

L'isolement peut justement être l'étape préalable de la radicalisation, c'est d'ailleurs souvent le cas pour de nombreux auteurs d'attentats. Et cet isolement, il est provoqué par une paresse intellectuelle qui elle-même peut tout à fait pousser un individu déstabilisé à croire aux théories des fanatiques de Daesh.Valentin Ravioli a écrit :Vous comparez une doctrine qui recherche l'isolement avec une personne qui n'avait aucune culture religieuse et qui a (stupidement) cru pouvoir laver ses pêchés en suivant les éructation de l'organisation terroriste Daesh.
C'est comme si vous confondiez une réunion politique et une partouze.
Parler de nos voisins est assez osé dans ce cas. Là, nous parlons de mœurs qui n'incluent pas le fait de voiler une femme de la tête aux pieds, de lapider des femmes dans un stade devant une foule ébahie, de leur interdire de conduire ou encore de pendre sans jugement des individus à une grue en plein milieu d'un village. Vous savez, toutes ces choses qui sont encore considérées comme normales dans la majorité des pays du Moyen-Orient, ce pour des questions de religion.Valentin Ravioli a écrit :Comment définissez vous les mœurs et l'occident ?
Il y a des variantes considérables d'un pays à l'autre, par exemple le mariage gay est illégal en Italie alors qu'il l'est en Espagne. Quel est le vrai point de vue occidental ?
Mieux vaut assumer le côté pénalisant de la prévention par l'interdiction, c'est toujours mieux que ramasser des corps en pleine rue. Et l'islam est une religion, pas une idéologie politique. Là, il s'agit en plus de la fermeture de 10 mosquées, soit même pas 1/5 du nombre total de mosquées que comprend la Transalpie. Les Musulmans ne sont pas discriminés. Seuls les Musulmans sujets au radicalisme le sont, pour le bien de tous.Valentin Ravioli a écrit :Et quoi qu'il en soit, il est extrêmement dangereux de se base sur la pensée de quelqu'un pour déterminer un danger plutôt que sur ses actes et ses paroles. C'est avec ces extrémités là qu'on en arrive à museler des opposants politiques.
Ces jeunes ont violé le règlement intérieur de leur établissement ainsi que la loi en vigueur en Catalogne. Ce qui en fait des hors-la-loi, l'intervention policière était justifiée. Le Gouverneur de Catalogne a agi de façon responsable, au contraire de vous qui avez envoyé des individus violents et aguerris pour les mélanger à de jeunes lycéens jusqu'alors sans histoire.Valentin Ravioli a écrit :Je me dresse aux côtés de tous les opprimés quel que soit leur statut social, leur religion, leur ethnie ou leur genre.
Les autorités ont envoyé des policiers blesser des gamins qui ne faisaient que protester contre un coup de force d'un proviseur se torchant avec l'avis de son conseil d'administration. Riches ou pas, ces jeunes ont subi une oppression d'Etat.
C'est ce qu'on appelle avoir des principes. Je ne clame pas mon amour pour les droits de l'Homme que quand ça m'arrange.
Pour ce qui est de vos principes, voir un Communiste parler de Droits de l'Homme me fait un peu le même effet qu'un Anarchiste qui parlerait de sécurité.