La Frôce est un RPG Politique par forum, gratuit. Micronation virtuelle, vous y faites évoluer votre personnage pour accéder aux plus hautes fonctions de l'état.
Pluzin est le réseau social frôceux incontournable. Il a été fondé par Xarxa Tech. Préparez-vous à pluzer ! Et gardez toujours un oeil dessus pour ne pas être dépassé !
+ Monsieur Von Bertha, la boule puante que je retiendrai d'aujourd'hui c'est quand même de vous voir m'accuser honteusement de valider l'agression dont vous avez été victime. Ne soyez pas sot. Je condamne la violence, de quelque sorte qu'elle soit, d'où qu'elle vienne et contre qui qu'elle soit orientée. Essayer de m'assimiler aux racailles qui ont perturbé une cérémonie provinciale pour contourner les questions que je soulève et me salir, c'est minable.
Concernant votre "bilan" au perchoir, je vais quand même devoir vous apprendre quelque chose. Un député fédéral peut proposer un texte de loi, il n'y a pas besoin d'être le président de l'assemblée fédérale pour cela. C'est en qualité de député fédéral que vous avez proposé votre loi.
Chacun a un bilan à la présidence de l'assemblée fédéral. Celui d'Arthur Lubenac est mauvais, ceux de Karl Lacroix-Hanke, Olivier Brimont, Victor Karlsson et Eduardo Belfort sont très bons.
Quant au votre, il est difficile à juger au vu de la faible activité du gouvernement fédéral. Même si vous n'en êtes pas le responsable j'en conviens. Mais vous avez tout de même réussi à ouvrir et clore des sessions en retard, permettez moi de vous le rappeler monsieur le président parfait.
Vous pourrez répéter tant de fois que vous voulez que vous avez révolutionné l'assemblée fédérale cela restera quand même uniquement une preuve de votre arrogance et de votre mégalomanie.
Il y a eu, par le passé, des débats passionnants à l'assemblée fédérale même si 10 textes étaient proposés en même temps.
Mais quelque chose rend ce bilan largement inférieur à celui de la plupart de vos prédécesseurs, c'est la diplomatie bis que vous avez tenté d'instaurer. La diplomatie est réservée au gouvernement fédéral et il peut être dangereux de s'en mêler quand on a pas à le faire. Vos prédécesseur ont su rester à leur place et ne pas privilégier leur petite personne à l'institution qu'ils représentaient.
"J'ai fait preuve de responsabilité, tel un De Gaulle n'ayant plus la confiance de son peuple". Après avoir eu un fou rire de 15 minutes en lisant cette phrase, je l'ai quand même relue plusieurs fois pour être certain que je ne rêvais pas. Et bien non je ne rêvais pas. Gabriel Von Bertha se compare au général De Gaulle. Voilà, il n'y a rien à ajouter. L'absurdité de cette comparaison parle d'elle-même.
Victor Hugo surnommait Napoléon 3 "Napoléon le petit". "De Gaulle le riquiqui" serait encore trop flatteur pour vous.
Enfin, je vois que vous n'avez que le mot "bilan" à la bouche. Comparons donc ce qui est comparable. Vous avez été élu gouverneur de Tyrsènie, vous avez sollicité une réélection et vous avez été battu.
J'ai été élu gouverneur de Transalpie, j'ai sollicité une réélection et j'ai été réélu.
Attention monsieur Von Bertha quand vous cherchez à donner la leçon de ne pas la recevoir !
+ Quand on a pas d'arguments crédibles à me proposer on me traite d'extrémiste, c'est classique mais assez agressif je trouve. Quelle ironie.
Je respecte votre avis monsieur Citron, par contre vous n'avez pas l'air de respecter le mien. Quelle ironie.
Le message de Julien Citron aurait été seulement insipide et inutile s'il n'avait pas traité à demi mot les transalpiens de débiles. Il en devient scandaleux et je ne peux pas accepter cela. De tels propos sont indignes d'un responsable politique.
Je ne me permettrai jamais de juger un citoyen au seul motif du bulletin qu'il met dans l'urne. Je respecte chaque électeur, quelque soit sa sensibilité politique, du FCF à LR.
Sachez, monsieur Citron, que mes administrés se passeront sans grande difficulté de votre sollicitude. Ils ont un Gouverneur qui met à profit chaque seconde de sa vie au service de leur bien être et qui ne les méprise pas.
+ Monsieur Artois, vos leçons de démocratie, de libéralisme ou encore de rhétorique ne m'atteindront pas. Je m'adresserai toujours à vous comme il m'en convient. Tout Pascal Artois que vous êtes. C'est la liberté d'expression et la démocratie.
Si vous avez un problème avec ma façon de m'exprimer, attaquez moi pour diffamation. Mais veuillez cessez de pleurnichez comme un enfant de 7 ans qui vient de se faire gronder par ses parents. La politique ce n'est pas le monde des bisounours.
