Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
- Riccardo Finacci Núñez
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Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
La parole est au représentant du PSDF
Si après 24 heures rien n'a été posé, LR pourra prendre le tour.
Règles des débats : viewtopic.php?f=288&t=4117
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- Julien Citron
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
PSDF (1/5):
Bonjour à tous,
Tout d'abord permettez-moi de dire que je suis heureux de participer à un tel débat. Je vais commencer en citant simplement Gandhi qui disait que "On reconnaît le degré de civilisation d'un peuple à la manière dont il traite ses animaux".
Ces derniers temps se sont multipliés des scandales sanitaires sur le traitement réservés aux animaux dans les élevages mais aussi les abattoirs. Si la question de la souffrance animale pouvait être un sujet sommaire il y a quelques décennie, aujourd'hui c'est un vrai sujet éthique qui se pose et nous devons y faire face.
Un animal est comme nous, un être vivant doté d'une sensibilité.
Je ne suis pas capable de dire si une fourmi et un chien ont un même niveau de conscience mais le fait est qu'ils peuvent ressentir de la douleur comme nous et souffrir.
Vouloir mettre les animaux sur le même plan que les hommes est à mon sens excessif car nous sommes nous-même un animal à part. Non pas forcément supérieur mais spécial dans notre façon de vivre. L'être humain a juste su évoluer plus vite que ses congénères.
Je souhaite plutôt pour ma part m'engager contre la souffrance animale car si je ne crois pas vraiment en la possibilité de donner aux animaux les mêmes droits que les humains, je suis en revanche pour leur reconnaître une dignité qui interdirait à l'homme de disposer des animaux comme des objets ou des meubles. Le voilà le vrai sujet aujourd'hui. Il faudra durcir la répression contre les violences infligées aux animaux, c'est indéniable.
Bonjour à tous,
Tout d'abord permettez-moi de dire que je suis heureux de participer à un tel débat. Je vais commencer en citant simplement Gandhi qui disait que "On reconnaît le degré de civilisation d'un peuple à la manière dont il traite ses animaux".
Ces derniers temps se sont multipliés des scandales sanitaires sur le traitement réservés aux animaux dans les élevages mais aussi les abattoirs. Si la question de la souffrance animale pouvait être un sujet sommaire il y a quelques décennie, aujourd'hui c'est un vrai sujet éthique qui se pose et nous devons y faire face.
Un animal est comme nous, un être vivant doté d'une sensibilité.
Je ne suis pas capable de dire si une fourmi et un chien ont un même niveau de conscience mais le fait est qu'ils peuvent ressentir de la douleur comme nous et souffrir.
Vouloir mettre les animaux sur le même plan que les hommes est à mon sens excessif car nous sommes nous-même un animal à part. Non pas forcément supérieur mais spécial dans notre façon de vivre. L'être humain a juste su évoluer plus vite que ses congénères.
Je souhaite plutôt pour ma part m'engager contre la souffrance animale car si je ne crois pas vraiment en la possibilité de donner aux animaux les mêmes droits que les humains, je suis en revanche pour leur reconnaître une dignité qui interdirait à l'homme de disposer des animaux comme des objets ou des meubles. Le voilà le vrai sujet aujourd'hui. Il faudra durcir la répression contre les violences infligées aux animaux, c'est indéniable.
ex-Président de la Province de Catalogne
Vice-Président de l'Université de Casarastra
- Jadran Kovac
- Député fédéral
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
La République : 1/5
Il faut arrêter le délire avec les animaux, ça devient inquiétant.
Non, les animaux ne sont pas à l'égal des êtres humains, et ne peuvent pas prétendre aux mêmes droits. Non, les animaux ne peuvent pas être considérés comme des sujets de droit. Et non, une civilisation humaine ne se mesure pas à son traitement des animaux. Les animaux ne sont pas des personnes, et ils sont au service de l'homme, pas l'inverse.
Le gouvernement de Septimanie est parti très loin dans le délire. Maintenant, quelqu'un peut se retrouver condamné à perpétuité pour avoir violé un chien. Où va-t-on?
Ce genre de pratiques relève avant tout de la morale, le droit est très secondaire. Le pédéraste Maessen ferait mieux de s'occuper des adolescents de sa province qui sont exposés aux lois scélérates et libidineuses de la trainée Mendoza, plutôt que de se soucier sans cesse des animaux.
