Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
- Riccardo Finacci Núñez
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Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Règles :
Ce débat compte uniquement pour les élections provinciales
Seuls les résidents de la province sont autorisés à intervenir
Maximum 10 interventions par parti ou tendance idéologique, le nombre d'intervenants n'est pas limité
Les journalistes neutres sont autorisés à intervenir.
Pas plus de 250 mots par message, sinon il ne compte pas. Comme il n'y a pas encore de compteur sur le forum, celui-ci fera foi : http://www.compteurdelettres.com/mots.html
Interdiction qu'une liste poste deux fois de suite
Les journalistes ne sont soumis à aucune limite de mots ou d'interventions
Interdiction d'éditer son message
- Début du débat : Vendredi 7 juillet
- Fin du débat : Vendredi 14 juillet
Les messages postés avant ou après les dates d'ouverture ne comptent pas
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- Anastasia Mendoza Ojeda
- Gouverneur
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Notre monde se dirige vers un changement de mode de vie et d'échelle de valeurs radical.
En effet, à l'échelle mondiale, l'emploi se contracte du fait des progrès de l'automatisation. Celui qui promet le plein emploi aux frôceux est soit un menteur soit un incapable, et j'ai assez de respect pour mes opposants pour privilégier la thèse du mensonge.
Nous tenons un discours de vérité, celui de la nécessité de la transformation de la société pour éviter que le choc de l'emploi se transforme en choc de la misère.
C'est pour accompagner cette transformation économique que nous souhaitons progressivement mettre en place un revenu universel qui doit atteindre les 1200 pluzins mensuels pour tous les adultes dans 10 ans.
Si nous souhaitons une application progressive, c'est car le budget requis est colossal, environ 75 milliards de pluzins par an, il faudrait plus que doubler les ressources régionales, chose qu'on ne peut pas faire qu'avec la croissance et la suppression de la majeure partie des autres aides.
Ainsi chaque pas vers le revenu universel devra être accompagnée d'un effort fiscal similaire. Cet effort sera calculé pour que les classes populaires et moyennes gagnent plus de pouvoir d'achat qu'ils ne perdent en prélèvement obligatoire.
En effet, à l'échelle mondiale, l'emploi se contracte du fait des progrès de l'automatisation. Celui qui promet le plein emploi aux frôceux est soit un menteur soit un incapable, et j'ai assez de respect pour mes opposants pour privilégier la thèse du mensonge.
Nous tenons un discours de vérité, celui de la nécessité de la transformation de la société pour éviter que le choc de l'emploi se transforme en choc de la misère.
C'est pour accompagner cette transformation économique que nous souhaitons progressivement mettre en place un revenu universel qui doit atteindre les 1200 pluzins mensuels pour tous les adultes dans 10 ans.
Si nous souhaitons une application progressive, c'est car le budget requis est colossal, environ 75 milliards de pluzins par an, il faudrait plus que doubler les ressources régionales, chose qu'on ne peut pas faire qu'avec la croissance et la suppression de la majeure partie des autres aides.
Ainsi chaque pas vers le revenu universel devra être accompagnée d'un effort fiscal similaire. Cet effort sera calculé pour que les classes populaires et moyennes gagnent plus de pouvoir d'achat qu'ils ne perdent en prélèvement obligatoire.
- Martin Grant-Calloway
- Electeur
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Cette élection dessine le futur économique de notre province et avec elle, la responsabilité d'une nouvelle gouvernance en définissant ses obligations. Je suis d'accord avec vous Madame, la raréfaction du travail doit nous emmener à un certain idéal que représente le Revenu Universel, j'y suis favorable.
Mais je considère avant toutes autres considération que chaque citoyen Frôceux et de Septimanie doit pouvoir avoir un emploi et de pouvoir vivre de manière décente. Je pense que la première étape du Revenue universel, c'est la réduction du temps de travail, qui permettrait de créer de l'emplois et par conséquent de la richesse et la spirale économique reprend son souffle. Je propose la mise en place des 32 heures avec une augmentation du SMC et la garantis de mettre la retraite à 60 ans pour tous, dans la prochaine mandature. Ces mesures coûteraient, 5 fois moins que le Revenue universel, mais aurait un impact direct sur la vie de nos concitoyens.
