La Frôce est un RPG Politique par forum, gratuit. Micronation virtuelle, vous y faites évoluer votre personnage pour accéder aux plus hautes fonctions de l'état.
Gérer et faire évoluer son entreprise, en Frôce c'est tout un savoir-faire ! Vous pouvez aussi gérer une association à vocation non politique et son but ne doit pas être lucratif.
Élite World Immo, une entreprise partenaire du réseau TONTON WORLD CORP. Élite World Immo, une jeune entreprise fondé par Alexandre Lamrabet dont la finalité est double, celui de développer un climat de confiance entre ses collaborateurs et promouvoir la mobilité interne au sein du groupe.
Élite World Immo est une structure désireuse de révolutionner le secteur de l’immobilier. Elle a pour projet de se doter d’un fort réseau d’agent immobilier « indépendant » formé par l’entreprise. Des agents immobiliers indépendants provenant d’horizon différent et varié à qui EWI donne la possibilité de mieux représenter le parc immobilier et apporter de la valeur ajoutée à un secteur souvent la proie à des objectifs imprécis.
Elle souhaite développer une certaine éthique au sein du marché immobilier avec l’instauration d’un suivi particulier de ses clients, des objectifs clairs et précis émis par les clients et l’entreprise dont le réseau partenaire TONTON WORLD CORP n’a pas hésité une seconde à soutenir dans la démarche étant la sienne.
En cette nouvelle année, Élite World Immo vient d’instaurer en accord avec ses salariés actionnaires, les syndicats ainsi que l’équipe de direction, un plan stratégique sous le nom de TransImmo 2030 qui s’articule sur de multiples objectifs comme celui d’allier un ensemble de services au profit de l’immobilier : la livraison par drone ainsi que la continuité du développement de la domotique.
En cette année 092, Élite World Immo continue d’explorer de nouveaux terrains constructibles. Le PDG, Alexandre Lamrabet vient d’annoncer la construction d’un parc d’attractions à thèmes comportant un complexe touristique et urbain de 45 km2 (soit 4 500 hectares) situés dans les villes de Casarastra et de Pastelac. Ce projet baptisé « Hastérix » comporte 2 parcs à thèmes – le parc Hastérixis et le parc Hastérix Studios ainsi que 15 hôtels. Le site est relié par différents réseaux de transports avec un prolongement exclusif d’une ligne de métro, la construction de l’autoroute C4 reliant Casarastra et Pastelac et la rénovation de plusieurs lignes de tramway. Financer en partie par le GIE, Tonton Group d’une part et d’un conglomérat de riches princes saoudiens de l’autre. Le parc Hastérix s’étend sur une superficie de 100 hectares et loue certaines de ses emplacements à des hôtels grands standing et des restaurants hautement étoilés partenaire du réseau ETI. Pas plus de 150 attractions sont proposées au public, ce qui fait d’ETI le premier employeur des deux villes avec l’embauche de 6 000 employés. Les prix des billets sont estimés à 75 € par personnes. Le parc devrait ouvrir ses portes au public d’ici le 11 mars 092.
Alexandre Lamrabet ainsi que son équipe de direction souhaite s’excuser auprès de la population et des pouvoirs publics sur l’énorme erreur qui s’est involontairement glissée dans le communiqué de presse d’hier soir. Le coût final du projet de construction du parc d’attractions à thèmes sous le nom de « Hastérix » s’élève à un montant de 50 856 745 963 pluzins. Le président-directeur général vient de prendre les mesures nécessaires afin de rectifier le tir par le licenciement de son équipe de communication.
La Commission des finances et des fraudes ont investi ce matin, le bureau de l’ancien homme politique afin d'éplucher les comptes bancaires et les bilans comptables de la SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). Alexandre Lamrabet déclare être affligé et victime d’un excès de pouvoirs des responsables politiques à son égard. Par le biais de ses avocats, il a porté l’affaire devant la justice et plus précisément devant le Tribunal administratif d’Aspen pour atteinte à la liberté d’entreprendre ainsi qu’à la vie privée.
Alexandre Lamrabet devrait s’entretenir dans les prochains jours avec le ministre fédéral en charge de la Politique Monétaire afin de se justifier et présenter ses projets à l’État fédéral. Le réseau immobilier ETI espère bien remporter le contrat de réhabilitation des prisons frôceuses et la construction de nouveaux hôpitaux psychiatriques et universitaires sur le territoire national.
Keep Automobile annonce la fermeture de l’une de ses usines installée à Lônes
C’est dans l’après-midi que Keep Automobile, filiale détenue à 100 % par le groupe ETI a annoncé la fermeture immédiate de l’une de ses cinq usines situées dans la province de Catalogne, à Lônes.