Bientôt, va-t-on être poursuivi pour meurtre pour avoir écrasé une fourmi? Sera-t-on condamné pour crime de guerre pour avoir enfumé des taupes dans son jardin? Créera-t-on des tribunaux d'exception pour crimes contre l'animalité pour avoir installé de la mort-aux-rats dans sa maison?
Et puis c'est quoi l'étape suivante? La reconnaissance des droits des plantes? On va vouer aux gémonies les monstres sanguinaires qui osent couper des arbres ou tailler des arbustes? On va interdire aux gens de marcher sur le gazon, en attendant la reconnaissance des crimes contre les minéraux qui arriveront peu après?
Arrêtons toutes ces folies, abrogeons ces lois idiotes et dangereuses, et réaffirmons notre humanité.
Il faut arrêter le délire avec les animaux, ça devient inquiétant.
Non, les animaux ne sont pas à l'égal des êtres humains, et ne peuvent pas prétendre aux mêmes droits. Non, les animaux ne peuvent pas être considérés comme des sujets de droit. Et non, une civilisation humaine ne se mesure pas à son traitement des animaux. Les animaux ne sont pas des personnes, et ils sont au service de l'homme, pas l'inverse.
Le gouvernement de Septimanie est parti très loin dans le délire. Maintenant, quelqu'un peut se retrouver condamné à perpétuité pour avoir violé un chien. Où va-t-on?
Ce genre de pratiques relève avant tout de la morale, le droit est très secondaire. Le pédéraste Maessen ferait mieux de s'occuper des adolescents de sa province qui sont exposés aux lois scélérates et libidineuses de la trainée Mendoza, plutôt que de se soucier sans cesse des animaux.
Bientôt, va-t-on être poursuivi pour meurtre pour avoir écrasé une fourmi? Sera-t-on condamné pour crime de guerre pour avoir enfumé des taupes dans son jardin? Créera-t-on des tribunaux d'exception pour crimes contre l'animalité pour avoir installé de la mort-aux-rats dans sa maison?
Et puis c'est quoi l'étape suivante? La reconnaissance des droits des plantes? On va vouer aux gémonies les monstres sanguinaires qui osent couper des arbres ou tailler des arbustes? On va interdire aux gens de marcher sur le gazon, en attendant la reconnaissance des crimes contre les minéraux qui arriveront peu après?
Arrêtons toutes ces folies, abrogeons ces lois idiotes et dangereuses, et réaffirmons notre humanité.
- Apollon Haros
- Chancelier Suprême
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
CUL (1/5) :
Bonjour à toutes et à tous.
Vous savez, en 1789, au moment de la Révolution Française, ce n'est pas un hasard si la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme a été signée. Avant même que la démocratie se soit créée sous la forme que nous lui connaissons aujourd'hui, les bases ont été posées. Il a été reconnu que tous les humains étaient égaux devant la loi et qu'ils méritaient à ce titre une reconnaissance totale, dans leur singularité et dans leur dignité.
Aujourd'hui, la Septimanie a fait une avancée majeure en partant de ce principe et en l'appliquant aux animaux. Dans la lutte contre les massacres et la souffrance, Monsieur Citron, il n'y a pas à tergiverser et à faire de petits pas. Il faut des gestes forts, il faut secouer l'arbre pour en faire tomber les fruits pourris.
Le spectacle comique offert par M. Kovac est quant à lui, affligeant. Le plus choquant dans votre propos n'est-il pas que quelqu'un puisse violer un chien plutôt qu'il soit condamné pour cela ? Vous comprendrez que personne ne vous prendra ensuite au sérieux lorsque vous vous émouvez de la supposée pédérastie du Gouverneur Maessen ou des choix sexuels de Mme Mendoza, mis sur la table, sans doute car vous désespérez (en vain) qu'ils se portent un jour sur vous ?
L'Homme vit en partant du postulat qu'il est le maître du monde et qu'à ce titre, cela lui confère le droit de vie ou de mort sur d'autres espèces. Il y a un mot pour cela : tyrannie. Ce qui en été fait en Septimanie était essentiel pour poser la base de ce qui est devenu, au fil des scandales une nécessité.
