[Bio] Victor Karlsson-Marshall

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Victor Karlsson-Marshall
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Victor Karlsson-Marshall

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Victor Karlsson-Marshall OCA HCO OOZ MO, de son nom de naissance Victor George Erik Karlsson Montesa, né le 24 juin 66 à Pastelac en Catalogne, est un ingénieur, politicien, militant LGBTQ, homme d'État catalan frôceux, connu pour avoir été 2ème Gouverneur de Catalogne et 4ème Chancelier Suprême de Frôce.

Enfance et famille
Fils d'Elena Montesa, architecte catalane, et de Rowan Karlsson, médecin d'origine norvégienne immigré en Frôce, Victor a une soeur, Lina Karlsson, actuellement militante au MAMA, et un frère, Nils Karlsson. Il est également le petit fils d'Erik Karlsson, homme d'affaire et secrétaire d'État norvégien. Enfant, il grandit avec sa famille dans une banlieue pavillonnaire plutôt aisée de Pastelac. Né d'un père protestant et d'une mère pastelite, il reçoit un baptême œcuménique. Par la suite, il se revendique athée bien qu'il demeure attaché aux traditions pastelites.

Titulaire d'un BNES Scientifique qu'il obtient à l'issue de sa scolarité à l'institut privé Saint-George de Pastelac, il entre en 80 à l'École Internationale des Sciences et Technologies de l'Information. Il en ressort à l'âge de 21 ans avec le diplôme d'ingénieur en informatique et en mathématiques appliquées.

Engagement militant
Homosexuel assumé, il milite activement pour la cause LGBT dès ses 15 ans au Centre National LGBT. Il est notamment partie civile dans le médiatisé procès Karlsson c/ Léonard en 87.
Engagé dès l'adolescence en politique, il rejoint le Mouvement des Jeunesses Progressistes à sa majorité, au sein duquel il rencontrera de futures personnalités politiques importantes de l'UPP, telles qu'Enrique Mataró. Actif et consensuel parmi les militants du mouvement de jeunesse socialiste, il est désigné par Philippe Richard, alors Premier Secrétaire de l'UPP, pour en prendre la tête en juin 87.

Débuts à l'UPP (88)
Au cours des élections générales de l'an 88, il s'engage en tant que tête de la liste UPP à l'élection provinciale de Catalogne. A l'issue des élections générales, il devient député fédéral, chef de l'opposition en Catalogne et maire-adjoint de Pastelac. Il entretient lors de cette période une relation amoureuse avec le maire de Pastelac, Matt Daton.
Après avoir été encouragé à se présenter par son camarade et ami Julien Citron, il est élu Premier Secrétaire de l'Union Pour le Progrès avec 97% des voix le 27 juillet 88, au terme du premier Congrès d'Aspen. Il obtient sa réélection au Congrès de Pastelac d'octobre 89, avec 98,47% de votes favorables des militants.
Son mandat comme Premier Secrétaire puis Premier Secrétaire Fédéral de l'UPP durera 6 ans et sera marquée de nombreuses réformes alors saluées par les militants, et d'un redressement intense du parti, de même que l'affirmation d'une ligne politique ancrée à gauche. De plus, sa personnalité consensuel et non-clivante lui permettront par la suite de se faire reconnaître à gauche autant qu'à droite et lui permettront de faciliter son ascension rapide dans la politique locale et fédérale.

Vice-Chancelier du gouvernement Ansaldi (89)
A l'âge de 23 ans, il est nommé Vice-Chancelier en charge de la Coopération Interrégionale par la Chancelière Suprême Alessandra Ansaldi, au terme des élections générales de 89, aux côtés des ministres de son parti Julien Citron, Philippe Richard et Romane Macé. Dès ses premiers mois en fonction, il s'attelle, à la coopération interrégionale, au dossier Antsiranana, qui malgré un accord conclu avec les représentants des factions autonomistes, n'aboutira pas à un changement de législation, en raison de l'épisode de peste de 89 et des troubles politiques en 90. Il sert également de médiateur lors de la crise indépendantiste de Norijo d'octobre 89.
Lors de la crise du 4 novembre 90, il est le seul membre du gouvernement fédéral resté en poste dans la capitale frôceuse, le reste du gouvernement ayant évacué la ville pour Farellia, afin d'éviter les pressions de la municipalité aspinoise. Comme Vice-Chancelier, il servira brièvement d'intermédiaire auprès d'Eduardo Belfort, alors Gouverneur de Transalpie et désigné par une partie de la majorité transalpienne comme seule Chancelier légitime après le départ d'Alessandra Ansaldi. Toutefois, le paroxysme et la fin abrupte de la crise coupent court aux négociations entre le Vice-Chancelier et le Gouverneur de Transalpie.
Le 19 novembre 90, il est élu Gouverneur de Catalogne, succédant ainsi au gouverneur centriste Paolo Valbonesi, destitué par arrêté de la Cour Suprême pour incompétence.

