Frôce - Micronation virtuelle - RPG Politique

La parole est au représentant du FCF
Si après 24 heures rien n'a été posé, le PLC pourra prendre le tour.

Règles des débats : viewtopic.php?f=288&t=3709

FCF - 1/5

Bonsoir,

Je crois que ce thème n'est pas étranger à notre nation. Nous avons beaucoup parlementé sur ce sujet-là.

Le FCF est le seul parti ici présent à avoir tenu tête au projet malsain du gouvernement.

Nous savons donc que la lutte contre la consommation excessive d'alcool n'est pas une priorité chez nos adversaires.
Les communistes l'affirment, il faut lutter contre ce mal. Etant une force de propositions, nous proposons que l'alcool soit plus contrôlé et taxé.

J'ai fait contrôler toute publicité télévisuelle pour les alcools de plus de deux degrés lors de mon passage au ministère de la santé. Si le peuple frôceux croit et vote en faveur des communistes et remet en cause les publicités qui sont l'organe de propagande de la société de consommation et du capitalisme, nous interdirons strictement toute publicité en faveur de l'alcool ou de n'importe quelle drogue. La Norvège qui applique une loi de ce genre possède une consommation parmi les plus basses d'Europe et dont 78% de la consommation sont de la bière et du vin.

Ce n'est qu'un exemple. Autre exemple, selon un rapport de l'OCDE, une augmentation de 10% de la taxation de l'alcool, entraînerait une réduction de la consommation excessive chez eux, étant plus sensibles à la hausse des prix que les buveurs modérés selon ce rapport, le même dit que le monopole public, que nous proposons depuis des années, a des résultats concluants.

J'attends de voir ce que nos adversaires proposeront et je m'attends à en rire.

Je représente un parti dont les propositions reposent sur ce qui fait ses preuves.

Le contrôle de l'état est la seule solution et c'est notre priorité.

PLC (1/5)

Bonsoir à tous,

Il est intéressant de constater que, dès ses deux premières phrases, Jean Bournay a donné la leçon à la classe politique entière. Lui seul semble détenir la vérité absolue et être apte à parler de la lutte contre la consommation excessive d'alcool. On sent de magnifiques dispositions naturelles à débattre sereinement.

Je considère, comme beaucoup d'ailleurs, que l'alcool est un grave fléau. Le sujet de ce soir est primordial et doit avoir une place majeure dans la politique de santé publique fédérale. Ce n'est, bien entendu, pas la parodie de loi proposée par le gouvernement Maessen qui va arranger les choses.

Voici un panel non exhaustif des risques engendrés par la consommation d'alcool : Cancer de la bouche, de la gorge, de l’œsophage, du foie, du côlon, du rectum. Cirrhose, hépatite, AVC, infarctus du myocarde ou encore dépression.
Je pense que ce début de liste suffit amplement à prouver les dangers liés à l'alcool.

Comme monsieur Bournay, je suis favorable à l'interdiction de la publicité pour les produits alcoolisés. Je suis même pour que les produits de catégorie 0 (jusqu'à 2%) entrent dans cette interdiction.
Lutter contre la consommation excessive d'alcool doit être un combat de tous les instants et nous ne devons lâcher aucun pouce de terrain. Chaque verre non bu sera une victoire.

Lors de la réforme fiscale que j'ai portée en tant que Gouverneur de Transalpie, j'ai passé la TVA sur les produits alcoolisés de 20 à 50%. Je crois en l'effet dissuasif de cette forte augmentation des prix pour les produits nocifs.
J'ai voulu lancer un signal fort à la population ainsi qu'éveiller les consciences.

FCF - 2/5

Je suis bien entendu disposé à débattre seulement j'aimerais le faire avec des gens dont les préoccupations majeures ne tombent pas du ciel lors des campagnes électorales.

La parodie de loi que vous méprisez, vous n'avez pas dit un mot dessus à l'assemblée et vous n'avez pas voté. Nous non plus nous avons refusé de voter contre cette blague, mais vous n'avez rien dit. Alors ne venez pas nous inventer que vous vous intéressez subitement à la santé publique fédérale !

Du reste, félicitations vous savez répéter ce que je dis. Je vous rajoute un point à votre récitation parce que vous nous avez dégoté une liste des dangers de l'alcool sur Wikipédia juste avant de venir.

Maintenant que vous venez de nous faire votre petit numéro et que vous avez reçu votre note, nous pouvons passer à un débat sérieux.

Intéressons-nous je vous prie aux mesures en faveur de ceux qui noient leurs peines dans l'alcool.
Je crois qu'il ne faut pas que dissuader la consommation d'alcools par le prix et la dureté de la loi concernant les publicités, mais également par une augmentation de la prévention. Dans le cas que j'ai cité, des alcooliques à cause d'une pathologie mentale, il est évident que la solution sera de développer notre système de santé au niveau psychologique.

Mais également en offrant des alternatives moins nocives. Je pense notamment à la consommation non-fumée du cannabis, ayant de nombreuses vertus. Cette alternative devra être également réglementée mais bien plus souplement.

