Frôce - Micronation virtuelle - RPG Politique

Les associations locales sont :

• Œuvres de la Solidarité Chrétienne
• Unité Agricole
• Ligue de Défense des Animaux
• Centre Provincial du Patronat Tyrsénéen
• Comité Ouvrier de Tyrsènie
• Rassemblement pour la Famille Traditionnelle

Discours d'Olivier Brimont pour l'Unité Agricole :

Chères agricultrices, chers agriculteurs,

La Tyrsènie est une terre d'enjeux et de défis sur le plan agricole. Je n'ai jamais cessé de le dire et d'encourager toutes les initiatives visant à nous y préparer, qu'elles soient venus de la droite comme de la gauche. Quand un projet est bon, bénéfique pour nous, il faut savoir le reconnaitre et le soutenir. Faire de l'opposition stérile n'est pas franchement dans mon caractère et mon tempérament. Je crois que l'agriculture tyrsènienne vaut mieux que cela.

Nous devons cependant continuer à mener l'action. La majorité sortante aurait pu et aurait du faire davantage. Car les difficultés dans le domaine agricole ne datent pas d'hier et qu'elles mettront du temps à se résoudre. Je suis néanmoins satisfait de voir que le budget alloué à ce secteur ait été maintenu tel que je l'avais augmenté, à l'époque. Nous avons beaucoup de travail à accomplir.

Sur l'agriculture en elle-même, je suis depuis toujours, favorable à la mise en place d'un cadastre provincial, faisant l'état des lieux des exploitations. Quand je parle d'un état des lieux, il ne s'agit pas de les faire figurer sur une carte et de dire, ici on cultive du blé, là-bas on élève des brebis. Il s'agit de faire un check-up complet des terres, afin de déterminer, notamment leur niveau de fertilité, leur santé. Car nul ne l'ignore, ici. Sans la terre, pas d'agriculture naturelle. Nous avons pensé pendant des lustres que l'agriculture c'était une usine. Que nous pouvions tricher à grand coups de fertilisants, de méthodes mécaniques, pour augmenter les productions. Nous en sommes arrivés à un point où le surproduire était une norme, quitte à engendrer du gaspillage, des normes absurdes pour vendre sur les étals. Ce n'est pas comme ça que l'agriculture va s'en sortir. Ce n'est pas comme ça que nous sécuriserons l'avenir.

Nous devons à revenir à ce que beaucoup d'entre vous demandent : un retour au terroir, un retour au respect de la terre. Et pour cela, nous devons dresser l'état des lieux des jachères, de l'irrigation, de la pollution. Là où hier nous prônions l'utilisation d'insecticides chimiques, nous devons remplacer cela par l'utilisation d'insecticides naturels, recréer une flore et une faune sur les exploitations, permettant de consolider la biodiversité et de rendre nos récoltes plus sereines. Nous allons nous libérer des chaines industrielles, qui ne voient la terre que comme une vache à lait, là où nous tous, ici, nous la voyons comme un bien précieux, facilement épuisable si nous n'y prêtons pas garde. Revenons à nos méthodes d'antan, rustiques, comme ils disent. Elles ont pourtant fait leur preuve par le passé et nous n'en étions pas moins heureux.

Revenons à cette ruralité et à savoir-vivre d'autrefois. Refaisons vivre les étals sur nos places, nos marchés. Développons des ateliers de dégustations auprès des touristes, des habitants et des jeunes. Transmettons notre savoir-faire agricole et écologique à d'autres. Parce que cette bataille pour une agriculture moderne, elle se gagne à plusieurs. Si je suis élu Gouverneur, j'entreprendrais ce grand état des lieux et ce changement drastique de comportement et de mentalités. Je crois en la terre, en ceux et celles qui la cultivent et qui par leur dur labeur, permettent à des milliers de personnes de se nourrir, de façon variée et saine. Face à la malbouffe, face au tout-chimique, je m'oppose, fièrement, à vos côtés.