Bonjour à toutes et à tous.
Vous savez, en 1789, au moment de la Révolution Française, ce n'est pas un hasard si la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme a été signée. Avant même que la démocratie se soit créée sous la forme que nous lui connaissons aujourd'hui, les bases ont été posées. Il a été reconnu que tous les humains étaient égaux devant la loi et qu'ils méritaient à ce titre une reconnaissance totale, dans leur singularité et dans leur dignité.
Aujourd'hui, la Septimanie a fait une avancée majeure en partant de ce principe et en l'appliquant aux animaux. Dans la lutte contre les massacres et la souffrance, Monsieur Citron, il n'y a pas à tergiverser et à faire de petits pas. Il faut des gestes forts, il faut secouer l'arbre pour en faire tomber les fruits pourris.
Le spectacle comique offert par M. Kovac est quant à lui, affligeant. Le plus choquant dans votre propos n'est-il pas que quelqu'un puisse violer un chien plutôt qu'il soit condamné pour cela ? Vous comprendrez que personne ne vous prendra ensuite au sérieux lorsque vous vous émouvez de la supposée pédérastie du Gouverneur Maessen ou des choix sexuels de Mme Mendoza, mis sur la table, sans doute car vous désespérez (en vain) qu'ils se portent un jour sur vous ?
L'Homme vit en partant du postulat qu'il est le maître du monde et qu'à ce titre, cela lui confère le droit de vie ou de mort sur d'autres espèces. Il y a un mot pour cela : tyrannie. Ce qui en été fait en Septimanie était essentiel pour poser la base de ce qui est devenu, au fil des scandales une nécessité.
- Julien Citron
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
(PSDF 2/5):
Puisque nous parlons de mettre les animaux sur le même plan que les Hommes, je tiens tout de même à souligner que dans le passé de telles solutions ont plus ou moins existé.
En effet, les animaux étaient au Moyen Âge jugé comme des hommes. Lorsqu'un cochon était responsable de la mort de quelqu'un, se mettait en place un procès respectant les règles et coutumes de l'époque pour décider si oui ou non il était coupable, et aussi quelle devait être la sanction la plus appropriée.
Si la mort était l'issue quasi-automatique, il s'avère qu'à cette époque on considérait que les animaux avaient un libre-arbitre et étaient conscients d'être bons ou mauvais. Je ne vais pas me positionner sur ce débat mais la preuve en est que le raisonnement de M. Kovac serait l'équivalent du Paléolithique de la pensée du traitement animal.
Et puisque monsieur Kovac prend l'exemple du viol d'un animal, il se trouve qu'au Moyen-Âge toute personne surprise à faire cet acte était jugé aux côtés de l'animal pour répondre de cette infamie. Bon, il est vrai que les deux étaient exécutés mais cela montre encore qu'il n'était pas permis de faire du mal aux animaux.
J'ai personnellement du mal à mettre les animaux sur le même plan que les hommes mais il n'est plus acceptable d'entendre aujourd'hui des discours prônant le droit de disposer des animaux comme de la marchandise. Non, il n'est pas acceptable de faire souffrir un animal sans courir le risque d'être poursuivi par la justice et non, il n'est plus pensable que notre espèce s'arroge le droit de vie ou de mort sur les autres.
Puisque nous parlons de mettre les animaux sur le même plan que les Hommes, je tiens tout de même à souligner que dans le passé de telles solutions ont plus ou moins existé.
En effet, les animaux étaient au Moyen Âge jugé comme des hommes. Lorsqu'un cochon était responsable de la mort de quelqu'un, se mettait en place un procès respectant les règles et coutumes de l'époque pour décider si oui ou non il était coupable, et aussi quelle devait être la sanction la plus appropriée.
Si la mort était l'issue quasi-automatique, il s'avère qu'à cette époque on considérait que les animaux avaient un libre-arbitre et étaient conscients d'être bons ou mauvais. Je ne vais pas me positionner sur ce débat mais la preuve en est que le raisonnement de M. Kovac serait l'équivalent du Paléolithique de la pensée du traitement animal.