C'est notre vision d'avenir.

PLC (2/5)

Disposé à débattre, vous l'êtes avec parcimonie. Un exemple frappant est l'affaire Pegaso. Pour faire le clown sur pluzin et au micro des journalistes, vous étiez aux premières loges. Par contre, lorsque vous avez été invité à venir débattre avec moi dans le cadre de la campagne des élections générales 94, vous avez disparu de la circulation.
Il a du vous falloir beaucoup de courage pour surmonter votre peur de moi et venir sur ce plateau ce soir, je vous en félicite.

Je pourrais vous lister les débats parlementaires auxquels le FCF n'a pas participé mais je n'ai pas le temps de parole suffisant. De plus, je n'ai pas la malhonnêteté intellectuelle de vous accuser de vous moquer de ces sujets.
Aussi, si vous dites que le ciel est bleu, que le soleil est jaune ou qu'il pleut au mois de novembre, je ne dirais pas le contraire au motif que cela vient de vous. Je n'ai pas votre sectarisme.
Et avant de noter les autres, essayez d'obtenir de bonnes notes électorales de la part des frôceux.

Je suis scandalisé de vous entendre faire l'apologie du cannabis. Et pourquoi ne pas faire la promotion de la cocaïne au motif qu'elle donne de l'énergie ? Vertu intéressante...
Le cannabis est un poison et sa nocivité n'est plus à prouver. Isolement social, troubles psychologiques et bien d'autres méfaits. Vous êtes un irresponsable.

La prévention est nécessaire et doit commencer dès le plus jeune âge. Elle doit être, au moins, annuelle dans chaque classe de nos écoles à partir du collège.
Mais il faut également mettre en place des mesures de dépistage de l'alcoolisme de façon à le combattre de manière plus efficace.

FCF - 3/5

Quel drôle vous faîtes, le courage je l'ai eu en venant à l'usine Pegaso, pour venir parler avec clown comme vous, j'avais d'autres chats à fouetter.
Bien sûr que le FCF ne parle pas tout le temps en assemblée, nous n'avons pas le monopole de l'opposition, cependant il est à remarquer votre absence totale dans ce débat législatif et que vous n'en parlez que pour les élections. Ce n'est pas un reproche, une remarque tout au plus.

Le cannabis est la sortie par le haut de l'alcoolisme. Bien sûr on ne va pas en vendre ou en recommander six kilos par jour. Un peu de modération bon sang ! Nous voulons que le cannabis soit une alternative à l'alcool parce que le cannabis tue bien moins proportionnellement et qu'il créé moins de dépendance. D'autant qu'à dose modérée, ce que vous n'êtes apparemment pas pour comparer cannabis et cocaïne -une drogue douce et une drogue dure- les risques que vous énoncez sont minimes, et bien moins nocif que l'alcool.

Par contre, pour la prévention dans les écoles annuellement, autant jeter de l'argent par la fenêtre. Le dépistage et le suivi individuel sont les seules manières vraiment efficace. Une prévention tous les 3 ans est largement suffisante.

Pour un réel résultat, il faut investir dans la Santé, beaucoup pour qu'un suivi individuel des cas d'alcoolisme puisse être réalisé partout en Frôce. Nous devrons aussi instaurer un monopole d'état sur les pharmacies et laboratoires pour assurer les soins.

Et bien sûr, il faudra encadrer l'économie viticole.

PLC (3/5)

Vous aviez d'autres chats à fouetter que venir débattre dans le cadre d'une campagne électorale ? Les électeurs apprécieront. Une grande leçon de démocratie.
Le plus triste pour vous c'est que ce soir vous débattez avec moi. Donc si vous n'êtes pas venu me parler du dossier Pegaso, c'est que vous étiez pour le moins mal à l'aise et craintif.
Et le courage, ce n'est pas venir dix minutes pour conseiller à des gens en souffrance de casser puis repartir en courant dans son confortable bureau de ministre fédéral.

Quelle honte d'entendre un responsable politique prôner l'usage du cannabis. Vous combattez le mal par le mal.
Il est évident que le cannabis crée autant, voir plus, de dépendance que l'alcool. Et j'espère qu'au fond de vous, vous avez honte de balancer de tels mensonges à des fins électoralistes et tellement méprisables.
Allez donc dire aux parents d'adolescents qui fument joint sur joint, ne sortent plus de leur chambre, ne vont plus à l'école et développent des psychoses que les risques du cannabis sont minimes. Osez faire cela, espèce d'ignoble personnage !

Pour vous, informer et éduquer nos jeunes sur les risques engendrés par la consommation d'alcool c'est jeter de l'argent par les fenêtres. Plus sectaire que Jean Bournay tu meurs. Si je dis que l'eau ça mouille il va dire le contraire.

Nous devons mettre le paquet sur le dépistage de l'alcoolisme dans les collèges, lycées et entreprises.
Evidemment, je suis hostile à la proposition de l'hurluberlu qui me sert de contradicteur de nationaliser les pharmacies, laboratoires et domaines viticoles.