Et parce que nous savons tous ici que le métier d'agriculteur est à la fois pénible et ingrat, que les récoltes ne dépendent pas que de la bonne volonté mais aussi des aléas naturels, nous devons vous protéger. Être agriculteur expose à une fragilité sociale que nul ne peut nier. Il est donc essentiel que vous disposiez d'un revenu mensuel garanti, d'une protection sociale constante et de facilités pour faire reconnaitre des problèmes. J'allègerai le dispositif en place pour la reconnaissance des catastrophes naturelles en Tyrsènie. Une aide à la reconstruction des exploitations sera également garantie par la Province, elle viendra s'ajouter à celle fournie par les assurances.

Nous nous pencherons ensemble sur la politique de lutte contre les nuisibles. Notre province est malheureusement envahie, ces dernières années par les frelons asiatiques. Nous avons face à nous un insecte dévastateur pour nos ruches. Or, sans abeille, c'est tout le processus de pollinisation qui est mis à mal. Toute la biodiversité qui en découle. Cela s'inscrit dans ma volonté de nous unir pour combattre ce qui nous menace.

Nous irons au delà de ce qui est attendu aujourd'hui par les frôceux. Nous reverrons les conditions d'élevage, afin de garantir un label qualité, et sur le moyen terme une interdiction, des élevages industriels. Oui aux poulets élevés en plein air ! Oui aux conditions d'abattage des animaux sans douleur et humaines. Oui enfin à une gestion réaliste et pragmatique de notre agriculture.

Dans 50 ans, quand nous transmettrons ce que nous savons à nos enfants, nos petits-enfants, nous parlerons de la terre avec amour. Nous aurons cette flamme dans les yeux, celle qui dit que oui, notre Tyrsènie, nous l'aimons.

Ensemble, pour la Tyrsènie !

Discours d'Alessandra Ansaldi pour les Œuvres de la Solidarité Chrétienne

Chers amis,

Il est un constat terrifiant à faire de la classe politique actuelle, c'est que la morale a disparu de l'ordre des priorité de nombre de nos dirigeants. La morale a disparu car elle a été dévoyée de son sens, beaucoup de politiciens croient que dire que la CUL va un peu loin, c'est suffisant pour s'acheter un diplôme de bonne conduite, mais la morale, la vraie, c'est être loyal à sa mission, et la mission qui revient à un dirigeant politique c'est de se soumettre totalement à l'intérêt public.

Or dans ce mandat, nous avons vu les affres de la corruption se rapprocher de nous, tout d'abord avec l'affaire Lamrabet, ou quand une personnalité publique croit s'en tirer à bon compte en avouant devant la Frôce entière son attitude de corrupteur, il s'en est tiré à bon compte d'ailleurs, puisqu'il n'a pas passé un seul jour en prison, dans le même temps certains lycéens mineurs ont été envoyés à l'ombre pour de banals conflits avec leur administration, nous voyons bien l'ordre actuel des priorités.

Nous avons aussi vu un ministre communiste se féliciter de créer une Assemblée Fédérale remplie de rentiers oisifs, un autre ministre soutenir à bout de bras la monnaie papier face aux moyens de paiement transparents. Il n'a pas fallu 5 ans après un changement de régime pour que l'on déroule à nouveau le tapis rouge aux corrompus de toute espèce, voilà pourquoi je suis revenue en politique, je pensais que ma mission était finie, j'ai eu tort, infiniment tort, et je ne veux pas me retrouver en situation d'impuissance aux prochaines attaques faites à la probité.

Si j'ai choisi de m'adresser à vous en premier lieu, c'est car j'ai foi en votre sens de la morale, Judas fut le premier des corrompus en acceptant ces trente pièces d'argent, mieux que quiconque vous savez à quel point la corruption souille les entrailles de celui qui la pratique et ses effets désastreux pour les autres.