Et puisque monsieur Kovac prend l'exemple du viol d'un animal, il se trouve qu'au Moyen-Âge toute personne surprise à faire cet acte était jugé aux côtés de l'animal pour répondre de cette infamie. Bon, il est vrai que les deux étaient exécutés mais cela montre encore qu'il n'était pas permis de faire du mal aux animaux.
J'ai personnellement du mal à mettre les animaux sur le même plan que les hommes mais il n'est plus acceptable d'entendre aujourd'hui des discours prônant le droit de disposer des animaux comme de la marchandise. Non, il n'est pas acceptable de faire souffrir un animal sans courir le risque d'être poursuivi par la justice et non, il n'est plus pensable que notre espèce s'arroge le droit de vie ou de mort sur les autres.
ex-Président de la Province de Catalogne
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- Jadran Kovac
- Député fédéral
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
La République : 2/5
Affirmer la supériorité de l'homme sur l'animal, c'est ma vision de l'humanisme. Avec vos bons sentiments mal placés, vous voulez mettre les humains au même niveau que les animaux. Avec cette logique, vous allez bientôt autoriser l'abattage d'êtres humains pour l'alimentation, puisqu'après tout, ils ne valent pas plus que les animaux.
Évidemment que je suis choqué quand des exactions sont commises sur les animaux. Mais je considère que cela relève de la morale. Après tout, on autorise bien les relations sodomites, et je crois que vous en profitez bien, monsieur Haros. Je ne suis pas pour l'interdiction de ce genre de comportements, je revendique juste le droit de dire que c'est immoral.
Donc oui, le viol sur animal est immoral, choquant. Mais ce n'est pas un crime.
Monsieur Citron a un don particulier pour citer de bons exemples tout en dressant les conclusions les plus débiles. Vous commencez à critiquer les dérives du Moyen-Âge quand elles consistaient à mettre les animaux sur le même plan que les humains dans le domaine judiciaire, mais vous réutilisez les mêmes éléments pour me reprocher de ne pas vouloir reconnaitre le viol sur animaux.
Ne vous en déplaise, il est parfaitement pensable que l'espèce ait le droit de vie ou de mort sur les autres. C'est le principe de la civilisation : nous avons dépassé le stade de nature pour devenir des êtres de culture. Nous adaptons l'environnement à nos besoins, et les animaux font partie de l'environnement. Ils accompagnent la civilisation, mais ils n'en font pas partie.
Affirmer la supériorité de l'homme sur l'animal, c'est ma vision de l'humanisme. Avec vos bons sentiments mal placés, vous voulez mettre les humains au même niveau que les animaux. Avec cette logique, vous allez bientôt autoriser l'abattage d'êtres humains pour l'alimentation, puisqu'après tout, ils ne valent pas plus que les animaux.
Évidemment que je suis choqué quand des exactions sont commises sur les animaux. Mais je considère que cela relève de la morale. Après tout, on autorise bien les relations sodomites, et je crois que vous en profitez bien, monsieur Haros. Je ne suis pas pour l'interdiction de ce genre de comportements, je revendique juste le droit de dire que c'est immoral.
Donc oui, le viol sur animal est immoral, choquant. Mais ce n'est pas un crime.
Monsieur Citron a un don particulier pour citer de bons exemples tout en dressant les conclusions les plus débiles. Vous commencez à critiquer les dérives du Moyen-Âge quand elles consistaient à mettre les animaux sur le même plan que les humains dans le domaine judiciaire, mais vous réutilisez les mêmes éléments pour me reprocher de ne pas vouloir reconnaitre le viol sur animaux.
Ne vous en déplaise, il est parfaitement pensable que l'espèce ait le droit de vie ou de mort sur les autres. C'est le principe de la civilisation : nous avons dépassé le stade de nature pour devenir des êtres de culture. Nous adaptons l'environnement à nos besoins, et les animaux font partie de l'environnement. Ils accompagnent la civilisation, mais ils n'en font pas partie.
- Apollon Haros
- Chancelier Suprême
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
CUL (2/5) :
Hélas non M. Kovac, vous vous méprenez. Ce ne sont pas les hommes que nous voulons traiter comme des animaux mais l'inverse. D'ailleurs, par votre méprise, vous admettez donc que les animaux sont considérés comme des êtres inférieurs.
