Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
- Karl Lacroix-Hanke
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
ADF - Au Centre ! (3/10)
Je ne suis pas sûr que parler des fonctionnaires soit vraiment en phase avec le thème de ce débat sur le travail et les affaires sociales. Ou alors j'ai du rater un épisode en cours de route.
Sur le flexible working, la vision américaine me pose personnellement un problème car elle met davantage l'accent sur la flexbilité que sur la sécurité. Nous avons besoin d'un système qui équilibre les deux.
C'est un peu comme la cuisson d'une viande. Pas assez c'est trop saignant, trop, c'est carbonisé. Pour ttrouver ce point d'équilibre, je pense qu'il faut que nous posions de bonnes bases.
D'abord, il faut donner et définir les pouvoirs de chacun. Côté travailleurs, avec une syndicalisation obligatoire pour bénéficier des accords négociés. C'est un premier cercle vertueux. Nous impliquons les salariés dans ce débat citoyen au sein de l'entreprise et nous donnons aux syndicat une force sur laquelle s'appuyer pour aller chercher de nouveaux avantages et améliorer le bien-être au travail.
Ensuite, je pense qu'il faut assouplir la législation actuelle et le cadre. Déplacer les accords au niveau des branches voire des entreprises. Une petite SARL de maçonnerie comptant 15 salariés, n'aura pas les mêmes possibilités et besoins qu'une multinationale. Il faut que les règles de travail puissent s'adapter à ces entreprises-là.
Enfin, il convient, à mon avis de garder un socle principal et général pour tout le monde, qui assure le même nombre de congés payés, le taux horaire minimal, la durée maximale de travail hebdomadaire, la prise en charge des accidents de travail, entre autres.
Je ne suis pas sûr que parler des fonctionnaires soit vraiment en phase avec le thème de ce débat sur le travail et les affaires sociales. Ou alors j'ai du rater un épisode en cours de route.
Sur le flexible working, la vision américaine me pose personnellement un problème car elle met davantage l'accent sur la flexbilité que sur la sécurité. Nous avons besoin d'un système qui équilibre les deux.
C'est un peu comme la cuisson d'une viande. Pas assez c'est trop saignant, trop, c'est carbonisé. Pour ttrouver ce point d'équilibre, je pense qu'il faut que nous posions de bonnes bases.
D'abord, il faut donner et définir les pouvoirs de chacun. Côté travailleurs, avec une syndicalisation obligatoire pour bénéficier des accords négociés. C'est un premier cercle vertueux. Nous impliquons les salariés dans ce débat citoyen au sein de l'entreprise et nous donnons aux syndicat une force sur laquelle s'appuyer pour aller chercher de nouveaux avantages et améliorer le bien-être au travail.
Ensuite, je pense qu'il faut assouplir la législation actuelle et le cadre. Déplacer les accords au niveau des branches voire des entreprises. Une petite SARL de maçonnerie comptant 15 salariés, n'aura pas les mêmes possibilités et besoins qu'une multinationale. Il faut que les règles de travail puissent s'adapter à ces entreprises-là.
Enfin, il convient, à mon avis de garder un socle principal et général pour tout le monde, qui assure le même nombre de congés payés, le taux horaire minimal, la durée maximale de travail hebdomadaire, la prise en charge des accidents de travail, entre autres.
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- Vincent De Salvo
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
PLC (2/10)
Mr Lacroix-Hanke, je vous ai connu beaucoup plus perspicace en conseil municipal à Vauxin. Je pense que la situation des fonctionnaires est une part non négligeable de ce débat sur le travail. Les fonctionnaires sont des travailleurs comme les autres et ce que nous voulons faire de leur statut doit être évoqué ici.
Pour répondre à Mr Valmont, à titre personnel, je conserverai la santé en plus de l'armée et de l'intérieur dans la fonction publique. D'ailleurs, je suis favorable à classer les professions de santé comme pénibles.
Ensuite, je suis enclin à accepter la suppression de tous les fonctionnaires en dehors des domaines évoqués précédemment, mais cela ne peut pas se faire d'un seul coup, il faut préparer ce changement drastique. Pour ce faire, le non remplacement des fonctionnaires que je propose est une bonne solution de transition selon moi.