C'est pour rétablir la probité morale en politique que je me présente, il n'est pas question de gauche ou de droite, mais de dignité et d'honneur, je suis prête à soutenir celui ou celle qui sera prêt à faire adopter le grand plan anti-corruption que je propose.

Tout d'abord, les partis politique devront se financer uniquement par les cotisations et le financement public lié à leurs résultats, nul ne peut acheter la démocratie. Ensuite, il y a un effort à faire sur la transparence maximale, l'ensemble des candidats à chaque élection devront publier leur patrimoine, et les élus devront publier le leur tous les ans, les élus devront également déclarer sur un site accessible à tous, l'ensemble de leurs frais.

Cela passera également par le pénal, l'urgence de la situation doit nous mener à proposer au Gouvernement fédéral de créer un tribunal spécial chargé de régler avec à la fois célérité et sévérité les infractions financières, il est également nécessaire d'introduire une catégorie de crimes financiers, celui qui croit que l'Etat est destiné à être son portefeuille n'adopte pas un comportement différent d'un traitre, la politique ne doit concerner que ceux qui sont prêts à s'investir pleinement dans leur vocation, on ne le fait pas avec un régime pain sec qui ne fait qu'inciter à aller piocher ailleurs, on le fait en établissant des règles claires et strictes.

Outre l'augmentation de la sévérité, il est également urgent de revenir sur certaines définitions, actuellement le conflit d'intérêts n'est pas un délit en droit tyrsénéen de même que le fait de créer un avantage injustifié à soi-même, sans doute les précédents Gouverneurs faisaient mine d'être plus préoccupés par des questions de lèse-majesté pour éviter les dossiers qui fâchent.

L'approche pénale, ce n'est pas que la sévérité, nous devons à l'inverse assurer une véritable protection aux lanceurs d'alerte, la menace sur leur activité est réelle, sous l'influence des lobbys, qu'il conviendra également de strictement limiter, l'Union Européenne a adopté une directive sur le secret des affaires qui est une véritable muselière, il nous faut envoyer un signal fort pour démontrer que la Tyrsènie est la terre des Hommes intègres et nous armer contre les corrupteurs.

Bien entendu, la probité n'est pas la seule chose que j'ai à offrir aux chrétiens de cette province, j'entends votre colère face à une conception de la laïcité bassement électoraliste qui ressemble de plus en plus à un athéisme d'Etat. Il y a un lien entre les cultes et les dirigeants à réparer.

Et je pense que l'éducation est le meilleur vecteur de réconciliation entre le Gouvernement et l'Eglise, il me semble adapté d'offrir un véritable enseignement religieux public, avec 3 heures obligatoires par semaine, sur une religion laissée au choix des parents, cela sera une marque de confiance des deux côtés, l'école sera enfin ouverte à la religion, et l'état aura la garantie d'intervenants qui respectent la loi, c'est gagnant-gagnant pour mener nos enfants à une conception positive de la religion.

Nous devons également briser le tabou de la subvention des lieux de culte, ils sont une part du patrimoine historique de la Frôce, celui qui ne regarde pas son passé est condamné à ne pas avoir de futur, et leur charme est tout un pan de ce qui attire les visiteurs en Tyrsènie, terre d'authenticité et de chrétienté.

Discours d'Alex Baldouin devant le Comité Ouvrier de Tyrsénie

Mesdames, Messieurs,

Après avoir fait le tour de notre belle province de Tyrsénie, après avoir rencontré chaque acteur, chaque citoyen, chaque individu qui fait la fierté de notre région, il m'était clairement indispensable de me rendre devant vous, comité ouvrier de Tyrsénie. Car soyons clairs et sans langue de bois, c'est vous, les ouvriers, qui, chaque jour, permettaient l'embellissement de notre province. C'est par votre travail acharné et efficace que nous pouvons être fier de ce que nous avons aujourd'hui.