Mais je considère avant toutes autres considération que chaque citoyen Frôceux et de Septimanie doit pouvoir avoir un emploi et de pouvoir vivre de manière décente. Je pense que la première étape du Revenue universel, c'est la réduction du temps de travail, qui permettrait de créer de l'emplois et par conséquent de la richesse et la spirale économique reprend son souffle. Je propose la mise en place des 32 heures avec une augmentation du SMC et la garantis de mettre la retraite à 60 ans pour tous, dans la prochaine mandature. Ces mesures coûteraient, 5 fois moins que le Revenue universel, mais aurait un impact direct sur la vie de nos concitoyens.
- Alba Vittorini
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Je vous dois une confidence : je trouve que le Revenu Universel est une idée intéressante. Certes, un revenu fixe garanti pour tous, ce n'est clairement pas une chose égalitaire, puisque les inégalités sont préservées. En revanche, c'est un processus équitable, puisque chacun a le droit au même traitement, sans condition : c'est plus respectueux de l'individu que toutes les allocations actuelles qui ne font qu'appuyer le maintien sous perfusion des citoyens défavorisés par l'Etat.
Pourtant, en réalité, je n'y suis pas favorable. La principale raison : Si le revenu est universel, son mode de financement non. Or, ce revenu censé permettre de passer d'une "société du travail" (j'ai des contraintes me permettant de vivre) à une "société de loisir" (je vis librement), voit son financement structurellement assuré par une minorité, puisque seuls ceux qui travailleront, créeront la richesse nécessaire à l'existence de ce dispositif. Si je suis favorable au principe d'une société dans laquelle chacun peut vivre selon ses propres choix éthiques, je dois aussi constater que la pérennité à terme de ce système inéquitable n'est pas assurée.
La contrainte n'a de légitimité que si elle est consentie. Pourquoi pas un Revenu de Universel de Solidarité Per Capita auquel chacun peut loisiblement adhérer ? On cotise toute sa vie sur un compte personnel, et des sommes sont débloquées pour chacun selon ses besoins. Chacun ne vit ainsi qu'aux dépens de lui-même. Aide-toi toi-même...
Pourtant, en réalité, je n'y suis pas favorable. La principale raison : Si le revenu est universel, son mode de financement non. Or, ce revenu censé permettre de passer d'une "société du travail" (j'ai des contraintes me permettant de vivre) à une "société de loisir" (je vis librement), voit son financement structurellement assuré par une minorité, puisque seuls ceux qui travailleront, créeront la richesse nécessaire à l'existence de ce dispositif. Si je suis favorable au principe d'une société dans laquelle chacun peut vivre selon ses propres choix éthiques, je dois aussi constater que la pérennité à terme de ce système inéquitable n'est pas assurée.
La contrainte n'a de légitimité que si elle est consentie. Pourquoi pas un Revenu de Universel de Solidarité Per Capita auquel chacun peut loisiblement adhérer ? On cotise toute sa vie sur un compte personnel, et des sommes sont débloquées pour chacun selon ses besoins. Chacun ne vit ainsi qu'aux dépens de lui-même. Aide-toi toi-même...
Directrice Générale de Asclépios - Société leader de la Santé en Frôce
Ex-Chancelière Suprême
Juge à la Cour Suprême
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- Anastasia Mendoza Ojeda
- Gouverneur
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Quel intérêt pour celui qui est bien portant de cotiser pour le bien public plutôt que d'économiser pour lui-même, à part faire preuve de noblesse d'âme ? Personnellement je ne crois pas en la théorie du bon sauvage, sinon on ne verrait pas tant de riches procéder à des montages fiscaux de plus en plus sophistiqués.
