La Frôce est un RPG Politique par forum, gratuit. Micronation virtuelle, vous y faites évoluer votre personnage pour accéder aux plus hautes fonctions de l'état.
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Les associations locales sont :
Ligue Autonomiste Armée
Mouvement des Employeurs d'Antsiranana
Syndicat des Enseignants Antsiranais
Unité Ouvrière Antsiranaise
Congrès Pour l'Unité Nationale
Association des Frères des Pauvres
Salon des Auteurs Marxistes
Dates importantes :
- Début de la campagne : Samedi 8 décembre
- Fin de la campagne : Mercredi 19 décembre à 21 heures
Les messages postés avant ou après les dates d'ouverture ne comptent pas
Me revoilà devant vous un an après. Me revoilà avec le même message à porter et, malheureusement, le même constat à dresser. Le gouvernement n'a rien fait pour les entreprises et nous ne pouvons que le déplorer.
Sa majorité a promis partout en métropole un bing-bang fiscal. Ici, les entreprises attendent toujours. Rien a changé. Pire, réélus, ils mettront en place les 34 heures de travail! Ils pillent les entreprises. Révoltons nous avant qu'il ne soit trop tard. Le peuple a élu Rasao pour battre les communistes, pas pour retrouver leur odieux discours sus ses lèvres.
Le principe de la fiscalité est de prendre dans une main pour redonner dans l'autre. Pourtant, Antsiranana prend l'emploi, la richesse et les recettes fiscales offerts par les entreprises mais ne donne jamais rien. Il est temps que ce pillage fiscal prenne fin. Cessons de prendre toujours plus sans jamais rien rendre. Cessons le système du gagnant-perdant pour passer au système du donnant-donnant.
Mais la réalité, c'est qu'ils veulent séduire le peuple en désignant l'entrepreneur et l'entreprise comme le bouc émissaire qu'il faut sanctionner. De ce côté, ils sont forts mais lorsqu'il faut aider il n'y a plus jamais personne. De quel-droit peut-on saccager l'entreprise, véritable moteur de l'économie, par pur électoralisme? Ils sont élus pour l'intérêt général, pas uniquement pour être reconduits tous ls ans. S'ils veulent plaire, qu'ils aident les entrepreneurs à créer des emplois et alors ils verront, Antsiranana les remerciera!
Alors les communistes viendront demander que la lutte contre la pauvreté soit une priorité. Mais ils s'obstinent à ne pas comprendre que la solution miracle n'existe pas, en particulier si cette solution c'est la création de la République Socialiste d'Antsiranana. La solution la meilleure, c'est la reprise économique. La solution, c'est l'emploi. La solution, c'est la croissance. Et cela ne s'obtient pas au hasard mais au prix d'une valeur essentielle : la liberté! C'est un mot dont il ne veulent pas entendre parler mais nous avons l'audace de la proposer à cette province!
Ce sont les mêmes communistes qui passent leur temps à trouver de nouveaux prétextes, de nouvelles excuses pour vous taxer et vous prendre toujours plus. L'écologie, le taux d'employés handicapés, les heures supplémentaires. Ils ne manquent pas d'imagination pour vous emmerder. Mais vous aider, leurs idées sont nettement moins nombreuses et nettement moins efficaces.
Actuellement notre province n’est actionnaire d’aucune entreprise. Cela veut donc dire que nous n’aidons aucune entreprise avec des fonds publics. Les citoyens payent des impôts pour le développement de la province et rien de va aux entreprises. Vous devez pouvoir demander de l’aide à la province, elle est censée être là pour cela!
Vous aider sera le cœur de notre politique. Aider les entreprises, c’est gagnant pour toute la population, des plus riches aux plus pauvres. Nous débloquerons 2 milliards de pluzins supplémentaires pour l’investissement pour aider la création d’entreprises ou encore venir en aide à celles qui sont en diificulté. C’est ça le rôle d’une colllectivité! Ce n’est pas de se contenter de prendre encore et toujours plus sans jamais rien redonner!