J'ai visité de nombreuses entreprises, j'ai été à la rencontre des employés, des ouvriers, des patrons. Chacun a su défendre ses intérêts et je les ai pris en considération. Ce que je veux créer, si je suis élu gouverneur de la province de Tyrsénie, c'est justement une vraie cohésion entre ces trois acteurs. Il faut arrêter le clivage employés/ouvriers/patrons. Les uns ne doivent pas être contre les autres mais avec les autres. C'est seulement si nous travaillons ensemble que nous avancerons et non le contraire. Voilà sur quoi se posera l’entiereté de mon mandat, que je sois élu gouverneur ou simple conseiller provincial. Car je serais évidemment présent, je ne recherche pas le pouvoir pour le pouvoir comme certains, mais je souhaite travailler pour le peuple de Tyrsénie.

Nous donnerons donc des gages aux patrons, qu'ils soient économiques ou sociaux, comme la baisse des taxes, ce qui leur permettra d'avoir plus de marges et donc de plus investir. En contrepartie, ils devront aussi donner des gages envers leurs employés et ouvriers. Qu'il s'agisse d'augmentations de salaires, de congés payés ou de créations d'emplois, chaque élément sera décortiqué lors de conseils d'entreprises avec un représentant du conseil provincial de majorité et d'opposition, un représentant des salariés et le patron. Mais ce que je souhaite en priorité c'est une grande conférence sociale où employés, ouvriers et patrons seront rassemblés C'est lors de cette conférence que nous établirons les grandes lignes du mandat social du futur gouverneur. Je souhaite comme dit précédemment gouverner avec cohésion et entraide de tous les acteurs plutôt que de les opposer.

Nous agirons également sur la culture et la patrimoine. Pour cela, nous proposerons à chaque citoyen des chèques culture qui leur permettront d'accéder aux musées, cinémas et éléments du patrimoine de tyrsénien tout au long de l'année pour des prix réduits. Rendre l'accès à la culture pour tous, c'est un projet qui me tient personnellement à coeur.

Nous agirons aussi sur les différentes taxes qui vous pourrissent le quotidien. Nous établirons une réforme entière de l'économie de la province car il est temps de rendre juste tout types de taxes. Nous en avons marre d'être taxés injustement. Les riches sont toujours plus riches et les pauvres toujours plus pauvres. Nous allons réajuster tout cela mais bien évidemment ce sera avec votre aval. Nous vous convoquerons, citoyens, dans un référendum pour approuver ou non le projet que nous vous proposons.

Car oui, contrairement à nos prédécesseurs, nous n'imaginons clairement pas une politique provinciale sans concertations ni accord de la majorité des citoyens. Préparez vous à ce que les choses bougent et changent rapidement si vous me donner la possibilité de prendre la tête de la province.

Chers citoyens, chers ouvriers, je ne sollicite pas aujourd'hui un mandat pour le pouvoir et l'argent contrairement à mes prédecesseurs. Vous l'avez vu, ils ont tous failli. On a vu un Simon Brexel qui a dirigé la province comme un desposte sans aucune concertation avec l'opposition qui l'a même ignoré. Les débats ont tourné cours, nous n'en voulons plus.
Amandine Smith, qui quitte la vice-gouvernance quelques semaines avant les élections, cela montre son vrai visage, alors qu'elle a très peu oeuvré au cours de son mandat, nous n'en voulons plus.
Olivier Brimont qui ne parle que d'agriculture, alors que nous devons nous adresser à tous les citoyens. Nous n'en voulons pas!
Alessandra Ansaldi, qui souhaite réintégrer la religion et l'Eglise partout dans la société, nous n'en voulons pas!