Mr Bournay, vous dites que, d'un coup de baguette magique, en retirant deux ou trois heures de travail hebdomadaire tout deviendra magnifique, plus de chômage et travailler deviendra un rêve éveillé.
Vous savez, que l'on exerce une profession pénible 28, 30, 35 ou 40 heures par semaine elle restera pénible.
Lorsque vous parlez de rendre le travail agréable juste en baissant la durée, je vous rappelle que beaucoup de gens ne vous ont pas attendu pour s'épanouir dans la profession qu'ils pratiquent et heureusement.
Par contre, je sais que beaucoup de citoyens seront comblés de voir leur pouvoir d'achat augmenté parce qu'ils ont travaillé plus.
Toujours dans un soucis de pouvoir d'achat, je suis pour la défiscalisation complète des heures supplémentaires.
Mr Lacroix-Hanke, je vous ai connu beaucoup plus perspicace en conseil municipal à Vauxin. Je pense que la situation des fonctionnaires est une part non négligeable de ce débat sur le travail. Les fonctionnaires sont des travailleurs comme les autres et ce que nous voulons faire de leur statut doit être évoqué ici.
Pour répondre à Mr Valmont, à titre personnel, je conserverai la santé en plus de l'armée et de l'intérieur dans la fonction publique. D'ailleurs, je suis favorable à classer les professions de santé comme pénibles.
Ensuite, je suis enclin à accepter la suppression de tous les fonctionnaires en dehors des domaines évoqués précédemment, mais cela ne peut pas se faire d'un seul coup, il faut préparer ce changement drastique. Pour ce faire, le non remplacement des fonctionnaires que je propose est une bonne solution de transition selon moi.
Mr Bournay, vous dites que, d'un coup de baguette magique, en retirant deux ou trois heures de travail hebdomadaire tout deviendra magnifique, plus de chômage et travailler deviendra un rêve éveillé.
Vous savez, que l'on exerce une profession pénible 28, 30, 35 ou 40 heures par semaine elle restera pénible.
Lorsque vous parlez de rendre le travail agréable juste en baissant la durée, je vous rappelle que beaucoup de gens ne vous ont pas attendu pour s'épanouir dans la profession qu'ils pratiquent et heureusement.
Par contre, je sais que beaucoup de citoyens seront comblés de voir leur pouvoir d'achat augmenté parce qu'ils ont travaillé plus.
Toujours dans un soucis de pouvoir d'achat, je suis pour la défiscalisation complète des heures supplémentaires.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
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- Karl Lacroix-Hanke
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
ADF - Au Centre ! (4/10) :
Est-ce qu'on pourrait avoir un minimum de décence à l'égard de agents de l'état ? Je ne comprends pas ce haro contre les fonctionnaires. Il n'y a pas que la police, l'armée et l'hôpital qui sont utiles. Il y a l'administration fiscale, également, et surtout l'éducation nationale. Que l'on se penche sur les avantages, sur les régimes particuliers, pourquoi pas, mais amputer la Frôce de 60% de ses agents publics, drastiquement ou par une asphyxie lente, c'est une hérésie économique. Mais ça n'est pas le sens du débat.
Sur la question du travail, nous défendons le dialogue, en faveur d'un pouvoir renforcé pour les syndicats et d'une flexibilité accrue pour les entreprises. Nous sommes favorables à des baisses de cotisations sur le travail, pour libérer du pouvoir d'achat, à la défiscalisation partielle des heures supplémentaires, à la négociation des accords dans l'entreprise directement, exception fait des grilles de rémunérations qui doivent rester dans les accords de branche. Une telle réforme sociale ne se fera pas en un seul mandat. En Suède, la réforme a mis 15 ans pour être négociée.