En novembre 90, sa liaison avec Eliott Marshall, alors président des Jeunesses Libérales-Conservatrices, est révélée par le magazine Frôce People. Malgré une polémique qui s'ensuivit sur le droit à la vie privée des personnalités politiques, il se déclare dans une interview "fier de qui il est et de la personne avec qui il partage sa vie".

Dans l'opposition (90-91)
Lors des élections générales de 90, il est investi par son parti comme tête de liste aux fédérales et aux provinciales en Catalogne, ainsi qu'à l'élection municipale de Pastelac.
Candidat sérieux à Belley, donné favori par les sondages et les pronostics des médias pour ces élections, ses principaux opposants aux fédérales sont le centriste Karl Lacroix Hanke, le conservateur Arthur Lubenac, le libéral-conservateur Eduardo Belfort et la républicaine Lisa Reyes, tandis qu'aux élections en Catalogne et à Pastelac, il s'oppose au centriste Nathan Gicquel. Il remporte l'élection catalane mais perd néanmoins de justesse l'élection fédérale, devancé de quelques dizaines de milliers de votes par le MPD. Il se fait élire à la Présidence de l'Assemblée Fédérale durant cette période et est réélu à la gouvernance de Catalogne et à la mairie de Pastelac.

Premier mandat de Chancelier Suprême (92-93)
En mars 92, il est à nouveau tête de liste de l'UPP aux élections fédérales, candidat en Catalogne et à Pastelac. A nouveau favori, il profite cette fois de la perte de confiance à droite et au centre et parvient à mener sa liste en Catalogne à 47,39% des voix, obtenant 117 sièges, tandis qu'à l'Assemblée Fédérale, sa liste obtient 20,6% et 132 sièges, réalisant les meilleurs scores jamais réalisés à des élections provinciales et fédérales, et se qualifiant pour la nomination en tant que négociateur impérial à l'âge de 25 ans, tandis qu'en Catalogne, c'est Enrique Mataró qui lui succède.

Le 7 mars 92, il devient officiellement le 4e Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar, menant, avec l'appui de son parti, du MAMA et du FCF, l'une des plus larges coalitions de l'histoire parlementaire du pays et devenant alors le plus jeune dirigeant au monde devant le leader nord-coréen Kim Jong-un et le Chancelier fédéral autrichien Sebastian Kurz, le plus jeune Chancelier frôceux depuis l'avénement de l'Empire, et également l'un des trois seuls dirigeants ouvertement homosexuels au monde. Il est formellement investi dans ses fonctions le 8 mars 92, après la cérémonie de passation et l'entretien privé avec l'ex-chef de gouvernement Arthur Lubenac.

Dès les débuts de son mandat comme chef du gouvernement, il lance une politique étrangère axée sur l'ouverture à l'Europe du Nord et à la Francophonie, sans rompre les liens avec la tradition de non-alignement frôceuse. Son gouvernement mettra en place plusieurs projets interprovinciaux à l'image du projet d'organisation de la police et d'un projet visant à coordonner l'accueil des réfugiés et migrants sur le territoire frôceux. Malgré des échecs sur la politique fiscale menée par le ministre Julien Citron qui affecte son image à gauche, son soutien à de nombreuses initiatives de la Protection Sociale lui permettent de maintenir l'approbation de la coalition.
Pieux monarchiste, il fera fréquemment allusion à l'Imperatore dans ses discours et interventions et mettra en place avec celui-ci des audiences hebdomadaires afin de rendre compte du travail du gouvernement impérial. Doté tout au long de son premier mandat d'une forte cote de popularité, il bat le record de confiance d'un chef de gouvernement en fonction avec près de 60% d'approbation et de satisfaction vis-à-vis de son travail à la Chancellerie.

