AIF - 15/04/092
Kervern : Une forte mobilisation contre l'impérialisme
Kervern : Une forte mobilisation contre l'impérialisme
La manifestation contre l'impérialisme et l'intervention occidentale en Syrie, organisée à Kervern après l'appel lancé par Charlotte Lamrabet, aurait rassemblé 70 000 personnes selon les organisateurs et 55 000 selon la Police Urbaine.
"Trump Démission !", "Trump criminel, Macron complice !", "Vive la Syrie libérée !", "À bas l'Occident !" ; tels étaient quelques-uns des très nombreux slogans entonnés durant le défilé. De très nombreuses personnalités politiques ont été aperçues au début du cortège, provenant notamment de l'UPP, du MPD-O, du MAMA, de la CUL ou encore de LR. Parmi elles, de nombreux cadres de premier plan : le Gouverneur de Tyrsènie Simon Brexel, La Gouverneure de Septimanie Anastasia Mendoza, le Ministre du Budget Julien Citron... Mais aussi de nombreux maires : Charlotte Lamrabet (Kervern), Romane Macé (Chouchenn), Amandine Smith (Samarcande), Olivier Brimont (Gambino), Aritz Alves Alarcón (San Juán)...
De nombreux drapeaux de la Frôce, de la Syrie, de la Russie, de l'Iran et du Hezbollah libanais ont été aperçus. Avant le départ du cortège, un totem géant à l'effigie de Donald Trump a été brûlé par certains manifestants. Durant le défilé, des drapeaux américains, français, britanniques et israéliens ont également été incendiés.
Malgré ce défilé à l'unisson entre différentes forces politiques de premier plan qui d'habitude s'opposent, et bien qu'un impressionnant arsenal de sécurité ait été déployé, quelques incidents ont été constatés. Le consulat de France a notamment été la cible d'une multitude de projectiles, plusieurs fenêtres ont été brisées. À la fin du cortège, alors que la plupart des manifestants avaient quitté les lieux, un bloc compact d'environ 150 individus aux visages masqués s'en est pris aux forces de la Police Urbaine à l'aide de cocktails molotov et du mobilier urbain. Les dégâts sont estimés à environ 12 000 Pluzins.
27 individus ont pu être appréhendés et mis en garde à vue. Tous appartiennent à un groupuscule d'extrême-droite se revendiquant du solidarisme et du nationalisme révolutionnaire.
Les organisateurs ont promis une nouvelle mobilisation dès la semaine prochaine, cette fois-ci à Aspen.
"Trump Démission !", "Trump criminel, Macron complice !", "Vive la Syrie libérée !", "À bas l'Occident !" ; tels étaient quelques-uns des très nombreux slogans entonnés durant le défilé. De très nombreuses personnalités politiques ont été aperçues au début du cortège, provenant notamment de l'UPP, du MPD-O, du MAMA, de la CUL ou encore de LR. Parmi elles, de nombreux cadres de premier plan : le Gouverneur de Tyrsènie Simon Brexel, La Gouverneure de Septimanie Anastasia Mendoza, le Ministre du Budget Julien Citron... Mais aussi de nombreux maires : Charlotte Lamrabet (Kervern), Romane Macé (Chouchenn), Amandine Smith (Samarcande), Olivier Brimont (Gambino), Aritz Alves Alarcón (San Juán)...
De nombreux drapeaux de la Frôce, de la Syrie, de la Russie, de l'Iran et du Hezbollah libanais ont été aperçus. Avant le départ du cortège, un totem géant à l'effigie de Donald Trump a été brûlé par certains manifestants. Durant le défilé, des drapeaux américains, français, britanniques et israéliens ont également été incendiés.
Malgré ce défilé à l'unisson entre différentes forces politiques de premier plan qui d'habitude s'opposent, et bien qu'un impressionnant arsenal de sécurité ait été déployé, quelques incidents ont été constatés. Le consulat de France a notamment été la cible d'une multitude de projectiles, plusieurs fenêtres ont été brisées. À la fin du cortège, alors que la plupart des manifestants avaient quitté les lieux, un bloc compact d'environ 150 individus aux visages masqués s'en est pris aux forces de la Police Urbaine à l'aide de cocktails molotov et du mobilier urbain. Les dégâts sont estimés à environ 12 000 Pluzins.
27 individus ont pu être appréhendés et mis en garde à vue. Tous appartiennent à un groupuscule d'extrême-droite se revendiquant du solidarisme et du nationalisme révolutionnaire.
Les organisateurs ont promis une nouvelle mobilisation dès la semaine prochaine, cette fois-ci à Aspen.