Sur la question des affaires sociales, un peu mise de côté. Par le passé, nous nous étions engagé en faveur d'évolutions progressistes : la loi Marie-Madeleine, celle sur l'euthanasie. Nous pensons que nous pouvons encore faire des efforts vis à vis des personnes transgenres. Nous avons à coeur de reconnaitre un genre neutre, dans un premier temps, et de faciliter ensuite la chirurgie de réatribution sexuelle. La Frôce doit aussi évoluer avec son temps et permettre à ses citoyens d'y vivre dans le bien-être.
Est-ce qu'on pourrait avoir un minimum de décence à l'égard de agents de l'état ? Je ne comprends pas ce haro contre les fonctionnaires. Il n'y a pas que la police, l'armée et l'hôpital qui sont utiles. Il y a l'administration fiscale, également, et surtout l'éducation nationale. Que l'on se penche sur les avantages, sur les régimes particuliers, pourquoi pas, mais amputer la Frôce de 60% de ses agents publics, drastiquement ou par une asphyxie lente, c'est une hérésie économique. Mais ça n'est pas le sens du débat.
Sur la question du travail, nous défendons le dialogue, en faveur d'un pouvoir renforcé pour les syndicats et d'une flexibilité accrue pour les entreprises. Nous sommes favorables à des baisses de cotisations sur le travail, pour libérer du pouvoir d'achat, à la défiscalisation partielle des heures supplémentaires, à la négociation des accords dans l'entreprise directement, exception fait des grilles de rémunérations qui doivent rester dans les accords de branche. Une telle réforme sociale ne se fera pas en un seul mandat. En Suède, la réforme a mis 15 ans pour être négociée.
Sur la question des affaires sociales, un peu mise de côté. Par le passé, nous nous étions engagé en faveur d'évolutions progressistes : la loi Marie-Madeleine, celle sur l'euthanasie. Nous pensons que nous pouvons encore faire des efforts vis à vis des personnes transgenres. Nous avons à coeur de reconnaitre un genre neutre, dans un premier temps, et de faciliter ensuite la chirurgie de réatribution sexuelle. La Frôce doit aussi évoluer avec son temps et permettre à ses citoyens d'y vivre dans le bien-être.
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- Victor Karlsson-Marshall
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
UPP (3/10)
Je dois dire, Monsieur De Salvo, que je suis surpris de voir autant d'approximations de votre part. Je vous ai connu un peu plus honnête.
Votre diatribe sur les fonctionnaires en fera bondir plus un. Quid des fonctionnaires de la justice, de l'administration, de l'éducation, et j'en passe ? Bien sûr, il est facile de taper sur les fonctionnaires quand on ne sait pas de quoi on parle. Et le travail des fonctionnaires non remplacés, qui l'effectuera ?
Si les fonctionnaires représentent une part non négligeable de travailleurs, ce n'est pas un hasard.
Évidemment, je m'attendais à ce que la question du temps de travail fasse réagir. Force est de constater que personne n'a pris la peine de noter les arguments en faveur. La baisse de la fatigue et de l'anxiété, la réduction des pauses, l'augmentation concrète de la motivation et de la satisfaction au travail : des effets concrets sur la productivité et la qualité de vie du travailleur que beaucoup ici semblent ignorer. Soyez sûrs que ce ne sera pas notre cas.
Ce dont je me désole également, c'est de voir que dans ce débat censé traiter des affaires sociales et du travail, on préfère parler compétitivité et liberté d'entreprendre que de problématiques sociales. A aucun moment ce soir, le sujet de l'égalité salariale n'a été abordé, et pourtant, il s'agit d'une des plus graves inégalités qui demeure dans le domaine du travail. En équivalent temps plein, les femmes perçoivent moins que les hommes.
Arrivés aux responsabilités, nous œuvrerons à l'abolition de l'écart de salaire hommes-femmes à travail égal. Les employeurs qui ne s'y plieront pas seront sanctionnées. Nous refusons qu'aujourd'hui, un travailleur puisse être discriminé en toute impunité.
Je dois dire, Monsieur De Salvo, que je suis surpris de voir autant d'approximations de votre part. Je vous ai connu un peu plus honnête.
