La Frôce est un RPG Politique par forum, gratuit. Micronation virtuelle, vous y faites évoluer votre personnage pour accéder aux plus hautes fonctions de l'état.
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+ Je ne démissionnerai jamais pour avoir appliqué la politique que les Aspinois ont choisie en m'élisant maire de la ville. Que le régime socialiste se rappelle que jusqu'à preuve du contraire, nous sommes encore en démocratie.
De plus, je me réserve le droit de traduire Julien Citron devant la justice pour sa responsabilité dans la situation instable qui règne à Aspen.
Merci à l'association JamaisLaGauche pour cette campagne qu'elle va mener jusqu'aux élections générales de décembre. L'objet de cette association de citoyens indépendants est d'alerter la population aspinoise sur les dangers que représente le socialisme pour la ville comme pour le pays.
Ce sont pas moins de 300 panneaux publicitaires de la ville qui accueillent dès à présent la campagne d'affichage !
+ Je salue la décision de la Chancelière de déplacer le Conseil des Ministres à Farellia. Les ministres socialistes ont suffisamment créé d'incidents à Aspen, cela ne pouvait plus continuer.
+ Aspen se réveille ce matin sous le calme. Enfin. Le départ du gouvernement socialiste nous a fait beaucoup de bien.
La municipalité attend les conclusions de la police des polices avant de se prononcer sur le sort des policiers qui sont intervenus de façon justifiée pour interpeller Anne-Lise Martin.
Nous travaillons également sur une procédure judiciaire à l’encontre de Julien Citron. Après avoir créé de nombreux débordements à Aspen, ce dernier devra répondre de ses actes devant la Cour Suprême. Nous l’appelons d’ores et déjà à démissionner de son poste de ministre qu’il n’est plus légitimement en mesure d’occuper.
Victor Karlsson a écrit :Heureusement que la Garde Impériale est là pour assurer l'ordre dans une ville en proie aux agressions à tous les coins de rue et aux casseuses d'iPhone.
Depuis le transfert du Conseil des Ministres à Farellia, la ville est étrangement calme. Nous allons mesurer le taux d'agressions avant et après votre départ. Nous serons très vite fixés.
Concernant mon iPhone 8 cassé, Julien Citron recevra prochainement la facture pour remboursement.
+ La fuite du gouvernement socialiste dans une ville communiste est édifiante. Après avoir semé le vent et récolté la tempête, les ministres du régime prennent leurs jambes à leurs cous pour éviter d’être rattrapés par leurs actes.
Désormais, la question de la légitimité de cette « majorité » se pose. Pouvons-nous encore reconnaître l’autorité d’un gouvernement qui est contraint de se réfugier dans l’un de ses bastions pour éviter de subir les foudres d’un peuple qui veut lui faire payer ses actes ?
Aux yeux des Aspinois et des Transalpiens, le seul dirigeant est Eduardo Belfort. Le gouvernement Ansaldi n’est plus respecté par personne ici.
J'ai le plaisir d'annoncer que demain soir, la municipalité d'Aspen décernera la décoration de Chancelier d'honneur à Eduardo Belfort.
Suite à la fuite du gouvernement socialiste, les Aspinois ne reconnaissent plus la légitimité d'Alessandra Ansaldi et de son gouvernement. Par conséquent, nous avons besoin de nous identifier à un vrai dirigeant : énergique, courageux et pragmatique. Notre vrai Chancelier à nous, c'est Eduardo Belfort !
Philippe Richard a écrit :Si @EduardoBelfort tient tellement au retour du gouvernement fédéral à Aspen, qu'il en discute deux minutes avec la maire d'Aspen qui autorise d'afficher des publicités politiques sur les panneaux publicitaires publics.
Chose qui n'a absolument rien d'anormal. Une association est tout à fait en droit de faire appel à une société privée de publicité pour promouvoir son engagement. Aspen, ce n'est pas Pyongyang ou Farellia. Ici, nous fonctionnons sur le principe de la liberté d'expression et d'opinion.
De toute manière, nous ne reconnaissons plus l'autorité du gouvernement en fuite. Que le gouvernement pense et dise ce qu'il veut, notre seul Chancelier c'est Eduardo Belfort !
+ La vice-chancellerie appelle la Transalpie désabusée à revoir ses positions, mais je tiens à rappeler que nous n'avons jamais été invités au dialogue, ni le Gouverneur de Transalpie, ni moi-même en tant que maire d'Aspen.
Cette crise politique est intervenue suite à la saisine de la Cour Suprême par Julien Citron au sujet du certificat de non-musulmanie, qui a été finalement retoqué par les magistrats. Toute la suite ne relève que de l'envenimement de la situation par le gouvernement, qui a multiplié les provocations à l'égard des Aspinois et de la Transalpie, pour finalement aboutir à une fuite inadmissible des activités fédérales vers une ville dont le maire est favorable à la majorité, comme par hasard.
Nous sommes donc en droit de nous interroger sur l'impartialité de la Chancelière, qui est censée être celle de tous les Frôceux, y compris de ceux qui ne partagent pas ses convictions... Et sur la légitimité du gouvernement qui n'est plus en mesure d'officier. La réalité, c'est que les Aspinois et Transalpiens ne reconnaissent plus la légitimité du gouvernement et ils ont raison. Les menaces éhontées et désespérées de la Chancelière ne nous atteignent plus. Cette dernière a complètement perdu le fil et ne maîtrise plus la situation. Les décisions qu'elle pourra tenter de prendre pourront potentiellement être ignorées si le climat de défiance actuel gagne encore en intensité.
Je connais Eduardo, qui est toujours ouvert au dialogue et je confirme l'être moi-même. Mais le premier pas doit venir de l'exécutif fédéral qui est responsable de cette situation, certainement pas de nous.
+ La Cour Suprême vient de se prononcer sur la délocalisation du Ministère du Budget à Pastelac, et ce dernier est défini comme inconstitutionnel. C'est une première victoire contre le gouvernement fédéral qui en appelle à d'autres.
J'appelle à la démission du Ministre du Budget pour cette faute lourde.
