+ Karl Lacroix-Hanke

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Merci à tous pour cette fabuleuse campagne et pour votre soutien.

Mon action à Vauxin se poursuivra, dans le but d'améliorer davantage la vie de nos habitants. Je tenais à féciliter M. de Salvo pour la qualité de sa campagne et pour son score.

Je remercie le Chancelier Suprême pour la confiance qu'il m'a accordé en me nommant numéro 2 du Gouvernement Fédéral et en me confiant la Diplomatie et la Défense de notre pays.

J'aurais à coeur de mener l'action avec énergie et pragmatisme durant ce mandat confié par les frôceux.

[Karl Lacroix-Hanke]

+    Karl Lacroix-Hanke aime le pluzin de Anastasia Mendoza Ojeda.

On dirait que l'UPP vient de découvrir la ligne diplomatique traditionnelle de la Frôce.

Si nous refusons l'alignement aveugle à un bloc, ce n'est pas pour nous fermer aux deux autres, la position intermédiaire n'a de valeur qui si elle est celle d'un pont. Nous devons dialoguer avec la Russie si cela sert les intérêts de la paix et du peuple frôceux.

La volonté de s'enfermer avec des interlocuteurs respectant les mêmes standards de droits humains rappelle clairement les discours du PLC. Mais que chacun sache que ce n'est pas en ignorant ouvertement un pays qu'on le pousse à progresser, bien au contraire, cela donne une excellente raison à sa classe politique pour attiser la haine de l'étranger.

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Fier de pouvoir m'investir dans le Gouvernement Provincial de Transalpie.

Je remercie Eric Valmont pour la confiance qu'il m'a témoigné. Nous devons maintenant tourner la page Belfort et nous focaliser sur l'avenir.

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Je suis un peu attristé par le départ de Vincent de Salvo de Vauxin même si j'en comprends les raisons. Je le félicite par ailleurs pour sa désignation à la Mairie d'Aspen.

En tant que conseiller municipal vauxinois membre de l'opposition, Monsieur de Salvo a toujours fait preuve de respect et de détermination. Son engagement était un atout pour notre ville et sa présence manquera.

Au delà des différences d'opinion, je lui souhaite pleine réussite dans ses projets !

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Un Président de l'Assemblée Fédérale qui réinvente la Constitution, qui met en cause la légitimité du Chancelier Suprême, qui décide arbitrairement d'aller à l'encontre des règles qui régissent l'Assemblée Fédérale, qui est, du reste, hors-la-loi en ne nommant pas un Vice-Président comme la Constitution l'y oblige...

Non, vous ne rêvez pas, ça se passe bien en Frôce, à notre époque ! L'attitude de M. Karlsson n'est saine, ni pour l'opposition, ni pour le pays. En s'obstinant à aller contre la loi, il perd toute crédibilité.

Devant son mépris et son obstination, je n'ai eu d'autre choix que de saisir la Cour Suprême : viewtopic.php?f=56&t=2165
En espérant que les débats puissent reprendre et que la représentation fédérale puisse faire son travail, obstrué aujourd'hui par Victor Karlsson.

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Je remercie la Cour Suprême d'avoir étudié ma saisine et d'avoir apporté les éclaircissements nécessaires quant à la situation (viewtopic.php?f=56&t=557&sid=3f8f7849b3 ... 8&start=10).

Les débats sur les autres traités seront donc traités en neuvième session, mais sur tout le reste, la Cour Suprême conforte mes arguments.

J'invite sans délai M. Karlsson à respecter la décision qui a été rendue et à faire le nécessaire pour que le travail parlementaire puisse reprendre.
Par sans délai, j'entends bien sans délai et non "un après-midi" en Karlssonie, qui vaut en réalité pratiquement un jour, pour le moment... à voir le temps que mettra le Vice-Président de l'Assemblée Fédérale à être nommé...

[Karl Lacroix-Hanke]

+   Je souhaite adresser à Gabriel et Angela von Bertha mon soutien sincère dans les moments difficiles qu'ils traversent.

Je le fais à titre personnel car Gabriel est un ami, mais aussi de la part des militants ADF.

[Karl Lacroix-Hanke]

+   J'ai appris avec une immense tristesse, le décès d'Angela von Bertha. Je ne parviens pas à trouver les mots, mais résonnent en moi ceux de mon grand-père, peu avant que nous fêtions ses cents ans. Il disait : "Angela, c'est quelqu'un de tellement pugnace et de tellement déterminé, qu'elle est capable encore aujourd'hui de se lancer dans une campagne électorale et de donner du fil à retordre à ses opposants. Tu ne l'as pas connu comme moi. Nos empoignades lors des débats télévisés, nos oppositions, nos convergences. Elle ne rit jamais en public et pourtant elle est capable des pires fous rires, ceux qui ne sont pas rattrapables lorsqu'il faut reprendre une conversation avec sérieux. Elle a beaucoup donné, au risque de s'épuiser et parfois de se perdre. S'il y a bien quelqu'un que je veux avoir à mon anniversaire, c'est elle ! Nous vous éclipserons dans un coin, nous parlerons du passé, du présent, de l'avenir, avec nos visions de vieux. Elle me racontera comment on utilise un déambulateur, je lui dirai comment je fixe mon dentier. Nous éclaterons de rire en voyant tous ces gamins danser sur des musiques modernes. Nous échangerons des mots en allemand, parce que nous aimons cette langue. Nous ferons exploser notre glycémie en nous goinfrant de gâteaux. Et nous raconterons des anecdotes à qui voudra bien l'entendre. Nous parlerons de cette fois où dans les couloirs de l'ADF, nous nous étions percutés en nous renversant du café brûlant dessus. Des petites parcelles de souvenirs qui sont devenus notre vie. Qui sait, nous vous donnerons peut-être envie de vivre des choses pareilles ! Nous serons au présent, parce qu'à nos âges, il n'y a plus rien d'autre qui compte. L'avenir c'est la tombe, le final, c'est la mort. Alors profitons de nous sentir vivants et de l'être encore, pour aimer tout ce que le quotidien nous offre !".

Mes condoléances à sa famille et plus particulièrement à Gabriel, à qui j'adresse, à distance, mon entier soutien.

[Karl Lacroix-Hanke]

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