Autrement, mon anus et moi-même nous portons très bien et il en va de même pour celui des autres personnes consentantes avec lesquelles je peux partager mes parties de jambes en l'air. Mais merci de vous inquiéter, c'est gentil.
Il va de soi que vous distinguez "bien" la différence entre une sodomie consentie et une sodomie sur un animal et que par conséquent, là encore, votre propos est à côté de vos pompes.
Cela étant, vous marquez un point. L'être humain est passé de la nature à la civilisation et à ce titre, il doit abandonner toute forme de cruauté malvenue. C'est la raison pour laquelle nous avons commencé par enterrer nos morts, plutôt que les manger et les laisser pourrir. Saviez-vous ce que faisaient les indiens avant que la prétendue civilisation occidentale ne les extermine ? Ils ne prélevaient que ce qui était nécessaire dans la nature, pour se nourrir et ils témoignait envers l'animal un respect profond, allant jusqu'à lui organiser des funérailles.
C'est ça, la civilisation, se soucier de ses semblables et de tous les autres, n'exister que pour vivre en paix. Aujourd'hui, notre civilisation a grandi et c'est tant mieux. Cela met fin à des barbaries scandaleuses, à la maltraitance d'animaux dans les cirques, aux corridas, cela initie et pose le bien-être animal au coeur de notre société.
Hélas non M. Kovac, vous vous méprenez. Ce ne sont pas les hommes que nous voulons traiter comme des animaux mais l'inverse. D'ailleurs, par votre méprise, vous admettez donc que les animaux sont considérés comme des êtres inférieurs.
Autrement, mon anus et moi-même nous portons très bien et il en va de même pour celui des autres personnes consentantes avec lesquelles je peux partager mes parties de jambes en l'air. Mais merci de vous inquiéter, c'est gentil.
Il va de soi que vous distinguez "bien" la différence entre une sodomie consentie et une sodomie sur un animal et que par conséquent, là encore, votre propos est à côté de vos pompes.
Cela étant, vous marquez un point. L'être humain est passé de la nature à la civilisation et à ce titre, il doit abandonner toute forme de cruauté malvenue. C'est la raison pour laquelle nous avons commencé par enterrer nos morts, plutôt que les manger et les laisser pourrir. Saviez-vous ce que faisaient les indiens avant que la prétendue civilisation occidentale ne les extermine ? Ils ne prélevaient que ce qui était nécessaire dans la nature, pour se nourrir et ils témoignait envers l'animal un respect profond, allant jusqu'à lui organiser des funérailles.
C'est ça, la civilisation, se soucier de ses semblables et de tous les autres, n'exister que pour vivre en paix. Aujourd'hui, notre civilisation a grandi et c'est tant mieux. Cela met fin à des barbaries scandaleuses, à la maltraitance d'animaux dans les cirques, aux corridas, cela initie et pose le bien-être animal au coeur de notre société.
- Julien Citron
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
PSDF (3/5):
L'interdiction de la corrida a été, je le pense, une excellente mesure dans les provinces où il s'agissait d'une composante culturelle très importante. L'étape suivante est l'interdiction du cirque dans les provinces qui ne l'ont pas interdit et aussi l'interdiction des lâcher de taureau en centre-ville qui en plus de faire du dégât humain engendre de la souffrance pour la bête.
De la même manière se pose évidemment et tout naturellement la question des zoos. Les polémiques sur les conditions de captivité des animaux dans les zoos ont été légions dans le passé et je pense qu'il est temps de mettre notre nez dedans comme nous pourrions le faire pour les élevages et les abattoirs qui font aujourd'hui scandale.
Si le zoo est souvent un moyen de sauvegarder des espèces, je pense qu'il est nécessaire de créer une autorité supérieure de la condition animale chargée d'une mission semblable à ce que pourrait être une inspection de l'hygiène dans un restaurant.
La maltraitance animale dans les zoos doit être éradiquée et tout doit être fait pour garantir les meilleurs conditions possibles de captivité.
Le coeur du débat n'est pas, je pense, de décider de tel ou tel droit à accorder aux animaux mais il s'agit plutôt de savoir comment on fait pour enfin cesser de les utiliser comme des objets.