Nous débloquerons également 1,5 milliards de pluzins pour lancer une banque provinciale dont le but sera de prêter à taux bas aux entreprises refoulées par les banques qui n’ont pas confiance en le potentiel économique de ce territoire. Cette banque permettra aux entreprises d’avoir une aide directe de la province, sans qu’elle ne soit forcément actionnaire. Car oui, fournir une aide de qualité, c'est diversifier les possibilités pour que les entreprises puissent choisir.
Nous souhaitons également une baisse de 5% de la taxe professionnelle qui est un réel frein pour l'emploi, la croissance et l'économie en général. Si nous voulons le meilleur pour la population, notre devoir est d'être aux côtés de celles et ceux qui leur donneront des emplois et des salaires. Cessons d'opposer entreprises et peuple. Aider les entreprises, c'est aider le peuple. Oppresser l'entreprise, c'est l'appauvrir.
À la tête de cette province, nous recréerons un nouveau code du travail pour que les entreprises soient remises à la place qui est la leur : celles qui créent l'économie et qui méritent à ce titre d'être des acteurs incontournables des grandes concertations provinciales. Ne laissons pas les hystériques vous manquer de respect! Ne laissons pas les gouvernements successifs vous piétiner! Faisons relever la tête aux entrepreneurs! Vous méritez le respect! Faites le savoir et comptez sur moi pour le faire aussi.
Alors à chacun sa doctrine. Il y a ceux qui depuis toujours et encore cette année veulent la peau des entrepreneurs et il y a les gens raisonnables qui, en face, proposent des solutions concrètes pour la relance économique et sociale. La balle est dans le camp des électeurs.
Alors je viens vous proposer de redonner à cette province la volonté d'aider ses entrepreneurs. Ensemble, créons un vaste front pour l'économie et l'emploi. Créons le front des entreprises et des entrepreneurs. Battons les communistes et leurs hologrammes centristes et relançons l'économie antsiranaise pour le bien de tous.
Discours de l'UDC - Association des Frères des Pauvres
Bonjour à toutes et à tous,
Merci d'être venus aussi nombreux ! J'espère que vous êtes chauds, ce soir, parce que personnellement, je suis remontée comme une pile électrique !
J'ai beaucoup de choses à vous dire. Mais je vais commencer par ce que je ne vous dirais pas. Je ne suis pas venu vous parler régionalisme, indépendantisme, tricot ou autre ! Non, ces non-sujets ne m'intéressent pas. Voilà trop longtemps qu'ils occupent la place dans toutes les bouches de ceux qui nous gouvernent. Et moi j'en ai assez qu'on se concentre là-dessus et que l'on vous oublie. Donc, celles et ceux qui sont venus pour écouter des conneries sur ce sujet, peuvent quitter cette salle ! Ceux qui considèrent que l'intérêt de tous est avant tout d'oeuvrer pour nous même et de mener des réformes en profondeur, c'est à eux que je m'adresse. Je les sais nombreux et attentifs, je vous vois déjà captivés !
Antsiranana n'est pas la dernière roue du carrosse. Elle paie la stupidité des actions menées par les libéraux et par les régionalistes. Des actions dont on peut se demander quelle était la finalité. En son temps, Julia Blum nous a régalé avec ses mesures libérales oujours en faveur des plus riches. Au lieu d'aller chercher l'argent où il était, elle l'a laissé à ceux qui n'en avaient pas besoin, bloquant ainsi durablement les finances publiques de notre Province. Comme voulez-vous payer des services publics, des ponts, des routes, des cantines, des aides sociales si vous avez la poche trouée ?
Bah ! Comme le dirait mon médecin, c'est bien de faire un diagnostic, c'est encore mieux de trouver un remède ! Attention, c'est le moment du big bang. D'abord, je propose d'aller chercher le magot. Si vous m'accordez votre confiance, j'irais chercher le pognon là où il est, sur les produits de luxe, sur les revenus les plus hauts, sur les entreprises qui dégagent des bénéfices, sur les propriétaires de biens immobiliers, les banques, les organismes de crédit. Vous l'avez compris, je rétablirais les taxes supprimées sous l'ère Blum. Et cet argent là mes amis, nous n'allons pas nous contenter d'en faire des coussins confortables pour les fesses des banquiers.