Mes chers amis, citoyens de Tyrsénie, ouvriers, employés, patrons, le choix qui se pose à vous est finalement très simple. Vous pouvez opter pour la continuité, pour la défense des intérêts privés de ces petits politiciens, de la continuité des injustices, l'aggravation des inégalités et une province qui peu à peu va perse de sa splendeur.
Vous pouvez aussi choisir le changement, vous pouvez choisir l'équilibre des taxes, la justice sociale, une économie forte, une transparence totale et une démocratisation de nos institutions avec des concertations et un dialogue social à tout niveau, avec des classes sociales unies et non opposées. En choisissant de votez pour La république, vous choisissez de voter pour un gouverneur qui ne souhaite qu'une chose: la grandeur de la province et de son peuple.
Alors choisissez la Tyrsénie, votez la République, votez pour moi!
Vive la Frôce et vive la Tyrsénie!

Discours de Gabriel Von Bertha devant le Rassemblement pour la famille traditionnelle.

Mesdames, Messieurs,

Il me semblait important de m'adresser à vous, familles de Tyrsénie, pour vous confirmer l'intérêt que je vous porte. La famille est le premier groupe social qui unit les femmes et hommes qui naissent en ce monde. Elle est l'essence même des valeurs de fraternité que je défends chaque jours dans mes prises de décisions. Vous êtes le premier lieux où le jeune enfant se construit, se réalise petit à petit, de par la parole, son éducation, ses ouvertures sur le monde. Lorsque, pour plusieurs raisons, une famille est déchirée, cela laisse des traces indélébiles dans l'esprit et les liens que portent les hommes ou femmes que nous pouvons être.

La famille évolue depuis de très nombreuses décennies. Les mœurs et les façons de vivre au sein de nos familles sont bien différentes. Alors que l'homme fut le centre d'une famille pendant plusieurs siècles et millénaires, nous assistons aujourd'hui à l'émergence d'une famille égalitariste où la femme et les enfants prennent tout autant de place que le patriarche. Parallèlement à ces évolutions bienvenues, nous assistons à une transformation de la société.
La Révolution sociétale à laquelle nous assistons provient des évolutions de nos familles. La société est le miroir de nos familles, puisque notre Nation n'est qu'une grande famille qui unit les famille Frôceuse entre elle. Nous faisons le choix de vivre ensemble pour le bien de nos familles, de nos exceptions culturelles.

La Tyrsènie est pour moi notre grande famille ! Et le gouverneur d'une province à vocation à tenir conduire sa famille tel un(e) "bon(ne) père (ou mère) de famille".
Au niveau budgétaire tout d'abord: nous ne pouvons pas endetter notre Nation en dépensant davantage que ce que nous pouvons avoir en recettes budgétaires. Tout le monde sait que si demain, dans ma propre famille, je dépense chaque mois pour un budget inconsidéré, un jour je recevrai la visite d'un huissier qui viendra saisir mes biens personnels. Nous devons donc garantir notre indépendance, tant au niveau fédéral, que provincial ou municipal.

En matière d'éducation et d'enseignement, tel un père de famille, je dois donner à mes enfants toutes les chances de se réaliser dans leur propre vie. On ne peut donc aucunement rogner dans l'éducation et l'enseignement de notre jeunesse. Nous devons leur garantir un système éducatif de qualité, des perspectives d'avenir. C'est en refondant notre système scolaire que nous avons donné à un nouveau souffle à notre système scolaire. Aujourd'hui, nous garantissons une scolarité cohérente et plus en phase avec le monde économique et sociétal qu'est le notre. Nos prochaines réformes en matière d'éducation doivent porter sur le soutien aux programmes européens d'encouragement à la mobilité des étudiants pour que nos étudiants puissent s'enrichir des cultures voisines en Europe. Nous devons favoriser la formation professionnelle en instaurant l'alternance dès la 3ème année de licence, sans réserver ce dispositif aux seules voies professionnelles. Nous devrons ainsi également rapprocher les entreprises et nos établissement d'études supérieures par la création de partenariats donnant droit à des abattement fiscaux dès qu'une entreprise investira dans nos universités.