FCF - 4/5

Oui, j'ai autres choses à faire que de débattre lors d'une campagne, lorsque je m'explique le reste du temps. Quant à mon action pour Pegaso, j'ai préparé avec le Gouvernement une liste de demande de grâce impériale qui ne servit jamais le jugement n'ayant pas été rendu durant mon passage au ministère.

Il est évidemment prouvé que le cannabis créé moins de dépendance que l'alcool. D'autant que je recommande une utilisation médicamenteuse et non-fumée. Entendez ce que je vous répété, espèce de facho des bacs à sable !
On ne peut pas combattre l'alcool par la poudre de perlimpinpin, la solution miracle n'existe pas, je veux donc la meilleure solution à défaut de l'imaginaire solution parfaite.

Informer est nécessaire, ce que je dis c'est qu'il n'est besoin de plus dépenser. Au bout d'un moment, il faut agir ailleurs. On ne peut pas réussir à vaincre l'alcoolisme en dépensant des sommes faramineuses pour placarder une affiche tous les trois mètres dans les écoles.

Nous sommes d'accord pour dire que le dépistage et le suivi individuel sont cependant des voies à explorer et qui nécessitent un investissement réel.

Enfin je défens la nationalisation car c'est le seul moyen d'obtenir un contrôle rigoureux et de ne pas laisser sa santé aux mains des fluctuations boursières, et de limiter la production viticole pour plus de qualité et moins de quantité.
Laisser la recherche aux mains des investisseurs c'est les laisser dans les mains d'un vent aveugle et irraisonnable.

Notre santé et la guérison de l'alcoolisme ne doivent pas être cotées en bourse, des moyens de s'enrichir ou des placements boursiers !

PLC (4/5)

Ah facho, enfin, je me demandais quand arriverait on à la plénitude de la caricature malhonnête.
Si vous avez autre chose à faire que débattre lors des campagnes que faites vous là ? Vous restez éveillé la nuit pour trouver de nouvelles façons de vous ridiculiser ? C'est l'impression que vous donnez en vous contredisant avec une facilité plus que déconcertante.

La forme médicamenteuse du cannabis n'est utilisée uniquement pour soulager des douleurs abominables. Je ne comprends pas ce que cette substance vient faire dans ce débat pour lutter contre la consommation d'alcool. Si l'on suit votre raisonnement, donnons la peste à ceux qui ont le choléra, ça le fera peut être disparaître.
Je pense que vous essayez d'une manière très cynique et honteuse de récolter les suffrages de consommateurs réguliers de cannabis.
Pour ma part, je considère qu'il n'y a pas de drogues douces ou dures, il y a des drogues. Et voir un responsable politique en faire l'apologie me choque profondément.

Concernant la prévention dans les écoles, je ne parle pas de créer de nouvelles affiches tous les quarts d'heure. Simplement, une fois par an, une demi journée est consacrée à expliquer aux enfants les risques et les dangers de la consommation d'alcool et de drogue.

Vous êtes complètement hors sujet sur la nationalisation. Je ne vois pas en quoi les pharmacies et les laboratoires sont responsables de la montée de l'alcoolisme. Je ne vois pas en quoi les nationaliser réglerait le problème de l'alcoolisme.
Et par pitié, laissez les petits viticulteurs tranquilles.

Je crois fortement au dépistage à base d'éthylotests ou d'analyse des comportements. La médecine du travail a un grand rôle à jouer dans cette lutte.

FCF - 5/5

Parfois il est besoin de débattre, parfois je crois qu'il y a eu suffisamment d'actions pour qu'on connaisse notre point de vue. Je vois les débats électoraux comme un moyen d'éclaircir notre pensée quand cela s'avère nécessaire, non pas comme une messe qu'on radote.

Quant au cannabis, je le défends car comme vous le savez sans doute, Docteur Maboule, le cannabis peut avoir des effets bénéfiques mentaux remplaçant ceux de l'alcool et si on estime que 9% des consommateurs d'alcools sont sujets à dépendance, ce taux est de 6% -pour la plus haute estimation, la plus basse étant à 2%- pour les consommateurs de cannabis. Ainsi l'on voit que le cannabis réduit la dépendance.
Finalement, ce n'est pas tant du cannabis que nous avons besoin mais de cannabinoïdes spécifiques sous forme médicamenteuse pour faciliter l'arrêt de consommation d'alcool.

La nationalisation permet un contrôle sur les avancées médicales et comme je vous le répète, notre santé doit arrêter d'être aux mains des capitaux. La santé n'est pas une marchandise, un traitement n'est pas une action commerciale qu'il faut savoir bien placer au bon moment pour que ça vous rapporte. Car oui avec les privées certains traitements sont secondaires ou sont plus lents à être disponibles pour des raisons de rentabilité. Le dernier traitement devant être rentable avant la sortie du prochain, ne vous en déplaise.

Pour conclure ce débat, je vous dirais que nous devons être fermes et que ce n'est qu'en combinant plusieurs solutions que nous combattrons ce fléaux qui nous touche tous.