Je trouve amusant de constater que si l'on ne souscrit pas à la moindre de vos syllabes, on est irrespectueux, pas à l'écoute et on ne sait pas se remettre en questions.
Lorsque une réforme est proposée par le Gouverneur élu par le peuple et votée par une majorité absolue de députés élus par le peuple, elle ne passe pas en force. Même si elle ne convient pas à Pascal Artois.
Les transalpiens m'ont réélu Gouverneur, ce qui tend à prouver qu'ils ne me trouvent pas aussi médiocre que vous tenter piètrement de l'incanter.
Par contre, ce problème peut se poser pour votre chef, Gabriel Von Bertha, qui a été battu sèchement lorsqu'il a tenté de se faire réélire Gouverneur de Tyrsènie.
Je note une grande approximation lorsque vous comparez les revenus et la consommation de matières de premières nécessités. Il ne faut pas être prix Nobel d'économie pour savoir que la totalité des revenus ne s'évapore pas dans cette consommation.
Un chariot de courses qui coûtait 200 plz coûtera 212 plz. Il y a, certes, une augmentation mais elle n'a rien à voir avec l'explosion que vous décrivez dans le but de faire de la démagogie, faire pleurer dans les chaumières et faire peur. Augmentation compensée par les suppressions d'impôts.
Je veux également souligner et répéter que la France a une TVA de 5,5% sur ces mêmes produits et elle est loin du marasme économique que vous prédisez à la Transalpie. Je prends la France comme exemple car c'est un pays limitrophe mais d'innombrables pays ont une TVA similaire.
J'insiste sur ce point parce que, gênant pour vous, vous l'évitez et je veux que les choses soient claires pour tout le monde.
La consommation va possiblement diminuer. Cette baisse sera, si elle survient, certainement très légère mais j'ai pris la marge de sécurité nécessaire à la pérennité du budget provincial.
Concernant les entreprises, la logique est la même, si baisse des bénéfices il y a, elle sera compensée par la suppression de la taxe professionnelle.
Ce big bang fiscal apportera une exceptionnelle facilité à faire des affaires et permettra à toute notre économie de gagner en efficacité.
De plus, elle mettra fin une fois pour toutes à l'évasion fiscale. Qui dit évadé fiscal en moins dit consommateur en plus.
Les petites et moyennes entreprises ont de beaux jours devant elle dans notre magnifique province de Transalpie.
+ Le nombre de participants à la manifestation qui s'est déroulée aujourd'hui à Angles, contre la réforme fiscale, annoncé par les organisateurs est une mensonge éhonté. Il suffit de voir les images pour s'en apercevoir. Triste manipulation proposée par le CSF.
Les autorités transalpiennes contestent fermement le chiffre de 870 000 et le portent avec certitude à 110 000.
Je respecte ces 110 000 personnes. Ce chiffre n'est pas négligeable. Je peux comprendre leurs inquiétudes au devant d'un si grand bouleversement de leur quotidien.
Je veux leur dire que je ne leur mens pas, que je ne les trahis pas et que je ferai toujours tout mon possible pour leur assurer un avenir meilleur.
C'est réforme est ce dont notre économie a besoin pour parvenir à une efficacité optimale. Ce big bang fiscal met fin à un matraquage qui asphyxie les transalpiennes et les transalpiens.
Bien que pas surpris, je reste scandalisé par cette manipulation du CSF.
+ Mon cher monsieur Artois, si l'on suit vos raisonnements, tout texte n'étant pas voté à l'unanimité et n'ayant pas l'approbation de 100% des citoyens passe en force.
Je ne commande personne, je gouverne, ce n'est pas du tout la même chose. J'applique le programme que j'ai proposé et qui m'a valu une réélection, tout simplement.
En plus de me parler comme à un benêt, vous faites encore une fois preuve de démagogie. Le Jean dont vous me parlez, vous dites qu'il n'a pas les moyens d'avoir une voiture, il les aura désormais car il n'aura plus à payer les taxe sur le droit de circulation et sur l'essence.
Bertrand qui est actuellement imposé à 4,5% sur ses revenus et Jean-François qui est asphyxié par la taxe professionnelle seront ravis de ma réforme également.
Je pense que nous sommes arrivés au bout de se débat intéressant et l'exercice démocratique qui arrive sous peu nous montrera vraiment ce qu'en ont pensé les transalpiens.
Pour ma part je considère avoir fait ce que j'avais à faire, j'ai respecté la démocratie, les institutions et les électeurs.
Je veux remercier tous les électeurs qui m'ont accordé leur suffrage pour ces élections municipales, provinciales et fédérales.
C'est un immense honneur pour moi d'être à nouveau reconduit dans mes fonctions de maire d'Aspen. Je félicite chaleureusement mes amis Eduardo Belfort, Charles Horowitz et Calixta Álvarez Puig pour leur belle réélection.