Je souhaite que nos valeurs de fraternité au sein familial puissent se traduire dans la politique de notre province, notamment en matière de politiques de solidarité. Je souhaite que l'allocation chômage, le revenu de solidarité (pour les actifs à temps partiels) et les allocations vieillesses puissent faire l'objet d'une fusion en une seule et unique allocation de solidarité. Je souhaite également que la Tyrsènie investissent, à l'heure où la population de notre pays vieilli de plus en plus, pour accompagner les situations de dépendance. La défiscalisation des prestations d'aides à la dépendance pourra être l'une des clefs de ces questions.
Nous devons aider les plus démunis, en faisant en sorte de réduire les coûts fixes des familles tyrsénéennes. L'énergie est une dépendance importante pour chacun de nos foyers, et je souhaite engager une politique énergétique menant à réduire le coût de l'énergie pour tous, liant transition énergétique par le développement d'énergies renouvelables et d'énergies à coûts plus réduit de gestion telle que l'énergie nucléaire. La diversité énergétique est importante pour l'indépendance de notre province à ce sujet. Je souhaite que d'ici l'an 100, il n'y ait plus recours à de l'énergie fossile. Dans le prolongement, nous devrons investir et encourager dans les transports en commun et publics en subventionnant les projets locaux et en initiant des projets d'intérêt provinciaux. Ainsi, nous créerons des chèques-énergies pour les Frôceux confronté à la précarité énergétique, nous instaurerons un crédit à 0% pour l'isolation et l'installation de production décentralisée d'énergie via une Banque provinciale d'investissement, et nous réformerons les moyens de financement des transports publics en transférant ceux-ci de l'achat de billets de transport vers l'impôt provincial. Chaque habitant de Tyrsènie disposera alors de la gratuité des transports publics au sein de notre province.

Vous pouvez le voir, chères familles de Tyrsénie, nous nous engageons à poursuivre une politique de dialogue et concertation avec les forces vives de notre pays pour continuer à guider notre province dans le bon sens !

Choisissez donc le bon sens !

Discours de Philippe Albertini (PLC) au Rassemblement pour la Famille Traditionnelle

Bonjour à toutes et à tous,

Chers amis du Rassemblement pour la Famille Traditionnelle, je suis comblé de pouvoir m'exprimer devant vous afin de vous exprimer ma vision de la société et plus particulièrement de la famille.

Je suis donc le candidat du Parti Libéral-Conservateur pour ces élections provinciales 93 en Tyrsènie. Je sais très bien que les idées libérales-conservatrices n'étaient pas énormément représentées dans notre province jusqu'en 92, en atteste le nombre de députés PLC qui composent l'assemblée provinciale sortante qui est de 4.

Sachez que depuis que je me suis lancé en politique en 92, j'ai effectué un important travail de fond dans toute la Tyrsènie pour aller à la rencontre des citoyens et leur expliquer les idées du PLC.
Je me suis rendu compte que globalement, la vision du PLC par les tyrsénéens était caricaturale, du fait de notre faible implantation.
Je pense avoir bien dissipé beaucoup de malentendus durant cette campagne. Mais je veux m'inscrire dans la durée et le travail ne fait que commencer.

Je suis un fervent défenseur de la famille traditionnelle. Selon moi, un seul modèle familial est possible. Le modèle familial patriarcal.
La famille doit se composer d'un père, qui est la figure représentant l'autorité et d'une mère, qui donne l'amour et la tendresse nécessaire à l'épanouissement de l'enfant.
Tout le développement de l'enfant est tributaire de cet équilibre familial.
Je prend la question de la famille très au sérieux. Je veux défendre à tout prix le modèle familial qui me semble le meilleur.
Je vous assure donc que je combattrai de toutes mes forces tout ceux qui veulent porter atteinte au modèle familial traditionnel que je préconise.