Le système que le CUL propose est de loin le plus pérenne, la règle est la même pour tous, c'est 1200 pluzins par mois quel que soit son choix de vie, rien n'interdit de gagner plus par le travail ou le capital et on va chercher les moyens de financer là où ils sont, c'est à dire chez ceux qui gagnent beaucoup plus que ce seuil de 1200 pluzins mensuels. Il n'y a pas de variation selon la générosité des mieux dotés ou le nombre d'adhérents, seulement la stabilité d'un système bien établi.
Concrètement, l'idéal pour cette mandature serait une hausse du RMG de 20 % accompagnée d'une ouverture plus large du RMG aux travailleurs modestes, le but est de préparer les esprits pour une société qui renonce à être centée sur le travail, le revenu universel à proprement parler prendrait plusieurs mandatures, même à un niveau plus bas que 1200 pluzins mensuels, ne mettons pas la charrue avant les bœufs.
Le système que le CUL propose est de loin le plus pérenne, la règle est la même pour tous, c'est 1200 pluzins par mois quel que soit son choix de vie, rien n'interdit de gagner plus par le travail ou le capital et on va chercher les moyens de financer là où ils sont, c'est à dire chez ceux qui gagnent beaucoup plus que ce seuil de 1200 pluzins mensuels. Il n'y a pas de variation selon la générosité des mieux dotés ou le nombre d'adhérents, seulement la stabilité d'un système bien établi.
Concrètement, l'idéal pour cette mandature serait une hausse du RMG de 20 % accompagnée d'une ouverture plus large du RMG aux travailleurs modestes, le but est de préparer les esprits pour une société qui renonce à être centée sur le travail, le revenu universel à proprement parler prendrait plusieurs mandatures, même à un niveau plus bas que 1200 pluzins mensuels, ne mettons pas la charrue avant les bœufs.
- Maria Blum
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Bonjour à tous,
Je souhaite tout d'abord remercier mes adversaires de leurs participations à ce beau débat. Je porte une candidature qui prône l'égalité des chances, l'égalité de vie. Je me retrouve totalement dans la proposition d'un revenu universel et de diminution du temps de travail. Si le revenu universel est un moyen de se libérer d’un temps de travail pour s'épanouir dans un autre domaine, c’est un progrès.
Je souhaite également diminuer les taxes et impôts sur les foyers à revenus modestes. Je souhaite taxer le capital pour parvenir à diminuer sensiblement cette pression fiscale.
Si je suis élue, je m'engage à trouver un logement pour tous ! Nous devons donner les moyens à tous de vivre décemment. Le droit à une connexion internet sera également associé au droit d'accéder à l'eau potable et à l'électricité.
Chaque habitant de Septimanie doit avoir la possibilité de vivre mieux dans notre belle province. Je m'engage également à revenir sur la question de la retraite. Mon objectif est d'offrir à tous la possibilité de partir à 58 ans. La modernité, c'est aussi le progrès social !
Je souhaite tout d'abord remercier mes adversaires de leurs participations à ce beau débat. Je porte une candidature qui prône l'égalité des chances, l'égalité de vie. Je me retrouve totalement dans la proposition d'un revenu universel et de diminution du temps de travail. Si le revenu universel est un moyen de se libérer d’un temps de travail pour s'épanouir dans un autre domaine, c’est un progrès.
Je souhaite également diminuer les taxes et impôts sur les foyers à revenus modestes. Je souhaite taxer le capital pour parvenir à diminuer sensiblement cette pression fiscale.
Si je suis élue, je m'engage à trouver un logement pour tous ! Nous devons donner les moyens à tous de vivre décemment. Le droit à une connexion internet sera également associé au droit d'accéder à l'eau potable et à l'électricité.
Chaque habitant de Septimanie doit avoir la possibilité de vivre mieux dans notre belle province. Je m'engage également à revenir sur la question de la retraite. Mon objectif est d'offrir à tous la possibilité de partir à 58 ans. La modernité, c'est aussi le progrès social !
- Anastasia Mendoza Ojeda
- Gouverneur
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Puisqu'on l'évoque, le progrès est un élément central de l'idéologie du CUL.
Nous appelons tous les citoyens à s'éloigner du moralisme ancien qui sclérose la société depuis des années pour être enfin en mesure de tirer le meilleur de l'humain.
