+ Claude Morvan

[Claude Morvan]

+    Sensible aux remarques sur la première version de la loi pénale fondamentale de Tyrsénie, nous avons apporté des modifications importantes au projet :
- De larges cas d'irresponsabilité pénale ont été dégagés : contrainte irrésistible, état de nécessité, âge, trouble psychique, légitime défense, ordre de la loi ou d'une autorité légitime ;
- Consécration de la limitation des sanctions pour mineurs aux mesures éducatives (moins de dix ans) puis aux sanctions éducatives (entre dix et seize ans) ;
- Mise en place comme sanction alternative du service militaire adapté ;
- Mise en place comme délit de la diffusion d'images pornographiques non autorisée ;
- Sanction de la récidive limitée à cinq ans.

[Claude Morvan]

+    je sorbs actuellemnntn dune renion avec des paysans. de notre provnice
aperitifs et discssions conshtrices au rdv
cdt

[Claude Morvan]

+    Rire avec le VIH est une insulte à ceux qui en sont victimes.
Rassurez vous, mon état de santé est bon - si ce n'est du côté du foie.

[Claude Morvan]

+    Une grande dame s'est envolée.
Mme Hermont a donné beaucoup de son énergie pour faire décoller notre province.
Véritable moteur de l'exécutif, elle oeuvrait pour le cap que l'on s'était fixés.
Mes pensées vont à sa famille et à ses amis.

[Claude Morvan]

+    Je soutiens la décision du Gouverneur de Catalogne, M. Valbonesi.

La politique menée par le gouvernement est désastreuse, tant sur le plan idéologique que pratique. Sur le plan idéologique, car il induit un désengagement massif de l'Etat des questions régaliennes les plus élémentaires, c'est à dire des questions de défense et de protection de nos concitoyens. Sur le plan pratique, car indirectement, il met en danger des millions de concitoyens.
Interdiction de la vidéosurveillance. Suppression des syndicats de policiers. Suppression des contrôles aux frontières. Quelle ironie insupportable : nous désarmons nos policiers alors que les terroristes utilisent des armes d'artillerie contre nos institutions.
La Frôce marche lentement vers le bord du gouffre, car une bande d'idéologues qui n'ont en commun que leur soif de pouvoir ont décidé d'occuper les institutions et de déréguler l'ensemble de notre société au profit de seulement quelques-uns.
Les gouverneurs sont en colère. Les maires sont en colère. Nous ne sommes pas là pour s'investir là où le gouvernement abandonne.

#GouverneursEnColère #MairesEnColère

[Claude Morvan]

+    Ah bon, Alvès, il y a eu des négociations avec les régionalistes ? Première information. Ce que j'ai vu à Belley, c'était uniquement des technocrates aspinois discutant sur les aspects financiers de l'intervention pendant des heures. Je ne critique pas la méthode, il faut bien parler d'argent à un moment, et j'ai bien évidemment accepté sans broncher de régler la note. Mais ne jouez pas au jeu de la mauvaise foi.

Que vous le vouliez ou non, la sécurité passe par l'Etat. Par des politiques sociales, pour prévenir la délinquance, politiques que vous refusez de mettre en oeuvre par idéologie parce que vous êtes né avec une cuillère dans la bouche et que pour vous la liberté rime avec l'égalité parce que vous n'avez jamais connu l'absence de cette dernière. Mais aussi par des politiques de sécurité : effectivement, on protège la vie de nos compatriotes avec des policiers armés et avec du matériel de sécurité efficace.

Vous êtes ministre et vous insultez des milliers de policiers sans broncher. Vous êtes ministre et vous dites aux millions de frôçeux qui subissent l'insécurité que ce qu'ils vivent n'est que de l'affabulation et de l'invention. Vous vous êtes retrouvés à un poste alors que vous n'avez aucune compétence et aucune idée de la vie des gens, et aux prochaines élections, ce sont les urnes qui vous dégageront.

[Claude Morvan]

+    Question division, le gouvernement y arrive bien mieux que les terroristes.

On nous taxe d'être dans une opposition non constructive alors que nous avons déposé des amendements au niveau fédéral et que nous participons activement au débat.
En face, nous avons un gouvernement qui négocie à huis-clos, qui ne présente à la représentation nationale et au peuple aucune stratégie globale, qui modifie l'état du droit à grands coups de pioches sans aucune concertation, qui ouvre des chantiers ultra-clivants sans aucune considération du quotidien des frôçeux et de leur perception des choses, par pure idéologie et par malin plaisir d'utiliser un rapport de force législatif qu'ils savent déjà perdu pour les vingt prochaines années.

Si la Frôce est divisée, c'est bien de votre faute. La gouverneure de Septimanie aura bien du mal à se faire passer pour une justicière au grand cœur alors qu'elle brise notre nation en deux. Personne n'est dupe.

[Claude Morvan]

+    - Il faut accepter la GPA sans conditions, sinon on est un vieux réac'.
- Il faut verser l'argent du contribuable sur demande de l'Etat fédéral sans conditions, sinon on est un agitateur.
- Il faut supprimer totalement les contrôles migratoires, sinon on est un raciste.
- Il faut le tout-gratuit dans les cantines y compris pour les ménages aisés, sinon on est un social-traître.

J'ai peur de ce qu'il faudra faire bientôt pour prouver qu'on n'est pas homophobe ?

[Claude Morvan]

+    Bien que convaincu du projet de Dîme, j'ai décidé de le retirer pour le présenter comme projet face aux électeurs lors de la prochaine campagne locale, l'actuel projet ne faisant pas partie de mon programme électoral.

[Claude Morvan]

+    Je dénonce avec force les violences et actes racistes commis par une minorité de policiers hier en Frôce, et notamment à Gagliano. De tels actes ne doivent pas rester impunis et la justice doit faire son travail pour punir en toute indépendance les membres des forces de l'ordre.

Je demande une nouvelle fois au gouvernement de retirer son projet de loi. On ne combat pas les violences policières en enlevant aux policiers leurs moyens d'expression, mais par du dialogue et de la confiance réciproque. Je n'aurai pas le culot de dire que les violences d'hier sont dues au gouvernement, elles ne sont dues qu'à l'irresponsabilité d'une poignée de policiers. En revanche le gouvernement serait irresponsable s'il écoutait pas l'immense majorité des forces de l'ordre qui craignent, avec raison, pour leur métier.