Nous allons le réinvestir et le réinvestir largement pour vous. Tsss ! Trouvez-vous normal qu'Antsiranana soit la seule province de Frôce à ne pas avoir d'allocation familiales ou d'aides au logement ? Trouvez-vous normal qu'ici, plus que partout ailleurs, vous deviez subir un taudis ou une tente pour vous abriter ? Que l'on vous clame, faites des enfants ça aide notre économie et qu'on ne vous aide jamais pour assumer la charge conséquente que cela représente ensuite ? Et si on arrêtait de vous faire tirer la langue pour vous aider concrètement ?
Nous avons le budget logement le plus faible aussi je l'augmenterais, afin que nous lancions partout sur notre territoire, la construction de logements sociaux, à loyer modéré mais surtout, surtout SA-LU-BRES ! Et nous veillerons à ce qu'ils répondent aux normes environnementales, parce que là encore, y'en a marre que ça soit toujours les mêmes qui paient le manque d'ambition des politiques ! Trop d'argent est jeté par les fenêtres pour se fournir en énergie, en gaz ! Je veux que les logements soient autonomes, en électricité, capable d'assumer leurs consommation grâce à des panneaux solaires ! Cela libèrera du pouvoir d'achat. Même chose pour les potagers individuels que j'entends aussi développer.
Nous allons nous réapproprier notre Province et notre dignité. Nous allons le faire sans dogme, sans nous soucier des questions administratives qui manifestement sont le résultat d'une bureaucratie plus que d'une démocratie. Nous allons réanimer nos services publics, augmenter le nombre d'enseignants, augmenter le budget d'investissement, en récupérant l'argent là où il ne sert pas. J'en entends déjà me dire que je me prends pour Robin des Bois, mais je l'assume, voyez-vous. Oui, nous allons prendre l'argent des riches au profit des plus pauvre, au profit de la solidarité. Quelle gloire en tirerai-je aucune ? Mais je ne supporte plus le spectacle terrible et glaçant que j'ai sous les yeux. Où la division, la pauvreté, le malheur ne cessent de croître. Il n'y a pas un seul être humain qui peut se prétendre supérieur à un autre ! L'absolue nécessité, la priorité, l'urgence aujourd'hui, c'est vous, vous et toujours vous.
Mes amis, j'ai longtemps fait partie de la majorité silencieuse, qui observait avec consternation notre Province chérie, bien aimée, se déliter. Je n'aurais pas crainte de travailler avec tous les volontaires, humanistes, d'Antsiranana. Je n'aurais pas crainte de trancher quand c'est nécessaire ni d'écouter chacun. Ma main ne tremble jamais, mais mon coeur, lui, si.
Je vous adresse ce soir un message d'espoir, sincère. Nous sommes capables de faire bouger les choses. Nous sommes capables de restaurer la justice sociale, le progrès et surtout, surtout, la solidarité qui a été malmenée, foulée du pied. Place à la rigueur et sérieux ! Nous en avons tous besoin !
Vive la Fédération, vive Antsiranana et vive vous !
Quelle déception! Libérée du joug ultra-libéral, Antsiranana n’a pas pour autant fait avancer la cause des ouvriers et des travailleurs précaires. L’espoir suscité chez certains par la victoire d’Hery Rasao s’est vite dissipé, les masques sont tombés et les volontés sont apparues au grand jour.
En effet, aucune loi n’a fait avancer la cause des ouvriers antsiranais. Pire! Aucune mesure n’a été prise pour rattraper, ne serait-ce qu’en partie, le désastre social causé par la répression anti-ouvrière orchestrée par les gouvernements Blum. Les ouvriers de cette province continuent d’attendre qu’un véritable gouvernement du peuple s’intéresse à eux et leur vienne en aide. Et visiblement cette aide ne viendra pas de M. Rasao.