Le groupe automobile n° 1 des ventes de l'année 091 annonce l'arrêt immédiat de sa production de voitures dans l’un de ses plus importantes usines du pays. Une usine qui n’employait pas moins de 700 personnes en CDI, 200 en CDD et à peine une centaine en contrat d’intérim. Le groupe venait pourtant d’annoncer le lancement de la production d’une nouvelle gamme de voitures utilitaires et de SUV familiale qui serait vendu à des prix très attractifs aux ménages frôceux.
Keep Automobile déplore que la situation économique actuelle du pays soit intenable. Elle accuse les autorités publiques d’imposer des lois bien trop contraignantes pour l’activité économique du secteur automobile. Elle annonce aussi que l’usine de Lônes sera déplacée en Éthiopie à Addis-Abeba, la capitale. Elle encourage vivement ses employés à s’expatrier là-bas pour garder leur travail.
Cette délocalisation a été facilitée par les nombreux traités bilatéraux que le gouvernement Lubenac I a signés avec les gouvernements africains. Keep Automobile prévient déjà qu’elle ne paiera aucune indemnité et pénalité qui lui sera infligée. Si le gouvernement persiste à imposer ses intentions au secteur automobile, elle menace de délocaliser les quatre dernières usines qui lui appartiennent sur le territoire national.
Le groupe ETI interrompt son activité sur le sol frôceux
L’un des membres-fondateurs du groupe ETI vient d’annoncer devant la presse à 1 h 33 que les activités du groupe sont pour l’heure interrompues sur l’ensemble du territoire. Elle condamne fermement la décision du gouvernement fédéral de nationaliser l'usine de Lônes et d'intenter un action en justice à l'encontre de Alexandre Lamrabet. Les bureaux du groupe sont pour l’heure vidés et leur contenu acheminer vers un lieu tenu secret jusqu’à leur départ pour Doha. La présidence du groupe est pour l’heure assurée par Nassim bin Salal Al Taud, nouveau président-directeur général en intérim.
Ce dernier déclare depuis Doha « Les pratiques de l’État envers A.L sont pour l’heure inexplicable. Celui-ci s’est toujours plié aux règles qui devenaient de plus en plus contraignantes. On déplore que les réformes qui seront décidées par le gouvernement bouleversent significativement le tissu économique et conduit de nombreux entrepreneurs à mettre la clé sur la porte. Nous décidons donc de délocaliser l’ensemble de nos activités ailleurs. »
Pour information, le groupe ETI possède de nombreuses acquisitions dans divers secteurs d’activité. Elle détient les parts de Tephora, le numéro 1 des produits cosmétiques dans le monde ou encore Mandarine Télécoms étant l’une des plus importantes sociétés de télécommunications à travers le monde.
Le groupe venait d’ailleurs de faire d’importantes acquisitions durant les derniers mois comme Karfor le géant de la grande distribution. L’intention de délocaliser les services du groupe va engendrer le licenciement de milliers de personnes. Le groupe vient de prévenir l’ensemble de ses filiales que la publication de leur compte était pour l’instant interdite et que si nationalisation, les membres-fondateurs ainsi que les actionnaires seraient dans l’obligation de vider les comptes et de pratiquer l'évasion fiscale.
Nassim bin Salal Al Taud vient d’annoncer depuis Doha par le biais d’un communiqué de presse que la cession du groupe EWI ainsi que ses filiales a été votée à l’unanimité des membres fondateurs comprenant le suffrage de M. Alexandre Lamrabet.
Au regard des propositions qui ont été faites en provenance de plusieurs multinationales du pays, les membres fondateurs ont à l’unanimité des voix refuser de céder le groupe ainsi que ses 10 filiales à l’une des entreprises ayant fait part de leur désir de rachat.
Les membres fondateurs ont dû se réunir une deuxième fois et cette fois-ci convoquée, une assemblée générale extraordinaire afin de décider à main levée quelle entreprise deviendrait propriétaire du groupe EWI à 100 % des parts. Ils ont décidé de revendre le groupe à l’euro symbolique à Queolys, une entreprise dont le siège social est basé sur l'île de Norijo appartenant à Arthur Grandjean.
Le cheikh, Nassim bin Salal Al Taud a déclaré : « Queolys est la seule entreprise qui a retenu notre attention. Elle s’est engagée à continuer d’assurer les activités du groupe et de ses filiales sur le territoire national. D’ailleurs, elle appelle les salariés de Keep Automobile à regagner leurs postes de travail, car le réacheminement des outils de production vient d’être demandé. »
Nassim bin Salal Al Taud, président-directeur général par intérim