Prenons par exemple la pratique de la sieste, l'imagerie populaire y voit une marque d'oisiveté intolérable, la science y voit une pratique inscrite au plus profond de notre nature, un moyen d'améliorer notre humeur et un moyen d'augmenter nos capacités cérébrales, l'utilité sociale veut donc que cette pratique soit largement promue.
Elle sera promue par des horaires adaptés dans les établissements scolaires et les entreprises publiques ainsi que des incitations aux entreprises privées prêtes à franchir le cap, mais aussi par la mise en place de salles de repos optimalement équipées dans ces lieux.
User de la puissance publique pour favoriser cette pratique peut sembler vain, comme beaucoup sont encore enfermés dans une conception ancienne du monde, mais quand il y a un moyen d'améliorer à la fois le bonheur de la population et l'efficacité du travail, qui est en prime parfaitement respectueux de la nature, il est dommage de s'en priver pour quelques clichés.
La sieste sera le symbole de notre mandat, rien pour le moralisme, tout pour l'utilité sociale et le plaisir.
Nous appelons tous les citoyens à s'éloigner du moralisme ancien qui sclérose la société depuis des années pour être enfin en mesure de tirer le meilleur de l'humain.
Prenons par exemple la pratique de la sieste, l'imagerie populaire y voit une marque d'oisiveté intolérable, la science y voit une pratique inscrite au plus profond de notre nature, un moyen d'améliorer notre humeur et un moyen d'augmenter nos capacités cérébrales, l'utilité sociale veut donc que cette pratique soit largement promue.
Elle sera promue par des horaires adaptés dans les établissements scolaires et les entreprises publiques ainsi que des incitations aux entreprises privées prêtes à franchir le cap, mais aussi par la mise en place de salles de repos optimalement équipées dans ces lieux.
User de la puissance publique pour favoriser cette pratique peut sembler vain, comme beaucoup sont encore enfermés dans une conception ancienne du monde, mais quand il y a un moyen d'améliorer à la fois le bonheur de la population et l'efficacité du travail, qui est en prime parfaitement respectueux de la nature, il est dommage de s'en priver pour quelques clichés.
La sieste sera le symbole de notre mandat, rien pour le moralisme, tout pour l'utilité sociale et le plaisir.
- Maria Blum
- Messages : 390
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Nous pensons Madame Mendoza Ojeda qu'il y a d'autres progrés à acquérir avant celui-ci. Les semaines de 32 heures me semblent plus importantes tout comme la création du revenu universel dans un premier temps. Ce temps de travail libéré pour s'épanouir dans une passion, c’est un progrès que nous devons mettre en pratique dans notre belle province.
Je souhaite également redonner aux forces citoyennes et associatives une vraie place dans notre province. Nous devons reconnaître, aider, participer à leurs mouvements. Nous voulons une Septimanie ambitieuse, courageuse et surtout solidaire. Je soutiens une Septimanie offensive pour un accueil digne et humain des réfugiés et optimisant le droit au bonheur, aux goûts à la vie pour tous.
Je souhaite également redonner aux forces citoyennes et associatives une vraie place dans notre province. Nous devons reconnaître, aider, participer à leurs mouvements. Nous voulons une Septimanie ambitieuse, courageuse et surtout solidaire. Je soutiens une Septimanie offensive pour un accueil digne et humain des réfugiés et optimisant le droit au bonheur, aux goûts à la vie pour tous.
- Alba Vittorini
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
J'écoute vos interventions et n'entends que cela : "Il faut aussi faire des mesurettes, et ne surtout pas changer le programme."
Vous prônez la Liberté, mais avez tous à cœur qu'elle soit protégée par un Etat surpuissant. Personne ici n'ose proposer une Liberté totale. Parce que vous avez tous bien appris vos leçons, et craignez tous que la véritable liberté, inconditionnelle, ne fasse trop mal à vos petits privilèges de socialistes de la caste.