Au niveau fédéral, je me réjouis du score historique que nous avons réalisé en atteignant presque 13% des voix. Le PLC est en constante progression depuis 92. Je continuerai la bataille pour nos valeurs et nos convictions sans relâche pour gravir les échelons encore et encore.
Je veux aussi féliciter Gabriel Von Bertha, notre très probable futur Chancelier Suprême, pour le score réalisé par l'UDC. J'ai une pensée très amicale pour Olivier Brimont qui est loin d'être étranger à ce succès. Charlotte Fleichmann De Kervern y est également pour beaucoup.
Je considère tout de même la futur coalition qui se dessine comme assez bancale dans le sens où, selon moi, la grande majorité de l'électorat du PSDF est de gauche et déçue de l'UPP. De l'autre côté il y a une frange du PAS clairement à droite et conservatrice qu'il ne faudra pas mépriser.
Mais je laisse très volontiers le bénéfice du doute au futur gouvernement fédéral et le PLC ne sera pas une opposition stérile et systématique, nous voterons les textes en conscience, dans un soucis d'intérêt général.
Enfin, en ce qui concerne l'élection provinciale de Transalpie, mes administrés m'ont clairement renouvelé leur confiance. La majorité du PLC n'est pas absolue mais elle est franche et nette. 107 députés provinciaux sur 227 sièges.
J'ai constaté que Julien Citron s'est pris de passion pour le scrutin transalpien en lui accordant 70% de sa réaction post-électorale. Il a d'abord juré de devenir une opposition farouche à ma futur gouvernance avant d'en appeler à une candidature unique allant du MAMA au PAS pour me faire battre. On en est plus à une contradiction près de sa part mais dans le même paragraphe cela pique un peu les yeux.
J'appelle Julien Citron à retrouver ses esprits et un peu de bon sens. Je pense que la coalition qu'il incante en Transalpie aurait la même crédibilité qu'une union sacrée au niveau fédéral allant du FCF au PLC pour faire tomber le futur gouvernement UDC/PSDF. Gouvernement qui ne disposera que d'une majorité relative également.
J'attends sereinement l'élection du Gouverneur de Transalpie. Je fais confiance aux députés provinciaux pour ne pas tomber dans la caricature politicienne et pour ne pas rendre la province ingouvernable.
+ Je veux commencer ce message en certifiant que je combattrai chaque zone auto-gérée qui verra le jour en Transalpie, je me battrai pour les faire fermer jusqu'au dernier mètre carré.
Le spectacle que nous offre Jean Bournay ces derniers jours est consternant. Il pousse la médiocrité à son paroxysme et je crois bien que nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Reconnaissons néanmoins à sa bêtise un bon côté, celui de faire avancer la police dans son enquête sur les incidents de l'Hôtel de Police d'Aspen Nord en donnant ses commanditaires. Il a, d'ailleurs, l'air bien informé.
Concernant la perquisition de la zone auto-gérée d'Aspen Nord, je ne suis pas arrivé kalachnikov en mains, tel un John Rambo qui veut en découdre pendant la guerre du Viêt Nam. Cette perquisition a été décidée par le Procureur Général au vu d'informations qui lui ont été apportées. La Frôce, la Transalpie, ou Aspen ne sont pas des zones de non-droit. Nous sommes dotés de forces de l'ordre qui veillent à ce que les règles communes soient respectées ainsi que d'une justice qui punit ceux qui ne les respectent pas.
Que cela plaise à Jean Bounay, Alain Chouillard et toute la rédaction de l'étoile noire ou non.
Je vais me permettre d'apprendre à Jean Bournay que le gentilé qui désigne les habitants de Transalpie est "transalpien" et non "transalpin".
Un Jean Bournay dont la perception du "système" n'est plus exactement la même que lorsqu'il se goinfrait dans la gamelle de Victor Karlsson pour obtenir des postes ministériels.
Un Jean Bournay dont la seule cohérence, depuis ses débuts en politique, est la faiblesse de ses scores aux élections fédérales.
Un Jean Bournay dont la seule occupation ses dernières années est de suivre comme un toutou chaque mouvement anti-empire ou anti-état fédéral, sans aucune construction intellectuelle. Un maire proclame sa commune autonome ? Médor proclame sa commune autonome. Un individu créé une zone auto-gérée ? Médor créé sa zone auto-gérée.
Un Jean Bournay qui se met à interdire d'accès à la ville dont il est maire ses adversaires politiques. Je vais me pencher sur la constitutionnalité de ce torchon quand même.
J'ai vraiment de la peine pour les frôceux qui ont une sensibilité communiste et qui n'ont que ce pitre pour les représenter, prenant en otage tout un courant de pensée pour s'adonner à des délires tous plus farfelus les uns que les autres.