Pour les raisons que je viens d'évoquer, je veux vous dire que je suis opposé au mariage et à l'adoption pour les couples homosexuels. J'estime au plus profond de moi qu'un enfant doit avoir un papa et une maman, les 2 parents ayant des rôles distincts qui se complètent.
Ce sujet est délicat car toute la gauche bien pensante fait de la malhonnêteté intellectuelle et crie à l'homophobie dès qu'un avis contraire au sien est donné.
Je suis fier d'appartenir au Parti Libéral-Conservateur. Le président de notre mouvement, Vincent De Salvo, a fait preuve d'un grand courage et de beaucoup de ténacité pour résister à la meute de loups bobos qui lui est tombée dessus lors de la campagne 92. Seul contre tous, il a montré que nous pouvons affronter la pensée unique si nous y mettons de la force et si nos convictions sont sincères.

Au Parti Libéral-Conservateur, nous accordons une très grande importance à la valeur travail. Nous sommes très hostiles à l'assistanat.
Le travail et le mérite doivent être au cœur du fonctionnement de notre société. Ces principes peuvent s'appliquer à tous les sujets.
Nous défendons une économie libérale qui s'auto-régule avec un état passif.
Nous voulons mener une politique fiscale qui donne un peu d'air aux ménages. Chaque citoyen mérite de profiter du fruit de son travail.

La société que je veux pour les tyrsénéens est également basée sur le respect de l'autorité.
Je ne conçois pas une province dans laquelle tout serait permis et dans laquelle aucune règle ne permettrait le maintien de l'ordre et de la sécurité de chacun.
Il est grand temps de mettre fin au règne interminable du laxisme de la gauche. La droite a son mot à dire en Tyrsènie. Je persiste et je signe.
Je suis favorable à la tolérance zéro. Les délinquants n'ont qu'à réfléchir avant de commettre des infractions.

Il y a autre chose que la gauche a pour ambition de détruire sans ménagement. C'est l'excellence à l'école. Avec des propositions comme supprimer les systèmes de notation, le niveau de nos jeunes est directement visé.
La gauche veut nous faire croire que l'école sert à assurer le bien être psychologique des enfants.
L'école a pour mission principale d'instruire, d'enseigner les savoir fondamentaux. Tout se qui touche de près ou de loin à l'éducation et à l'épanouissement des enfants est de la responsabilité de leurs parents.
Le Parti Libéral-Conservateur propose également de mettre en place un examen à passer pour pouvoir accéder au cycle scolaire supérieur. Les lacunes peuvent s'accumuler trop facilement et le retard peut devenir irrattrapable.

Je vous demande solennellement de croire en la sincérité de mon engagement politique.
Je veux améliorer la vie en Tyrsènie et améliorer le quotidien des tyrsénéens.
Je suis membre du PLC depuis mes 18 ans. Je suis désormais âgé de 24 ans, mes études son terminées et j'ai l'expérience d'un mandat de conseiller municipal d'Organi-di-Bagni et d'un mandat de député fédéral.
J'ai plus de motivation qu'il n'en faut pour assurer la fonction de gouverneur de Tyrsènie, le sérieux et la rigueur seront les maîtres mots de mon mandat si vous me faites confiance.
Changez le destin de votre province. Faites le choix de la tradition, du dynamisme et de la jeunesse pour ces élections provinciales.
Je suis persuadé que le courant libéral-conservateur a toute sa place dans le paysage politique tyrsénéen.
J'aime ma province, notre province, de tout mon cœur. Tout ce que je vous ai dit aujourd'hui est authentique et je rêve de pouvoir rendre à la Tyrsènie tout ce qu'elle m'a donné ! Elle m'a tellement donné !

Vive la Tyrsènie ! Vive la Frôce !

Merci à tous !

Discours de Simon Brexel, devant le Comité Ouvrier de Tyrsènie.