Mais l’ironie du sort, c’est que le gouverneur sortant n’est clairement pas le plus dangereux pour vous et vos droits. Il y a un parti qui monte et qui représente un danger considérable pour les classes populaires. Ce parti, c’est le PNCA. Cette mouvance va partout répéter combien la pauvreté n’est pas un problème dont il faut se préoccuper car l’économie va le régler seule. Foutaises! Le jour où les banques et les multinationales s’intéresseront aux plus pauvres, je n’aurais plus besoin d’être là. Une multinationale qui ne paye pas ses impôts détériore considérablement la qualité de la vie et nous devrions lui faire confiance pour régler nos problèmes? Leur programme est, et ils s’en vantent, plus dur encore que celui du RPL. Élus, ils aggraveront encore davantage la situation. Car leur programme est simple : c’est la précarité pour 95% de la population et c’est l’extrême richesse pour tous les autres. En bref, leur programme, c’est les inégalités! Voulez-vous comme eux que le fruit de votre labeur aille directement dans la poche de l’actionnaire avant que vous puissiez en voir la couleur? Voulez-vous que l’on continue de vous manquer de respect au nom du besoin de satisfaire les employeurs? Car c’est bien ce que ce parti propose. Donc manifestement, l’aide ne viendra pas d’eux non plus!
Nous voulons plus de sécurité pour les travailleurs. Pourquoi seriez-vous à la merci des licenciements et des abus de certains patrons? Si vous n'êtes pas responsable, vous n'avez pas à payer pour eux. Nous proposons donc une assurance chômage de bien meilleure qualité que celle en vigueur actuellement. Aujourd'hui, si un ouvrier se fait licencier, il touche les trois quarts de son ancien salaire pendant un an. Si vous nous faites confiance, ce sera 95% durant deux ans. Vous n'avez pas à être à la merci des employeurs et le rôle d'une collectivité et de protéger les citoyens de ces abus.
Nous voulons améliorer vos conditions de travail. Pour se faire, nous réduirons le temps de travail de deux heures par semaine. Vous avez le droit à des conditions de travail plus dignes au vu de votre travail rude et acharné. Cependant, nous connaissons l'impact négatif d'une telle mesure sur votre pouvoir d'achat. C'est pourquoi nous souhaitons revaloriser le SMC de 35% afin de compenser cette baisse du temps de travail. Cumulées, ces mesures permettront aux travailleurs payés au SMC de voir leur pouvoir d'achat augmenter de 31%.
Nous voulons également améliorer votre représentation afin que vous soyez constamment entendus grâce à des syndicats qui portent vos doléances. Ces syndicats doivent être entendus régulièrement et si nous sommes portés aux responsabilités par vos suffrages, ils seront reçus toutes les semaines par le gouvernement provincial afin que les ouvriers de cette province soient réellement entendus. Nous n'avons pas à écouter les gens selon. Il n'y a aucune raison qu'un ouvrier soit moins bien écouté que les patrons et les actionnaires. Le rôle d'un gouvernement est d'être à l'écoute de ses concitoyens et c'est ce que nous voulons concrétiser au plus haut sommet de la province en prenant cet engagement. Notre objectif est de rapprocher les grandes élites provinciales des palais dorés de Libertalia du peuple qui est, en démocratie, le véritable souverain. Les élus doivent connaître la réalité du terrain car personne ne peut gouverner s'il ne connaît pas la réalité.
Alors aujourd'hui nous voilà devant un choix électoral. Il y les candidats du capital, des actionnaires et des patrons. Il y a les candidats faussement consensuels qui dans la réalité prennent u grand plaisir à regarder les inégalités se creuser. Et en face d'eux, il y a les raisonnables qui contre la haine de certains et la démagogie des autres proposent de véritables alternatives économiques et sociales pour le peuple.
