Débat n°3 : Popularité
Posté : 20 mai 2017, 01:12
Comme je l'ai précédemment indiqué lors du débat sur les lois, la popularité sera un moyen de définir des bonus/malus lors des élections.
La popularité sera calculée selon vos agissements législatifs et réglementaires, il est impossible d'évaluer chaque communication, mais les MJ ne s'interdisent pas de donner des conséquences en popularité à certains scénarios.
L'idée est simple, un projet populaire qui passe sous votre impulsion, c'est une hausse, un projet impopulaire qui passe c'est une baisse. Plus le projet est populaire ou impopulaire, plus la hausse ou la baisse sera forte.
Les députés qui votent pour ou contre voient aussi leur popularité impactée, de manière moindre.
Je vous propose 3 modes de calcul.
Calcul par personnage :
L'avantage, c'est d'avoir une côte par personnage, qui ne le quitte pas en cas de changement de parti.
L'inconvénient, c'est que c'est au final assez peu utile de différencier les personnages, étant donné qu'on ne part pas vers une élection directe pour le Président et que ça peut vite poser des problèmes sur les élections législatives pour éviter de désavantager les petites listes. De plus, je ne peux pas proposer une cote individuelle par région, ce serait beaucoup trop lourd à gérer.
Calcul par parti à l'échelle nationale :
Je précise qu'en cas de calcul par parti, les politiciens indépendants auront leur propre cote, qui disparaitra en cas d'adhésion à un parti.
L'avantage, c'est que c'est de loin le système le plus simple et le plus adapté à des législatives dominantes.
L'inconvénient, c'est qu'on peut perdre sa popularité en changeant de parti et qu'il n'y a aucune prise en compte des spécificités régionales.
Calcul par parti et par région :
L'avantage de ce système est de pouvoir intégrer les différences culturelles entre chaque région.
Par exemple, voter un texte légalisant le cannabis peut vous valoir un boost en popularité dans les régions historiquement à gauche et une baisse dans les régions historiquement à droite.
Bien sûr, il demeurera des réformes qui seront populaires ou impopulaires partout. Par exemple, même dans une région de droite, je doute qu'une hausse de 4 points de la TVA soit très bien accueillie.
L'inconvénient, c'est qu'il faudra faire une moyenne des scores par région pour les législatives, ce qui n'est pas parfaitement réaliste vu les différences de population.
La popularité sera calculée selon vos agissements législatifs et réglementaires, il est impossible d'évaluer chaque communication, mais les MJ ne s'interdisent pas de donner des conséquences en popularité à certains scénarios.
L'idée est simple, un projet populaire qui passe sous votre impulsion, c'est une hausse, un projet impopulaire qui passe c'est une baisse. Plus le projet est populaire ou impopulaire, plus la hausse ou la baisse sera forte.
Les députés qui votent pour ou contre voient aussi leur popularité impactée, de manière moindre.
Je vous propose 3 modes de calcul.
Calcul par personnage :
L'avantage, c'est d'avoir une côte par personnage, qui ne le quitte pas en cas de changement de parti.
L'inconvénient, c'est que c'est au final assez peu utile de différencier les personnages, étant donné qu'on ne part pas vers une élection directe pour le Président et que ça peut vite poser des problèmes sur les élections législatives pour éviter de désavantager les petites listes. De plus, je ne peux pas proposer une cote individuelle par région, ce serait beaucoup trop lourd à gérer.
Calcul par parti à l'échelle nationale :
Je précise qu'en cas de calcul par parti, les politiciens indépendants auront leur propre cote, qui disparaitra en cas d'adhésion à un parti.
L'avantage, c'est que c'est de loin le système le plus simple et le plus adapté à des législatives dominantes.
L'inconvénient, c'est qu'on peut perdre sa popularité en changeant de parti et qu'il n'y a aucune prise en compte des spécificités régionales.
Calcul par parti et par région :
L'avantage de ce système est de pouvoir intégrer les différences culturelles entre chaque région.
Par exemple, voter un texte légalisant le cannabis peut vous valoir un boost en popularité dans les régions historiquement à gauche et une baisse dans les régions historiquement à droite.
Bien sûr, il demeurera des réformes qui seront populaires ou impopulaires partout. Par exemple, même dans une région de droite, je doute qu'une hausse de 4 points de la TVA soit très bien accueillie.
L'inconvénient, c'est qu'il faudra faire une moyenne des scores par région pour les législatives, ce qui n'est pas parfaitement réaliste vu les différences de population.