Votre diatribe sur les fonctionnaires en fera bondir plus un. Quid des fonctionnaires de la justice, de l'administration, de l'éducation, et j'en passe ? Bien sûr, il est facile de taper sur les fonctionnaires quand on ne sait pas de quoi on parle. Et le travail des fonctionnaires non remplacés, qui l'effectuera ?
Si les fonctionnaires représentent une part non négligeable de travailleurs, ce n'est pas un hasard.
Évidemment, je m'attendais à ce que la question du temps de travail fasse réagir. Force est de constater que personne n'a pris la peine de noter les arguments en faveur. La baisse de la fatigue et de l'anxiété, la réduction des pauses, l'augmentation concrète de la motivation et de la satisfaction au travail : des effets concrets sur la productivité et la qualité de vie du travailleur que beaucoup ici semblent ignorer. Soyez sûrs que ce ne sera pas notre cas.
Ce dont je me désole également, c'est de voir que dans ce débat censé traiter des affaires sociales et du travail, on préfère parler compétitivité et liberté d'entreprendre que de problématiques sociales. A aucun moment ce soir, le sujet de l'égalité salariale n'a été abordé, et pourtant, il s'agit d'une des plus graves inégalités qui demeure dans le domaine du travail. En équivalent temps plein, les femmes perçoivent moins que les hommes.
Arrivés aux responsabilités, nous œuvrerons à l'abolition de l'écart de salaire hommes-femmes à travail égal. Les employeurs qui ne s'y plieront pas seront sanctionnées. Nous refusons qu'aujourd'hui, un travailleur puisse être discriminé en toute impunité.
Père, Époux, Chancelier Suprême, Citoyen.
Co-président-fondateur de The European LGBT Foundation
4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94)
2ème Gouverneur de Catalogne (90-92)
3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92)
2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90)
Ancien Maire de Pastelac
Prince dans une dimension parallèle
Biographie | Pluzin | Résidence
- Eric Valmont
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
RPL : (04/10)
Pour répondre aux messieurs Lacroix-Hanke et Karlsson puisqu'il vient de poser la question, le RPL propose le changement de statut des fonctionnaires pour qu’il soit remplacé par un contrat de travail normal, donc le travail sera toujours fait quoi qu'il arrive.
Et Karl m'a devancé puisque je pense comme lui qu’au-delà du travail, ce débat aborde aussi un thème tout aussi important, à savoir les affaires sociales, et pour aborder d'abord le thème des transgenres en réponses aux propositions d'ADF-AC, nous sommes totalement d'accord sur le fait que les choses doivent changer, et appuieront la proposition d'un genre neutre dans l'attente d'un changement permanent.
Je souhaite aussi parler de la protection sociale qui passant d’un statut d’exigence morale pour certains, est devenue une assistance généralisée, et ceci est inacceptable, nous ne pouvons continuer ainsi, les gens sont devenus tout simplement dépendant aux allocations. Pour nous, le plus important principe est la coopération. Sans un état omniprésent, les citoyens apprendraient à être à l’écoute des besoins des autres et plus enclins à s’entraider, je vous donne comme exemple dans le pays voisin, en France, les restos du cœur, qui sont nés d’une initiative privée, le Téléthon également, et c’est aujourd’hui un concept mondialement connu, voilà pourquoi le RPL encourage les initiatives privées à but caritatif et souhaite donner la priorité à cette forme spontanée de générosité. Et si les frôceux n’étaient pas autant taxés, leur générosité serait bien plus grande envers leurs concitoyens.
Pour répondre aux messieurs Lacroix-Hanke et Karlsson puisqu'il vient de poser la question, le RPL propose le changement de statut des fonctionnaires pour qu’il soit remplacé par un contrat de travail normal, donc le travail sera toujours fait quoi qu'il arrive.
Et Karl m'a devancé puisque je pense comme lui qu’au-delà du travail, ce débat aborde aussi un thème tout aussi important, à savoir les affaires sociales, et pour aborder d'abord le thème des transgenres en réponses aux propositions d'ADF-AC, nous sommes totalement d'accord sur le fait que les choses doivent changer, et appuieront la proposition d'un genre neutre dans l'attente d'un changement permanent.
