+ Urumi Nakamura
Posté : 05 oct. 2017, 13:23


+ Réponse de la rédaction de l'Eveil à Lily-Fleur d'Escourt :
Il ne faut pas se méprendre sur le but d'un article, cet article ne visait pas à dire que la TNT est bonne ou mauvaise ou que la TSB est bonne ou mauvaise, il visait à décortiquer les messages sous-entendus par un texte de loi et à démontrer que la tonalité du texte soit passive et d'apparence neutre ou franchement agressive, un texte de loi n'est jamais purement technique et dénué de portée politique.
Par exemple il est difficile de dire que nous prenons la défense de la télé-réalité alors que dans le même article nous nous en prenons à des sitcoms navrantes, il s'agit d'un constat brut impliquant une politique de mieux-disant culturel, qui est l'effet d'aubaine parfait pour sortir un débat du cadre idéologique.
Ici ce n'est pas une question de manque de place comme le prétend madame d'Escourt, mais un choix politique clair et précis, en vertu des dispositions de l'article 204 du texte actuellement étudié par l'Assemblée Provinciale de Transalpie, la TNT bannit les chaines principalement tournées vers la téléréalité, l'érotisme et la pornographie, trois éléments considérés comme racoleurs par les critiques médias et en manière générale par les tenants du mieux-disant culturel.
En ce qui concerne les sports, on peut s'étonner à la fois de l'absence de FTV 9, chaine du service public fédéral, a priori honorablement dotée et gratuite à proposer de par sa mission, et de la faible place du sport sur le bouquet payant (7 chaines cinéma contre 2 chaines sport alors que l'évolution globale du modèle télévisuel met bien plus en danger les créateurs de films et séries que les sports où le direct dispose d'une plus-value considérable par rapport à une consommation en différé via des services de VOD).
L'offre se désintéresse clairement du sport par rapport à ses rivales, c'est un constat objectif, ensuite les motifs que nous supposons ne sont que spéculation, nul n'a le pouvoir d'entrer dans le cerveau d'un autre, l'alimentation du mieux-disant culturel n'est qu'une hypothèse, qui se trouve être celle que nous estimons la plus crédible.
En ce qui concerne Fox News, la réaction de madame d'Escourt est d'une mauvaise foi hallucinante. L'article souligne à deux reprises l'anti-américanisme dans l'action du gouvernement de Septimanie et se contente de souligner le fait que Fox News soulève des controverses, en premier lieu aux Etats-Unis, sans même entreprendre un début de critique, ce qui en fait un choix plus connoté que l'aurait été CNN par exemple. Dans cet article nous avons été bien plus sévères avec AB Productions qu'avec Fox News, et pourtant je doute que l'on nous taxe de francophobie.
Notre journal a toujours assumé son parti-pris, car nous pensons que tous ceux qui parlent de politique en se prétendant objectifs sont des arnaqueurs, car il est impossible de ne pas laisser transparaitre son opinion personnelle d'une manière ou d'une autre et car nous avons vu les dangers de mêler analyse partisane et vérification de faits lors de la dernière élection présidentielle aux Etats-Unis. Nous pensons qu'il est plus honnête pour chacun de connaitre le biais dans ce qu'il lit, et la réputation de notre journal est d'inclure beaucoup de rédacteurs orientés à gauche.
Cependant, le parti-pris n'est pas l'adulation aveugle envers son camp. L'article décortique le contenu de la TSB de la même manière que celui de la TNT. Par exemple, nous doutons que l'ensemble de notre lectorat se réjouisse du potentiel de voir des films pornographiques en plein après-midi, mais nous l'avons souligné car il s'agit d'un usage potentiel des réglementations encadrant la TSB, parler de la dimension idéologique de la TNT sans évoquer ce genre de choses n'aurait pas relevé du biais mais de la malhonnêteté.
Il ne faut pas se méprendre sur le but d'un article, cet article ne visait pas à dire que la TNT est bonne ou mauvaise ou que la TSB est bonne ou mauvaise, il visait à décortiquer les messages sous-entendus par un texte de loi et à démontrer que la tonalité du texte soit passive et d'apparence neutre ou franchement agressive, un texte de loi n'est jamais purement technique et dénué de portée politique.
Par exemple il est difficile de dire que nous prenons la défense de la télé-réalité alors que dans le même article nous nous en prenons à des sitcoms navrantes, il s'agit d'un constat brut impliquant une politique de mieux-disant culturel, qui est l'effet d'aubaine parfait pour sortir un débat du cadre idéologique.
Ici ce n'est pas une question de manque de place comme le prétend madame d'Escourt, mais un choix politique clair et précis, en vertu des dispositions de l'article 204 du texte actuellement étudié par l'Assemblée Provinciale de Transalpie, la TNT bannit les chaines principalement tournées vers la téléréalité, l'érotisme et la pornographie, trois éléments considérés comme racoleurs par les critiques médias et en manière générale par les tenants du mieux-disant culturel.
En ce qui concerne les sports, on peut s'étonner à la fois de l'absence de FTV 9, chaine du service public fédéral, a priori honorablement dotée et gratuite à proposer de par sa mission, et de la faible place du sport sur le bouquet payant (7 chaines cinéma contre 2 chaines sport alors que l'évolution globale du modèle télévisuel met bien plus en danger les créateurs de films et séries que les sports où le direct dispose d'une plus-value considérable par rapport à une consommation en différé via des services de VOD).
L'offre se désintéresse clairement du sport par rapport à ses rivales, c'est un constat objectif, ensuite les motifs que nous supposons ne sont que spéculation, nul n'a le pouvoir d'entrer dans le cerveau d'un autre, l'alimentation du mieux-disant culturel n'est qu'une hypothèse, qui se trouve être celle que nous estimons la plus crédible.
En ce qui concerne Fox News, la réaction de madame d'Escourt est d'une mauvaise foi hallucinante. L'article souligne à deux reprises l'anti-américanisme dans l'action du gouvernement de Septimanie et se contente de souligner le fait que Fox News soulève des controverses, en premier lieu aux Etats-Unis, sans même entreprendre un début de critique, ce qui en fait un choix plus connoté que l'aurait été CNN par exemple. Dans cet article nous avons été bien plus sévères avec AB Productions qu'avec Fox News, et pourtant je doute que l'on nous taxe de francophobie.
Notre journal a toujours assumé son parti-pris, car nous pensons que tous ceux qui parlent de politique en se prétendant objectifs sont des arnaqueurs, car il est impossible de ne pas laisser transparaitre son opinion personnelle d'une manière ou d'une autre et car nous avons vu les dangers de mêler analyse partisane et vérification de faits lors de la dernière élection présidentielle aux Etats-Unis. Nous pensons qu'il est plus honnête pour chacun de connaitre le biais dans ce qu'il lit, et la réputation de notre journal est d'inclure beaucoup de rédacteurs orientés à gauche.
Cependant, le parti-pris n'est pas l'adulation aveugle envers son camp. L'article décortique le contenu de la TSB de la même manière que celui de la TNT. Par exemple, nous doutons que l'ensemble de notre lectorat se réjouisse du potentiel de voir des films pornographiques en plein après-midi, mais nous l'avons souligné car il s'agit d'un usage potentiel des réglementations encadrant la TSB, parler de la dimension idéologique de la TNT sans évoquer ce genre de choses n'aurait pas relevé du biais mais de la malhonnêteté.