Second mandat de Chancelier Suprême (93-94)
Le 24 mai 93, après l'annonce des résultats de la campagne des élections générales de 93, il est reconduit dans ses fonctions de Chancelier Suprême par décret de l'Imperatore. Il devient ainsi le premier Chancelier à résister à l'épreuve du pouvoir en maintenant son parti à un score stable, de même que le premier Chancelier à remporter une réélection.
Sa coalition UPP-MAMA-FCF sera reconduite avec cette fois le soutien de la CUL, qui entre au gouvernement fédéral avec la nomination d'Esteban Belmonte, assurant ainsi la coalition de gauche d'un total de 259 sièges, face à une alliance du centre-droit de 76 sièges et un axe de droite radicale de 29 sièges.

Son deuxième mandat est marqué par une présence plus importante des alliés de la coalition au sein du gouvernement : avec l'éviction de Julien Citron, le gouvernement Karlsson se compose alors de deux membres de l'UPP, deux membres du MAMA, un membre du FCF et un membre de la CUL, mais aussi par un regain d'activité sur le plan diplomatique : il verra notamment l'accession de la Frôce au Conseil de Sécurité des Nations Unies avec la nomination de Pierre Ladan comme ambassadeur auprès de l'organisation, la signature d'un nombre record de traités en Amérique, en Asie, dans la Pacifique et en Afrique et la ratification de nombreuses conventions internationales. Le reste de la politique intérieure n'est pas en reste : le second mandat de Victor Karlsson sera celui de l'amendement de la Constitution visant à intégrer la charte des droits fondamentaux, de la création de l'Agence Spatiale Technologique Frôceuse et de l'intégration frôceuse à l'Agence Spatiale Européenne, de la poursuite des réformes de la protection sociale, d'un nouveau projet anti-libéral de réforme des transports, d'un projet de financement du PARM et de réformes fiscales très lourdes qui permettront de financer les nouveaux fonds alloués à la coopération interprovinciale, le sauvetage de la SNTF et de Frôce Airlines, ainsi que les projets sociaux mis en place sous ses deux mandats.

Les dernières semaines de la gouvernance Karlsson se révéleront plus calmes de par l'adoption des quelques derniers textes de loi, mais aussi et surtout de son mariage avec Eliott Marshall, le 18 juillet 94, à l'Hôtel Belley, en cérémonie privée. Malgré une popularité stagnante à 60%, son travail recueille majoritairement l'approbation des Frôceux, et Victor Karlsson-Marshall quitte la Chancellerie en maintenant un gouvernement stable et en échappant aux scandales, contrairement à son prédecesseur.

Retrait progressif de la vie politique (94)
Après son second mandat, il annonce ne pas être candidat à sa succession à l'UPP comme à la Chancellerie, estimant nécessaire de laisser sa place et de ne pas s'imposer indéfiniment. Le Congrès de Chouchenn de 93-94 se démarquera des précédentes élections internes de l'UPP par l'absence de candidature de Victor Karlsson mais aussi par un nombre de 5 motions déposées par des candidats à sa succession. Après une campagne interne qui aura été la plus imprévisible de l'histoire des partis depuis l'avènement de l'Empire, c'est finalement Adrien Landreau qui succède à Victor Karlsson-Marshall à ses fonctions de Premier Secrétaire Fédéral et qui mènera la campagne de 94.

Aux élections de 94, l'UPP conserve un score stable considérant le recentrage des cadres du parti sur les localités plutôt que sur le niveau fédéral. La CUL, arrivant en tête, reconduit la coalition CUL/MAMA/UPP/FCF et nomme à la Chancellerie Mats Maessen, candidat du MAMA, qui succède donc à Victor Karlsson-Marshall. Le 8 août 94, la cérémonie de passation a lieu et Victor Karlsson quitte définitivement le 11 avenue de Phinacie.

Après son second mandat, celui-ci annonce son souhait de se retirer de la vie politique pour mieux se consacrer à sa vie de famille et à la fondation qu'il copréside avec son mari, The European LGBT Foundation. Les deux emménagèrent ensemble dans une résidence sur les hauteurs de Casarastra, et partirent peu de temps après la fin du mandat de Victor en voyage de noces à San Francisco.