Je souhaite aussi parler de la protection sociale qui passant d’un statut d’exigence morale pour certains, est devenue une assistance généralisée, et ceci est inacceptable, nous ne pouvons continuer ainsi, les gens sont devenus tout simplement dépendant aux allocations. Pour nous, le plus important principe est la coopération. Sans un état omniprésent, les citoyens apprendraient à être à l’écoute des besoins des autres et plus enclins à s’entraider, je vous donne comme exemple dans le pays voisin, en France, les restos du cœur, qui sont nés d’une initiative privée, le Téléthon également, et c’est aujourd’hui un concept mondialement connu, voilà pourquoi le RPL encourage les initiatives privées à but caritatif et souhaite donner la priorité à cette forme spontanée de générosité. Et si les frôceux n’étaient pas autant taxés, leur générosité serait bien plus grande envers leurs concitoyens.
- Jean Bournay
- Député fédéral
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
FCF - (4/10)
Non, la pauvreté n'est pas un gage d'honnêteté, mais celui de la richesse excessive est la preuve qu'on a dû écraser une foule d'humains pour en arriver là.
Non la Grande-Bretagne n'est pas un exemple, elle est le cinquième pays dans lequel les employés sont le moins heureux en Europe.
M.De Salvo, "progressivement" n'est pas un synonyme de "en un coup de baguette magique" pour le reste, je comprends que vous ne compreniez rien à ce que je dis. 28 h à la mine est bien plus supportable que 39 h désolé de vous l'apprendre. Et travailler plus pour gagner plus, ne marchera plus si vous défiscalisez les heures supplémentaires, vous vous contredisez et laisser ouverte la porte à l'abus, en permettant aux patrons de faire travailler gratuitement ses employés sous prétexte de travaux plus gros à faire en un même jour. Donc en plus de temps. Et ce sans payer ses employés pour le temps supplémentaire passé.
Pour l'égalité des salaires, nous sommes pour renforcer nos lois archaïques, la Commune de Paris l'avait déjà appliquée. Nous avons 882 ans de retard !¹
Enfin nous nous affichons en faveur d'évolutions sociétales, par exemple en faveur ses personnes dîtes "LGBT+". Autres que l'idée de l'Homme des catholiques, comprenez cela ainsi.
Enfin nous refusons de laisser les crises humaines à l'abandon et de ne compter que sur la charité des plus aisés. Nous aiderons les initiatives caritatives mais nous ne les laisserons pas seules. Nous les accompagnerons avec des aides pécuniaires, parce que ce n'est pas à eux seuls d'aide un peuple, la générosité n'est pas à privatiser.
Non, la pauvreté n'est pas un gage d'honnêteté, mais celui de la richesse excessive est la preuve qu'on a dû écraser une foule d'humains pour en arriver là.
Non la Grande-Bretagne n'est pas un exemple, elle est le cinquième pays dans lequel les employés sont le moins heureux en Europe.
M.De Salvo, "progressivement" n'est pas un synonyme de "en un coup de baguette magique" pour le reste, je comprends que vous ne compreniez rien à ce que je dis. 28 h à la mine est bien plus supportable que 39 h désolé de vous l'apprendre. Et travailler plus pour gagner plus, ne marchera plus si vous défiscalisez les heures supplémentaires, vous vous contredisez et laisser ouverte la porte à l'abus, en permettant aux patrons de faire travailler gratuitement ses employés sous prétexte de travaux plus gros à faire en un même jour. Donc en plus de temps. Et ce sans payer ses employés pour le temps supplémentaire passé.
Pour l'égalité des salaires, nous sommes pour renforcer nos lois archaïques, la Commune de Paris l'avait déjà appliquée. Nous avons 882 ans de retard !¹
Enfin nous nous affichons en faveur d'évolutions sociétales, par exemple en faveur ses personnes dîtes "LGBT+". Autres que l'idée de l'Homme des catholiques, comprenez cela ainsi.