A cet égard je me permets de signaler le récent exemple scandaleux des chiens auxquels ont transmet volontairement la dystrophie de Duchenne qui leur inflige une grande souffrance de leur naissance à leur mort, et ceci au nom de la recherche scientifique. Cela doit bien évidemment cesser.
L'interdiction de la corrida a été, je le pense, une excellente mesure dans les provinces où il s'agissait d'une composante culturelle très importante. L'étape suivante est l'interdiction du cirque dans les provinces qui ne l'ont pas interdit et aussi l'interdiction des lâcher de taureau en centre-ville qui en plus de faire du dégât humain engendre de la souffrance pour la bête.
De la même manière se pose évidemment et tout naturellement la question des zoos. Les polémiques sur les conditions de captivité des animaux dans les zoos ont été légions dans le passé et je pense qu'il est temps de mettre notre nez dedans comme nous pourrions le faire pour les élevages et les abattoirs qui font aujourd'hui scandale.
Si le zoo est souvent un moyen de sauvegarder des espèces, je pense qu'il est nécessaire de créer une autorité supérieure de la condition animale chargée d'une mission semblable à ce que pourrait être une inspection de l'hygiène dans un restaurant.
La maltraitance animale dans les zoos doit être éradiquée et tout doit être fait pour garantir les meilleurs conditions possibles de captivité.
Le coeur du débat n'est pas, je pense, de décider de tel ou tel droit à accorder aux animaux mais il s'agit plutôt de savoir comment on fait pour enfin cesser de les utiliser comme des objets.
A cet égard je me permets de signaler le récent exemple scandaleux des chiens auxquels ont transmet volontairement la dystrophie de Duchenne qui leur inflige une grande souffrance de leur naissance à leur mort, et ceci au nom de la recherche scientifique. Cela doit bien évidemment cesser.
ex-Président de la Province de Catalogne
Vice-Président de l'Université de Casarastra
- Jadran Kovac
- Député fédéral
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
La République : 3/5
Et encore une fois, Haros, vous confondez la légalité et la morale. Je vais finir par croire que vous ne comprenez rien à la discussion.
Libre à vous de faire une prière pour le steak que vous avez devant vous. Je préfère prier Dieu pour le repas qu'il m'apporte, plutôt que de m'excuser envers l'animal de devoir me nourrir.
Citron, vous aussi, il va falloir que vous compreniez une chose : si l'on est pas un sujet de droit, on est forcément un objet de droit. Donner des droits aux animaux, c'est leur reconnaitre une personnalité juridique.
Le droit est fait pour les humains, pas pour les bêtes.
Je susi choqué que vous vouliez limiter la recherche scientifique juste pour prendre en compte le ressenti de l'animal. Ces recherches sont importantes pour faire avancer la science et permettre de soigner ou guérir des maladies horribles pour les êtres humains.
Et vous, vous dites à tous ces humains atteints de maladie : "Souffrez en silence, arrêtez d'espérer qu'on vous soigne un jour, parce qu'on ne veut pas inconforter les pauvres petits animaux."
L'un comme l'autre, vous n'êtes pas des humanistes.
Vous êtes les symboles des nouvelles formes de décadence qui s'emparent de notre société. Dans votre course interminable vers ce que vous percevez comme étant le progrès, vous reniez de plus en plus l'humain, en cherchant à rapprocher l'animal de l'Homme au niveau des droits, et à rapprocher les Hommes des animaux au niveau des comportements, comme le prouvent les lois de Septimanie qui encouragent la fornication.
Ayez honte.
Et encore une fois, Haros, vous confondez la légalité et la morale. Je vais finir par croire que vous ne comprenez rien à la discussion.
Libre à vous de faire une prière pour le steak que vous avez devant vous. Je préfère prier Dieu pour le repas qu'il m'apporte, plutôt que de m'excuser envers l'animal de devoir me nourrir.
Citron, vous aussi, il va falloir que vous compreniez une chose : si l'on est pas un sujet de droit, on est forcément un objet de droit. Donner des droits aux animaux, c'est leur reconnaitre une personnalité juridique.
Le droit est fait pour les humains, pas pour les bêtes.
Je susi choqué que vous vouliez limiter la recherche scientifique juste pour prendre en compte le ressenti de l'animal. Ces recherches sont importantes pour faire avancer la science et permettre de soigner ou guérir des maladies horribles pour les êtres humains.