  • Études
    • BNES Scientifique (mention excellent), à l'Institut privé Saint-George de Pastelac (80)
    • Diplôme d'Ingénieur en Informatique et Mathématiques appliquées à l'EISTI de Pastelac (85)
  • Expériences professionnelles
    • Stage en entreprise à San Francisco (été 82)
    • Stage en entreprise à Kyoto (automne 83)
    • Stage en entreprise à Montréal (printemps 84)
    • Intervenant spécialisé en cryptographie et en programmation à l'EISTI de Pastelac (85-86)
    • Ingénieur chef de projet à K Corp © (85-88)
  • Engagements politiques
    • Militant au Centre National LGBT (79-93)
    • Militant au Mouvement des Jeunesses Progressistes (82-86)
    • Président du Mouvement des Jeunesses Progressistes (86-88)
    • Porte-parole de l'Union Pour le Progrès (87-88)
    • Premier Secrétaire Fédéral de l'Union Pour le Progrès (88-94)
    • Co-fondateur de The European LGBT Foundation (depuis 93)
  • Fonctions locales
    • Maire-adjoint de la ville de Pastelac - Administration Matt Daton (88-90)
    • Maire de la ville de Pastelac (90-93)
    • 2ème Gouverneur de Catalogne - Cabinet Karlsson I. et II (89-92)
    • Vice-gouverneur de Catalogne - Cabinet Mataró I (92-93)
  • Distinctions et titres honorifiques
    • Citoyen d'Honneur de la ville d'Île-Kana (89)
    • Citoyen d'Honneur de la ville d'Etchegorda (90)
    • Marquis d'Or du Marquisat de Norijo (90)
    • Officier d'Honneur de l'Ordre d'Occitanie (comme Gouverneur de Catalogne) (91)
    • Grand-Officier de l'Ordre de la Croix d'Argent (comme Chancelier Suprême) (92)
    • Citoyen d'Honneur de la ville de Port-des-Indes (93)
    • Grand-Officier de l'Ordre du Zébu (94)
    • Champion du Tournoi de l'Arasa XXIII (94)
    • Chevalier de la Légion du Mérite de Catalogne pour les mérites social et sportif (95)
    • Grand-Croix de la Légion d'Honneur (France)
    • Grand-Officier de l'Ordre du Lion Doré (Luxembourg)
    • Grand-Officier de l'Ordre de Léopold (Belgique)
    • Chevalier Grand-Croix de l'Ordre d'Orange-Nassau (Pays-Bas)
    • Grand-Croix 1ère Classe spéciale de l'Ordre du Mérite de la République Fédérale Allemande (Allemagne)
    • Chevalier de l'Ordre de l'Éléphant (Danemark)
    • Chevalier de l'Ordre royal de Séraphin (Suède)
    • Grand-Croix de l'Ordre royal norvégien de Saint-Olaf (Norvège)
    • Croix de Grand-Chevalier avec Étoile de l'Ordre du Faucon (Islande)
    • Chevalier Grand-Croix Honoraire du Très Honorable Ordre du Bain (Royaume-Uni)
    • Officier de l'Ordre du Canada (Canada)
    • Grand-Officier de l'Ordre national du Québec (Québec)
    • Grand-Cordon 1ère Classe de l'Ordre du Soleil Levant (Japon)
    • Chevalier du Grand Ordre de Mugunghwa (Thaïlande)
    • Collier de l'Ordre du Nil (Égypte)
    • Grand-Croix de l'Ordre du Rédempteur (Grèce)
    • Chevalier Grand-Croix de l'Ordre du Mérite de la République Italienne (Italie)
    • Commandeur de l'Ordre de Vytautas le Grand (Lituanie)
    • Commandeur de l'Ordre des Trois Étoiles (Lettonie)
    • 1ère Classe de l'Ordre de la Croix de Terra Mariana (Estonie)



Père, Époux, Chancelier Suprême, Citoyen.
Co-président-fondateur de The European LGBT Foundation


4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94)
2ème Gouverneur de Catalogne (90-92)
3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92)
2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90)
Ancien Maire de Pastelac
Prince dans une dimension parallèle
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