Enfin nous refusons de laisser les crises humaines à l'abandon et de ne compter que sur la charité des plus aisés. Nous aiderons les initiatives caritatives mais nous ne les laisserons pas seules. Nous les accompagnerons avec des aides pécuniaires, parce que ce n'est pas à eux seuls d'aide un peuple, la générosité n'est pas à privatiser.
ABBC3_SPOILER_SHOW
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
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Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
- Vincent De Salvo
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
PLC (3/10)
Mr Karlsson, j'avais parlé de la justice dans ma première intervention, j'ai omis de la citer lors de la deuxième mais je compte, évidemment, la conserver dans la fonction publique.
Je pensais que vous aviez compris que, dans les secteurs que je compte sortir de la fonction publique, le travail sera effectué par des concitoyens ayant un contrat de travail classique, sans statut particulier. Mais Mr Valmont a eu raison de vous le rappeler.
Si les fonctionnaires représentent un nombre important de travailleurs, c'est que notre état s'accorde un train vie qu'il ne peut plus assumer et je compte remédier à cela avec sérieux.
Vous savez, ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord avec vous que l'on ne sait pas de quoi on parle. Mais je ne vous cache pas que votre mépris m’indiffère au plus haut point. Vous pensez que j'en ai fait bondir plus d'un avec mon discours sur les fonctionnaires? Je n'en ai cure, je suis là pour tenir un discours de vérité et parler avec convictions, je ne suis pas là pour plaire au microcosme bien pensant dont vous êtes la tête de gondole.
Concernant l'égalité salariale hommes/femmes, je suis pour, mais il est évident que la majorité des études ne sont pas fiables, un médecin qui épouse une infirmière gagne mieux qu'elle, quoi de plus logique? Par contre, les rares cas dans lesquels à compétences, diplômes et temps de travail égal, il y a disparité, il faut sanctionner.
Au niveau des personnes transgenres, vous vous trompez de débat, nous sommes ici pour parler d'affaires sociales et non sociétales.
Mr Karlsson, j'avais parlé de la justice dans ma première intervention, j'ai omis de la citer lors de la deuxième mais je compte, évidemment, la conserver dans la fonction publique.
Je pensais que vous aviez compris que, dans les secteurs que je compte sortir de la fonction publique, le travail sera effectué par des concitoyens ayant un contrat de travail classique, sans statut particulier. Mais Mr Valmont a eu raison de vous le rappeler.
Si les fonctionnaires représentent un nombre important de travailleurs, c'est que notre état s'accorde un train vie qu'il ne peut plus assumer et je compte remédier à cela avec sérieux.
Vous savez, ce n'est pas parce que l'on n'est pas d'accord avec vous que l'on ne sait pas de quoi on parle. Mais je ne vous cache pas que votre mépris m’indiffère au plus haut point. Vous pensez que j'en ai fait bondir plus d'un avec mon discours sur les fonctionnaires? Je n'en ai cure, je suis là pour tenir un discours de vérité et parler avec convictions, je ne suis pas là pour plaire au microcosme bien pensant dont vous êtes la tête de gondole.
Concernant l'égalité salariale hommes/femmes, je suis pour, mais il est évident que la majorité des études ne sont pas fiables, un médecin qui épouse une infirmière gagne mieux qu'elle, quoi de plus logique? Par contre, les rares cas dans lesquels à compétences, diplômes et temps de travail égal, il y a disparité, il faut sanctionner.
Au niveau des personnes transgenres, vous vous trompez de débat, nous sommes ici pour parler d'affaires sociales et non sociétales.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
Maire d'Aspen
- Mats Maessen
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
MAMA (1/10)
Monsieur De Salvo, vous ne comprenez pas grand chose à la question de l'égalité hommes/femmes. Vous nous demandez ce qu'il y a de plus normal qu'un médecin gagne davantage que son épouse infirmière. Le véritable problème n'est pas celui-là. Le problème, c'est que les métiers les mieux rémunérés sont, dans l'ensemble, davantage exercés par des hommes que par des femmes.