Et vous, vous dites à tous ces humains atteints de maladie : "Souffrez en silence, arrêtez d'espérer qu'on vous soigne un jour, parce qu'on ne veut pas inconforter les pauvres petits animaux."
L'un comme l'autre, vous n'êtes pas des humanistes.
Vous êtes les symboles des nouvelles formes de décadence qui s'emparent de notre société. Dans votre course interminable vers ce que vous percevez comme étant le progrès, vous reniez de plus en plus l'humain, en cherchant à rapprocher l'animal de l'Homme au niveau des droits, et à rapprocher les Hommes des animaux au niveau des comportements, comme le prouvent les lois de Septimanie qui encouragent la fornication.
Ayez honte.
- Apollon Haros
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Re: Débat 3 : PSDF - LR - CUL "Les animaux doivent-ils avoir les mêmes droits que les êtres humains ?"
CUL (3/5) :
Mais justement, M. Citron, le fait d'instaurer des droits aux animaux permet de fait de faire ce que vous listez. Je prends un exemple simple. La Septimanie a été pionnière sur le code pénal, en instaurant des peines pour sanctionner sévèrement les actes de maltraitance. Il n'y a pas lieu de faire une loi spécifique pour chaque secteur. La maltraitance, au zoo, sur un animal domestique, ou sauvage est sanctionnée, de fait.
C'est un juste équilibre que nous avons trouvé, malgré ce que dit M. Kovak qui n'a décidément à la bouche que le mensonge et l'injure. Que de propos putassiers qui nuisent à ce débat de fond, le premier que nous avons vraiment sur la question animale.
Nous sommes fiers de ce que nous avons porté en Septimanie, parce que la loi pénale est juste et équilibrée. Elle instaure des dispositifs permettant de condamner ce qui est condamnable, sans jeter l'opprobe sur ceux qui aiment les animaux. Parce que le coeur de ce défi est là.
Il ne s'agit pas comme vous le faites de décrier les zoos. Il s'agit de faire en sorte que les animaux y soient traités avec dignité. Un ours polaire n'a rien à faire dans un parc aquatique de Transalpie, ce n'est ni son environnement, ni son climat. Avez-vous vu cette pauvre bête ? Elle suffoque l'été ! C'est inhumain, ignoble ce qu'elle subit. Les zoos ne devraient montrer que les animaux locaux, dans de vastes, très vastes enclos. Et avec tout le soin des hommes.
La Septimanie est une Province tolérante et respectueuse. Hommes et animaux, y sont traités avec amour, tout simplement.
Mais justement, M. Citron, le fait d'instaurer des droits aux animaux permet de fait de faire ce que vous listez. Je prends un exemple simple. La Septimanie a été pionnière sur le code pénal, en instaurant des peines pour sanctionner sévèrement les actes de maltraitance. Il n'y a pas lieu de faire une loi spécifique pour chaque secteur. La maltraitance, au zoo, sur un animal domestique, ou sauvage est sanctionnée, de fait.
C'est un juste équilibre que nous avons trouvé, malgré ce que dit M. Kovak qui n'a décidément à la bouche que le mensonge et l'injure. Que de propos putassiers qui nuisent à ce débat de fond, le premier que nous avons vraiment sur la question animale.
Nous sommes fiers de ce que nous avons porté en Septimanie, parce que la loi pénale est juste et équilibrée. Elle instaure des dispositifs permettant de condamner ce qui est condamnable, sans jeter l'opprobe sur ceux qui aiment les animaux. Parce que le coeur de ce défi est là.
Il ne s'agit pas comme vous le faites de décrier les zoos. Il s'agit de faire en sorte que les animaux y soient traités avec dignité. Un ours polaire n'a rien à faire dans un parc aquatique de Transalpie, ce n'est ni son environnement, ni son climat. Avez-vous vu cette pauvre bête ? Elle suffoque l'été ! C'est inhumain, ignoble ce qu'elle subit. Les zoos ne devraient montrer que les animaux locaux, dans de vastes, très vastes enclos. Et avec tout le soin des hommes.
La Septimanie est une Province tolérante et respectueuse. Hommes et animaux, y sont traités avec amour, tout simplement.