MPD, qui remporte la prime majoritaire à l'Assemblée Fédérale et forme une coalition majoritaire avec le RPL et l'ADF, dirigée par le Chancelier Arthur Lubenac.
Si c'est une nouvelle période d'inactivité sur le plan fédéral pour Julien Citron, qui verra par ailleurs le démantèlement de certaines de ses mesures prises lors de son passage au Ministre du Budget fédéral, celui-ci est nommé Ministre de l'Économie en Catalogne par le gouverneur Karlsson, qui a été réélu.


Retour au gouvernement fédéral (92)
Après les élections de 92 qui portent au pouvoir Victor Karlsson, Julien est rappelé à son poste de Ministre du Budget fédéral. A ce sujet, il déclara dans la presse "je n'ai jamais quitté mon ministère, j'étais en vacances !".
Il lance très vite une politique de revalorisation de la monnaie par l'introduction de pièces de 1, 2 et 5 centimes et des politiques de restriction sur l'usage des cartes bancaires.
Son initiative la plus controversé restera ses deux réformes dans le domaine des transports, à la SNTF et à Frôce Airlines, qui prévoyait une privatisation partielle, une concession des services aux administrations provinciales et une négociation des statuts spéciaux dont bénéficient les travailleurs des transports. Si le dernier point, très critiqué, fut très vite retiré à l'initiative du Chancelier Karlsson, sa réforme restera très controversé et fut retiré. Malgré son intention de reprendre ensuite ses réformes fiscales, son second passage au ministère fédéral restera marqué par cet échec.

Retour au gouvernement fédéral (92)
A la suite des élections de 93, bien que le gouvernement Karlsson soit reconduit, Julien Citron renonce à reprendre ses fonctions de Ministre du Budget fédéral, préférant se concentrer sur son engagement au sein de l'UPP. Il sera succédé à cette fonction par Esteban Belmonte (CUL), qui se démarquera de son prédécesseur par une fiscalité rééquilibrée et

Ayant renoncé à une place au gouvernement, Julien Citron choisit de rester actif au sein de l'Union Pour le Progrès. Bien que violemment opposé au projet concernant la prise en charge de la dépression au travail, il travaille en première version sur un texte sur l'épuisement professionnel avec Gabriel Von Bertha, mais ne participe pas à celui réécrit plus tard, en coopération entre Gabriel Von Bertha et la majorité fédérale de gauche. Son engagement individualiste ainsi que son

Il se présente ensuite aux élections du Premier Secrétaire. Son attitude de défi des semaines précédentes ainsi qu'un tournant libéral inattendu, alors même que ce dernier étant jusqu'alors un des tenants de l'aile gauche du parti, ainsi que des rumeurs de manipulation et de discréditation d'autres candidats à son profit pour les élections internes lui vaut d'échouer au premier tour avec 22,59% des voix, derrière Romane Macé et Adrien Landreau. Fort d'un soutien modéré et se refusant à soutenir fermement un autre candidat au second tour, il annonce qu'il fonde un mouvement interne au parti.

Non invité au mariage de Victor Karlsson et d'Eliott Marshall à la demande de ce dernier, Julien Citron le considère comme une attaque et attaque en retour les jeunes mariés en dénonçant le fait que les festivités se tiennent à l'Hôtel Belley et en laissant entendre que le mariage ferait l'objet d'un détournement de bien public, sans toutefois avancer de preuves. Les attaques répétées de Julien Citron poussent Victor Karlsson, déjà retiré de toute candidature aux élections de 94, à se retirer définitivement de l'UPP et à renoncer à lui apporter son soutien.
Julien Citron quitte à son tour l'UPP, en pleine campagne des générales.

Il fonde immédiatement après un mouvement politique, le PDSF, avec Amandine Smith, ayant elle aussi quitté le parti pendant la campagne. Malgré des critiques virulentes contre l'UPP et sa nouvelle direction, se rapprochant des propos des membres du PAS et de LR, il ne renonce pas pour autant à l'investiture UPP à la mairie d'Etchegorda.

  • Études
    • BNES, au lycée Victor-Emmanuel II d'Anglès (69)
    • Diplôme d'études historiques à l'université Benjamin Franklin Anglès II (72)
    • Master en Histoire mention Sociétés Contemporaines à l'université Benjamin Franklin Anglès II (74)
    • Doctorat en Histoire et Thèse sur les Femmes de pouvoir en Frôce à l'université Benjamin Franklin Anglès II (77)
  • Expériences professionnelles
    • Professeur d'Histoire contemporaine à l'Université Anglès II (depuis 78)
    • Président du département d'Histoire de la faculté des Sciences Humaines d'Anglès II (80-82)
    • Vice-Président de l'Université Anglès II (82-86)
  • Engagements politiques
    • Président du syndicat des étudiants de gauche du Grand-Piémont (72-75)
    • Membre de l'Union Pour le Progrès (88-94)
    • Porte-parole de l'Union Pour le Progrès (88)
  • Fonctions locales
    • Maire de la ville d'Etchegorda (89-94)
    • Ministre de Catalogne charge de l'Économie et du Travail - Cabinet Karlsson I (90)
    • Ministre de Catalogne charge du Développement Durable, de l'Économie et du Travail - Cabinet Karlsson II (90)
    • Ministre de Catalogne chargé de la Sécurité Intérieure - Cabinet Mataro I (93)
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Modifié en dernier par Julien Citron le 25 juil. 2018, 18:55, modifié 3 fois.
ex-Président de la Province de Catalogne

Vice-Président de l'Université de Casarastra

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