Il ne suffit pas de dire "je suis pour l'égalité salariale", il faut aussi travailler à construire cette égalité plutôt qu'à réformer à la marge. Bien sûr qu'il faut sanctionner les inégalités à compétences égales et à travail égal. Mais le combat ne s'arrête pas là, on ne peut pas résoudre un problème complexe avec des solutions simplistes. Il ne suffit pas de rendre l'inégalité illégale pour qu'elle disparaisse, parce que cette égalité est systémique.
Pour lutter contre cela, plusieurs pistes sont possibles.
Le problème vient du système? Changeons le système. Forçons ce changement, mettons des quotas là où il est possible d'en mettre, obligeons les entreprises à assumer la part d'égalité qui leur incombe, par la coercition s'il le faut, partout où il le faut. Tant pis si cela a des conséquences néfastes à court terme. Pour reprendre le vocabulaire libéral, disons que c'est un investissement sur l'avenir.
Le problème vient des mentalités? Changeons les mentalités. Donnons à nos enseignants et nos écoles les moyens de construire l'égalité hommes/femmes dans les esprits de nos enfants. Rendons la prochaine génération plus intelligente que la nôtre, plutôt que de se reposer sur l'ignorance afin de ne rien faire.
Monsieur De Salvo, vous ne comprenez pas grand chose à la question de l'égalité hommes/femmes. Vous nous demandez ce qu'il y a de plus normal qu'un médecin gagne davantage que son épouse infirmière. Le véritable problème n'est pas celui-là. Le problème, c'est que les métiers les mieux rémunérés sont, dans l'ensemble, davantage exercés par des hommes que par des femmes.
Il ne suffit pas de dire "je suis pour l'égalité salariale", il faut aussi travailler à construire cette égalité plutôt qu'à réformer à la marge. Bien sûr qu'il faut sanctionner les inégalités à compétences égales et à travail égal. Mais le combat ne s'arrête pas là, on ne peut pas résoudre un problème complexe avec des solutions simplistes. Il ne suffit pas de rendre l'inégalité illégale pour qu'elle disparaisse, parce que cette égalité est systémique.
Pour lutter contre cela, plusieurs pistes sont possibles.
Le problème vient du système? Changeons le système. Forçons ce changement, mettons des quotas là où il est possible d'en mettre, obligeons les entreprises à assumer la part d'égalité qui leur incombe, par la coercition s'il le faut, partout où il le faut. Tant pis si cela a des conséquences néfastes à court terme. Pour reprendre le vocabulaire libéral, disons que c'est un investissement sur l'avenir.
Le problème vient des mentalités? Changeons les mentalités. Donnons à nos enseignants et nos écoles les moyens de construire l'égalité hommes/femmes dans les esprits de nos enfants. Rendons la prochaine génération plus intelligente que la nôtre, plutôt que de se reposer sur l'ignorance afin de ne rien faire.

« La democràcia és un dret natural i un privilegi, però és sobretot una oportunitat. »
Max Mattinen, 19 mai 12
- Julia Blum
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
RPL (5/10)
Monsieur Maesson, vous vous emportez. Vous souhaitez changer notre système pour un système totalitaire, un système où les libertés seraient trop encadrées. Je ne vous ferai pas l'affront de comparer votre idée avec le régime nord coréen mais votre conception du travail me fait peur, là où je défends la Liberté.
Le Rassemblement Pour la Liberté s'engage à défendre le travail et donner plus de libertés aux travailleurs et aux entreprises pour choisir leurs régles communes. L'état frôçeux doit rendre la voix à chaque salarié et non légiférer à tout va. Les femmes ne demandent pas une discrimination positive, elles demandent uniquement l'égalité de traitement. Les femmes ne doivent pas avoir le sentiment d'être à un poste car elles sont "des femmes", mais elles doivent avoir le sentiment d'être un poste car elles sont autant qualifier qu'un autre individu.
Le RPL défends la liberté, là où d'autres pensent que corriger une inégalité est synonyme de réduction des libertés.
Monsieur Maesson, vous vous emportez. Vous souhaitez changer notre système pour un système totalitaire, un système où les libertés seraient trop encadrées. Je ne vous ferai pas l'affront de comparer votre idée avec le régime nord coréen mais votre conception du travail me fait peur, là où je défends la Liberté.