Mesdames, Messieurs, ouvrières et ouvriers,

Qu'est-ce qu'un ouvrier?
Un ouvrier est une personne qui exécute un travail manuel, mécanique moyennant un salaire.
Mais un ouvrier, c'est aussi et surtout un être-humain, qui a une famille, des amis, des relations... Qui a eu une jeunesse, et qui va avoir une retraite...
Les retraites ne sont pas joyeuses pour les ouvriers, comme par ailleurs pour les agriculteurs... C'est la raison pour laquelle je propose d'augmenter les retraites, afin que nos aînés puissent vivre convenablement.
Ensuite, la vie d'un ouvrier n'est pas rose tous les jours... En effet, à cause des politiques libérales, le niveau de vie des ouvriers a baissé, au profit du niveau de vie des patrons... Ce n'est pas normal! C'est pour ça que je propose que le salaire du patron d'une entreprise, PME ou multinationale, soit au maximum quinze fois supérieur à celui du plus bas salaire de l'entreprise... Avec cela, si les patrons veulent augmenter leurs salaires, ils seront obligés d'augmenter le salaire des salariés les plus précaires, sous peine de fortes amendes.
Puis je vais proposer, pour lutter contre les délocalisations massives, une taxe, qui sera sur les produits des entreprises frôceuses qui délocalisent.
Les entreprises qui fermeront un site seront obligés de trouver une solution de reclassement à tous les employés, avec un salaire équivalent, quitte à rajouter le reste de leur poche, pendant une durée débattue en conseil des ministres, à l'assemblée, et je souhaite que cela est pour au moins un an.
Après, je souhaite augmenter les minimas sociaux, afin que chacun puisse consommer, et cette consommation crée de l'emploi, et l'emploi crée des richesses qui poussent à consommer: ceci est un cercle vertueux, que l'on veut mettre en place en Tyrsènie.
Je viens à parler de la discrimination au travail. Cette discrimination n'est pas un acte anodin... En effet, chaque jour, des personnes n'ont pas un emploi parce qu'elle porte un voile, parce qu'il est d'origine arabe, parce qu'il est homosexuel... Il faut arrêter ce carnage! Cela peut effectivement conduire au harcèlement, et pire, au suicide, comme la première saison de "13 Reasons Why" l'a, avec brio, démontré...
J'en viens à parler de la culture... La culture est très vaste... Musée, Cinéma, Lecture, Théâtre, et bon nombre d'enfants issus de la "classe ouvrière" n'ont pas accès à ces savoirs. C'est pour cela que je propose que tout les lieux publics payants soit gratuits pour les écoles, et j'aimerai encourager les étudiants/lycéen à aller, pendant leur temps libre, visiter des monuments, aller à la bibliothèque, avec la gratuité de certaines activités, grâce à un système de carte étudiante/lycéenne. Mais ce n'est pas tout: je proposerai un pass culture, qui pourra être utilisé dans cette province de Tyrsènie, pour les jeunes, l'année de leurs 18 ans, afin qu'ils puissent acheter des livres, aller au cinéma, se cultiver ou se détendre, GRATUITEMENT! Et cela aura pour conséquence une montée de l'indépendance des étudiants, et ne négligeront par conséquent plus, la culture...
Après, j'ai comme but de mettre en place une nouvelle économie, durable... Alliant la protection de l’environnement à la protection de vos droits, travailleurs, en mettant hors-sujet, hors-service le libéralisme... Je vous propose l'altermondialisme! Pour ceux qui ne savent pas, non pas de leur faute, mais à celle de la société qui a tant négligée l'éducation et la culture, l'altermondialisme s'oppose à la mondialisation libérale, et elle promeut des échanges plus justes, entre les peuples, les sociétés... L'altermondialisme est par conséquent le modèle économique le plus juste, le plus égalitaire.
Cette vision est portée par Aurore Lacroix-Valmont au niveau fédéral, par moi-même en Tyrsènie. Cette vision est portée dans toutes les provinces de la Frôce métropolitaine. Cette vision, c'est celle du MAMA, et c'est le MAMA qui vous protégera!

Vive les ouvriers, Vive la Tyrsènie, Vive la Frôce!