+ Hey ! Vous savez quoi, je m’ennuyais à mourir à Monticello ! Heureusement, mon confrère, Éric Valmont a fait appel à moi pour l'entraider et l’accompagner dans la campagne politique actuelle. Je constate que les débats sont vivants et que les idées politiques fusent.
D’ailleurs, l’idée du syndicalisme serviciel emprunté à nos voisins scandinaves est une réelle solution dans notre pays quand nous savons qu’elle permet de diminuer le chômage, de favoriser la négociation entre syndicat/employeur et d'améliorer le recrutement.
Je partage le principe qu’un syndicat est un organe non étatique dépourvu de toutes théories politique qui sert principalement à la défense et à la représentation du salarié lambda. Dans certains pays européens notamment notre voisin français, les syndicats passent plus leur temps à choisir des slogans et des théories politiques que défendre les intérêts des salariés et d’entamer des négociations pourtant essentielles lorsque certains événements comme la fermeture d’une entreprise, des inégalités existantes ou encore la dégradation du dialogue social peuvent surgir.
La question de l’existence des inégalités sociales présente majoritairement dans le monde du travail est en effet une préoccupation dont l'État doit s’atteler non pas en intervenant, mais en laissant premièrement les salariés négocier leur salaire et les syndicats signés des accords-cadres avec l’employeur. L’inégalité homme/femme a des répercussions plus ou moins importantes à travers la santé économique d’un pays. Pour reprendre la situation de notre voisin français, les inégalités entre genre font prendre à l'État 62 milliards d’euros chaque année.
Il est donc important d’agir, mais agir de façon cohérente et sensée.
Bon tchouss à mes frôceux préférés. Faites de beaux rêves.
#RPL