Le Rassemblement Pour la Liberté s'engage à défendre le travail et donner plus de libertés aux travailleurs et aux entreprises pour choisir leurs régles communes. L'état frôçeux doit rendre la voix à chaque salarié et non légiférer à tout va. Les femmes ne demandent pas une discrimination positive, elles demandent uniquement l'égalité de traitement. Les femmes ne doivent pas avoir le sentiment d'être à un poste car elles sont "des femmes", mais elles doivent avoir le sentiment d'être un poste car elles sont autant qualifier qu'un autre individu.
Le RPL défends la liberté, là où d'autres pensent que corriger une inégalité est synonyme de réduction des libertés.
Julia Blum
- Vincent De Salvo
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Re: Elections générales 92 : Débat - Travail et Affaires Sociales
PLC (4/10)
Je note que les responsables de gauche présents ici n'arrivent pas à répondre à mes argumentaires sans se montrer désagréables à mon endroit, quand on est pas d'accord avec eux et leur pensée unique c'est uniquement parce que l'on n'y comprend rien. L'idée que l'on puisse avoir des convictions différentes des leurs n'est, apparemment, pas acceptable.
Mr Maessen, je suis contre toutes les formes de communautarisme.
Je n'accepterai jamais que l'on soit discriminé à cause de son ethnie, sa religion, son orientation sexuelle ou son sexe. Mais dans la continuité de ce raisonnement, je suis également farouchement opposé à toutes les discriminations "positives".
D'un côté, je ne supporterai pas qu'un homme soit mieux rémunéré qu'une femme à compétences, diplômes et temps de travail égal. Mais de l'autre côté, je ne supporterai pas qu'un patron juge la candidature d'un homme la plus adéquat pour un poste proposé mais soit obligé de retenir une candidature féminine pour des raisons de quotas.
Je n'ai pas l'impression que les femmes soient interdites sur les bancs des facultés de médecine ou sur les bancs du Palais Richard de Frôce. Si une femme veut être médecin, qu'elle réussisse ses études de médecine et si elle veut être députée qu'elle se fasse élire, il n'y a absolument rien qui les en empêche.
Je vous rappelle que Mr Lubenac a été précédé de deux femmes au poste de chancelier suprême. Je ne vous ai pas entendu dire à ce moment là qu'il fallait faire des quotas pour qu'un homme occupe l'Hôtel Belley.
Je note que les responsables de gauche présents ici n'arrivent pas à répondre à mes argumentaires sans se montrer désagréables à mon endroit, quand on est pas d'accord avec eux et leur pensée unique c'est uniquement parce que l'on n'y comprend rien. L'idée que l'on puisse avoir des convictions différentes des leurs n'est, apparemment, pas acceptable.
Mr Maessen, je suis contre toutes les formes de communautarisme.
Je n'accepterai jamais que l'on soit discriminé à cause de son ethnie, sa religion, son orientation sexuelle ou son sexe. Mais dans la continuité de ce raisonnement, je suis également farouchement opposé à toutes les discriminations "positives".
D'un côté, je ne supporterai pas qu'un homme soit mieux rémunéré qu'une femme à compétences, diplômes et temps de travail égal. Mais de l'autre côté, je ne supporterai pas qu'un patron juge la candidature d'un homme la plus adéquat pour un poste proposé mais soit obligé de retenir une candidature féminine pour des raisons de quotas.
Je n'ai pas l'impression que les femmes soient interdites sur les bancs des facultés de médecine ou sur les bancs du Palais Richard de Frôce. Si une femme veut être médecin, qu'elle réussisse ses études de médecine et si elle veut être députée qu'elle se fasse élire, il n'y a absolument rien qui les en empêche.
Je vous rappelle que Mr Lubenac a été précédé de deux femmes au poste de chancelier suprême. Je ne vous ai pas entendu dire à ce moment là qu'il fallait faire des quotas pour qu'un homme occupe l'Hôtel Belley.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
Maire d'Aspen