Quand bien même, Mme Mendoza, vous m'expliquez à chaque intervention que le libéralisme tue, je me rends compte que le libéralisme ne vous est en fait que peu connu : Vous le confondez avec un marché régulé, où les intérêts financiers sont protégés par l'Etat. Le libéralisme n'est pas le capitalisme d'Etat. L'Etat, c'est le berceau de l'humanité. Qui veut alors passer sa vie dans un berceau ?
Ceux de nos concitoyens qui ont envie de voir les choses "progresser", se satisfaisant du fonctionnement actuel de nos institutions, je les laisse sans souci se tourner vers la CUL, l'UPP ou le MARR. Mais ceux qui trouvent la situation réellement injuste, nécessitant une refonte totale, savent qu'ils doivent se tourner vers le RPL.
Vous prônez la Liberté, mais avez tous à cœur qu'elle soit protégée par un Etat surpuissant. Personne ici n'ose proposer une Liberté totale. Parce que vous avez tous bien appris vos leçons, et craignez tous que la véritable liberté, inconditionnelle, ne fasse trop mal à vos petits privilèges de socialistes de la caste.
Quand bien même, Mme Mendoza, vous m'expliquez à chaque intervention que le libéralisme tue, je me rends compte que le libéralisme ne vous est en fait que peu connu : Vous le confondez avec un marché régulé, où les intérêts financiers sont protégés par l'Etat. Le libéralisme n'est pas le capitalisme d'Etat. L'Etat, c'est le berceau de l'humanité. Qui veut alors passer sa vie dans un berceau ?
Ceux de nos concitoyens qui ont envie de voir les choses "progresser", se satisfaisant du fonctionnement actuel de nos institutions, je les laisse sans souci se tourner vers la CUL, l'UPP ou le MARR. Mais ceux qui trouvent la situation réellement injuste, nécessitant une refonte totale, savent qu'ils doivent se tourner vers le RPL.
Directrice Générale de Asclépios - Société leader de la Santé en Frôce
Ex-Chancelière Suprême
Juge à la Cour Suprême
Ex-Chancelière Suprême
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- Anastasia Mendoza Ojeda
- Gouverneur
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Re: Septimanie 88 : Débat sur le travail et les affaires sociales
Penser qu'il est impossible d'obtenir un progrès car il y a des choses plus urgentes, c'est le couplet que la droite sortait à chaque fois qu'on mettait le mariage gay sur la table. Heureusement qu'il y a des gens pour se préoccuper de choses plus "futiles" que la préoccupation n°1, sinon on aurait pu se dire qu'il y avait plus urgent qu'abolir la peine de mort comme il faut s'occuper des gens honnêtes avant les criminels, ou même plus urgent qu'abolir l'esclavage comme en période de troubles politiques il y a d'autres sujets qui concernent plus les élites.
Madame Vittorini, à l'origine j'avais pensé à un projet de collectivisation massive accompagné d'un culte de la personnalité pour montrer aux gens qu'on veut vraiment changer les choses, mais au bout de 4 secondes de réflexion, je me suis dite que les habitants de cette province sont assez intelligents pour comprendre qu'on ne détruit pas sa maison pour se retrouver avec une cabane insalubre. Changer juste pour changer, c'est bon quand on est désespéré, et non la situation de la Frôce n'est pas celle d'un pays du tiers-monde.
Et si la liberté pour vous, c'est accepter que l'on gaze des agriculteurs, je pense que vous pouvez vous la garder.
Madame Vittorini, à l'origine j'avais pensé à un projet de collectivisation massive accompagné d'un culte de la personnalité pour montrer aux gens qu'on veut vraiment changer les choses, mais au bout de 4 secondes de réflexion, je me suis dite que les habitants de cette province sont assez intelligents pour comprendre qu'on ne détruit pas sa maison pour se retrouver avec une cabane insalubre. Changer juste pour changer, c'est bon quand on est désespéré, et non la situation de la Frôce n'est pas celle d'un pays du tiers-monde.
Et si la liberté pour vous, c'est accepter que l'on gaze des agriculteurs, je pense que vous pouvez vous la garder.