Comme chaque année, la balle est dans le camp du peuple, le seul véritable et noble souverain. Le choix est simple, c'est soit la continuité de la barbarie capitaliste, soit un renouveau pour une Antsiranana pionnière en matière de justice sociale. Et c'est ce renouveau que je vous implore aujourd'hui de choisir. Crééons ensemble une vague en faveur de cette Antsiranana qui travaille mais que certains veulent condamner à ne récupérer que les miettes laissées par les actionnaires et le capital. Battons nous ensemble pour vos droits et pour le respect de votre dignité.
Merci d'être là pour exercer cette profession vitale dans une société. Merci d'être là pour transmettre le savoir universel et fondamental à nos enfants.
Le gouvernement sortant que j'ai mené a pris à cœur de défendre les enseignants dans la difficile tâche qui est la leur. Nous avons que les enseignants ne puissent plus se sentir comme des citoyens oppressés dont certains droits sont bafouées. C'est donc soucieux de cette volonté que les enseignants soient des citoyens normaux que nous avons rétabli le droit de grève pour les enseignants. Votre rôle, même important, ne justifie pas que vos droits de citoyens soient bafoués. Vous avez donc le droit de vous exprimer.
Nous avons également voulu que soient améliorées les conditions de réussite de vos élèves. C'est pour cette raison que nous avons voulu améliorer l'égalité des chances. Je sais à quel point il est insupportable d'entendre des accusations d'inégalités entre les niveaux de notation des différents professeurs. C'est donc pour les élèves mais aussi pour vous que cette réforme de la notation a été menée.
Nous connaissons également la lourde responsabilité des professeurs dans l'éducation des jeunes dans une société qui évolue. À l'heure où les enjeux du monde évoluent, les professeurs sont ceux qui doivent sensibiliser les jeunes sur ces thématiques nouvelles dans nos sociétés. Oui, les sujets environnementaux seront bientôt entre les mains des plus jeunes et je sais pouvoir compter sur vous pour les y préparer.
Car c'est selon moi l'un des deux piliers fondamentaux de l'instruction publique. Il faut préparer nos jeunes au monde nouveau et aux enjeux et problèmes de société qui évoluent continuellement. En bref, il faut les former à devenir des citoyens actifs utiles pour la société et le monde. Concrètement, cette philosophie forte se matérialisera pas un rééquilibrage des horaires. L'école publique sera davantage centrée sur l'acquisition de compétences et de savoirs élémentaires d'un côté et sur une éducation civique et citoyenne de l'autre. Cette réforme des horaires sera l'objet d'une vaste concertation qui impliquera d'anciens élèves, des professeurs et des parents d'élèves. On ne réforme pas sans discussion. On échange, on prend le temps et on construit un projet viable sur la durée. Mieux vaut qu'une concertation prenne du temps et débouche sur un compromis plutôt qu'elle soit bâclée et décriée de toutes parts.
Nous voulons que cette transformation de l'école publique se fasse avec les fonctionnaires de l'éducation. Vous appliquerez en premier ces changements et vous serez les pionniers de cette école nouvelle. C'est donc vous qui devez prendre la place centrale dans la conceptualisation de ce nouveau projet scolaire.
C'est donc une nouvelle école tournée sur l'enseignant et l'élève que je viens vous proposer. Et c'est pour cela que je veux que vous soyez là pour construire ce nouveau projet pour une nouvelle instruction à la philosophie renouvelée.
Je veux donc que les enseignants soient mieux considérés et c'est donc pour cela que je veux que l'enseignant soit le rôle central dans toute refonte de l'école; C'est donc avec vous que je veux bâtir ce nouveau projet ambitieux. Je veux que vous soyez mis à la hauteur de ce que vous êtes et de ce que vous faites pour la jeunesse.
C'est dans cette école aux valeurs et aux modes de fonctionnement renouvelés dans laquelle l'enseignant joue un rôle encore plus important qu'actuellement.
Vive les enseignants! Vive l'instruction publique! Et vive Antsiranana!
