[PANTHEON] Inauguration
Posté : 10 nov. 2017, 00:20
[HRP : Je dois hélas m'absenter pour le week-end pour des affaires personnelles. Ne pouvant être présent pour le jour de l'inauguration, j'anticipe en ouvrant le sujet maintenant. Les événements se déroulent bien le 11 novembre 090. Vous pouvez poster la participation de votre personnage sans problème, dans le délai qui vous convient, du coup. Ne soyez pas surpris si j'interviens lundi ou mardi sur le sujet, hein !]
11 novembre 090, 10 heures.
Les forces de police et la garde impériale ont mis en place un cordon de sécurité renforcé autour du quartier du Panthéon. Depuis 8 heures, la circulation dans le secteur a été interrompue, seuls les piétons peuvent y avoir accès. Des blocs de béton ont été mis en place pour éviter tout drame. Le long de l'Allée d'Anthelme, cette grande esplanade piétonne reliant le Palais d'Anthelme au Panthéon, des barrières avaient mises en place pour réguler les flots de visiteurs et de passants. C'était une première en Frôce. Et pour l'occasion, beaucoup de gens étaient venus tôt, pour se placer au premier rang. Les gens affluaient, en famille. Dans la foule qui grandissait à une vitesse folle, des jeunes, des vieux, des parents tenant leurs enfants par la main. Le moment serait historique.
Devant le parvis du Panthéon, en haut des marches, on avait mis en place un pupitre avec un micro. Des bafles et des écrans géants permettraient à ceux qui se trouvaient loin, de voir et d'entendre. Le carré des journalistes était déjà noir de monde. Les chaines d'infos en continu n'avait, pour le moment, rien à se mettre sous la dent, mais elles continuaient leurs directs, en parlant de la couleur éclatante des façades ravalées pour l'occasion, de l'organisation titanesque et parfaitement millimetrée, tant de sujets anodins et futiles qui leur donnaient l'impression de reforcer leur audimat. De part et d'autre du pupitre, on avait placé 4 socles, pour accueillir les cercueils. Un tapis rouge remontait vers la porte, fermée à clé.
Dans le ciel, des hélicoptères patrouillaient. Politiques et hautes personnalités avaient été placées dans un carré privé, près des journalistes, pour faciliter les interviews d'avant-cérémonie. En face, se trouvait la tribune d'honneur, où les familles siègeraient. Des portraits des quatres héros du jour étaient affichés, côte à côte. Bientôt, la foule fut si compacte que l'on dut ouvrir les pelouses jouxtant l'esplanade pour y placer les personnes. De toute la Frôce, les personnes arrivaient. Les médias relayèrent cette affluence record, en lui trouvant mille et une explications. On annonçait l'arrivée de l'Imperatore sur les coups de 10h30. Il serait visiblement sur un carrosse, accompagné de son épouse, de sa fille et du fiancé de celle-ci. On annonçait ensuite l'arrivée des Gardiens de la Démocratie, qui avaient validé les noms proposés par Vittorio. Le début de la cérémonie était fixé à 10h45, mais vu l'imposant protocole qui était déployé, difficile de dire si la ponctualité serait respectée. Voilà un fait qui faisait angoisser les organisateurs. Ceux-là savaient que l'Imperatore détestait les retards.
11 novembre 090, 10 heures.
Les forces de police et la garde impériale ont mis en place un cordon de sécurité renforcé autour du quartier du Panthéon. Depuis 8 heures, la circulation dans le secteur a été interrompue, seuls les piétons peuvent y avoir accès. Des blocs de béton ont été mis en place pour éviter tout drame. Le long de l'Allée d'Anthelme, cette grande esplanade piétonne reliant le Palais d'Anthelme au Panthéon, des barrières avaient mises en place pour réguler les flots de visiteurs et de passants. C'était une première en Frôce. Et pour l'occasion, beaucoup de gens étaient venus tôt, pour se placer au premier rang. Les gens affluaient, en famille. Dans la foule qui grandissait à une vitesse folle, des jeunes, des vieux, des parents tenant leurs enfants par la main. Le moment serait historique.
Devant le parvis du Panthéon, en haut des marches, on avait mis en place un pupitre avec un micro. Des bafles et des écrans géants permettraient à ceux qui se trouvaient loin, de voir et d'entendre. Le carré des journalistes était déjà noir de monde. Les chaines d'infos en continu n'avait, pour le moment, rien à se mettre sous la dent, mais elles continuaient leurs directs, en parlant de la couleur éclatante des façades ravalées pour l'occasion, de l'organisation titanesque et parfaitement millimetrée, tant de sujets anodins et futiles qui leur donnaient l'impression de reforcer leur audimat. De part et d'autre du pupitre, on avait placé 4 socles, pour accueillir les cercueils. Un tapis rouge remontait vers la porte, fermée à clé.
Dans le ciel, des hélicoptères patrouillaient. Politiques et hautes personnalités avaient été placées dans un carré privé, près des journalistes, pour faciliter les interviews d'avant-cérémonie. En face, se trouvait la tribune d'honneur, où les familles siègeraient. Des portraits des quatres héros du jour étaient affichés, côte à côte. Bientôt, la foule fut si compacte que l'on dut ouvrir les pelouses jouxtant l'esplanade pour y placer les personnes. De toute la Frôce, les personnes arrivaient. Les médias relayèrent cette affluence record, en lui trouvant mille et une explications. On annonçait l'arrivée de l'Imperatore sur les coups de 10h30. Il serait visiblement sur un carrosse, accompagné de son épouse, de sa fille et du fiancé de celle-ci. On annonçait ensuite l'arrivée des Gardiens de la Démocratie, qui avaient validé les noms proposés par Vittorio. Le début de la cérémonie était fixé à 10h45, mais vu l'imposant protocole qui était déployé, difficile de dire si la ponctualité serait respectée. Voilà un fait qui faisait angoisser les organisateurs. Ceux-là savaient que l'Imperatore détestait les retards.