Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
- Vincent De Salvo
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
PLC (4/5)
Nous ne sommes pas d'accord sur ce point monsieur Lacroix-Hanke, je pense qu'il vaut mieux travailler un peu plus et pouvoir partir en week end ou aller au restaurant durant son temps libre.
Sur le dossier Antsiranana, j'approuve volontiers le travail fait par madame Fahendrena, il était nécessaire. Mais la situation qu'elle a trouvée était si précaire, imprécise et instable que l'on ne peut pas s'appuyer dessus pour légiférer sur le reste de la fédération. Si le temps de travail hebdomadaire est de 120 heures avec une rémunération de 0,5 plz/heure, baisse du temps de travail ne rimera pas avec baisse du pouvoir d'achat et des rémunérations, évidemment.
Pour le "numérus closus", monsieur Bournay, nous n'avons pas de statistiques froçeuses établies mais chez nos voisins français, il y a moins de 20% d'abandons sur tout le cursus de médecine. Adapter le "numérus closus" suffit à pallier cela. L'important est de ne pas avoir de déserts médicaux et la loi de madame Álvarez Puig a fait beaucoup en ce sens.
Enfin, ça n'étonnera personne, je pense, que je sois opposé à une taxation de 90%, que ce soit sur le capital ou n'importe quoi d'autre. Un taux affreusement confiscatoire. Lorsque je vois ce projet en grand, je ne vois que la fuite des investisseurs, l'effondrement de notre économie et une crise insoluble pour notre fédération.
Je trouve également très caricatural la façon qu'ont mes deux contradicteurs de parler des actionnaires. Si l'on vous écoute, un actionnaire est un méchant qui ne fait rien de ses journées à part encaisser. Un actionnaire est quelqu'un qui investi, qui prend des risques et qui prend des décisions.
Nous ne sommes pas d'accord sur ce point monsieur Lacroix-Hanke, je pense qu'il vaut mieux travailler un peu plus et pouvoir partir en week end ou aller au restaurant durant son temps libre.
Sur le dossier Antsiranana, j'approuve volontiers le travail fait par madame Fahendrena, il était nécessaire. Mais la situation qu'elle a trouvée était si précaire, imprécise et instable que l'on ne peut pas s'appuyer dessus pour légiférer sur le reste de la fédération. Si le temps de travail hebdomadaire est de 120 heures avec une rémunération de 0,5 plz/heure, baisse du temps de travail ne rimera pas avec baisse du pouvoir d'achat et des rémunérations, évidemment.
Pour le "numérus closus", monsieur Bournay, nous n'avons pas de statistiques froçeuses établies mais chez nos voisins français, il y a moins de 20% d'abandons sur tout le cursus de médecine. Adapter le "numérus closus" suffit à pallier cela. L'important est de ne pas avoir de déserts médicaux et la loi de madame Álvarez Puig a fait beaucoup en ce sens.
Enfin, ça n'étonnera personne, je pense, que je sois opposé à une taxation de 90%, que ce soit sur le capital ou n'importe quoi d'autre. Un taux affreusement confiscatoire. Lorsque je vois ce projet en grand, je ne vois que la fuite des investisseurs, l'effondrement de notre économie et une crise insoluble pour notre fédération.
Je trouve également très caricatural la façon qu'ont mes deux contradicteurs de parler des actionnaires. Si l'on vous écoute, un actionnaire est un méchant qui ne fait rien de ses journées à part encaisser. Un actionnaire est quelqu'un qui investi, qui prend des risques et qui prend des décisions.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
Maire d'Aspen
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
ADF(4/5)
C'est pour cela que je vous parle d'adapter le temps de travail hebdomadaire en fonction de la situation économique de chaque Province, M. de Salvo.
Sur le numérus clausus, bien que ça soit hors sujet, selon moi, l'ADF est favorable à sa suppression, ne serait-ce que pour donner sa chance à chacun d'une part et accélérer le repeuplement des zones désertées.
Pour en revenir aux actionnaires, c'est bien le problème. Dans l'entreprise, c'est toujours celui qui a l'argent qui décide pour tous les autres. C'est comme si nous acceptions, comme "chefs naturels" tout la ploutocratie frôceuse.
Le pouvoir de décision, selon nous, doit revenir aux patrons ET aux salariés. Disons que les actionnaires ne doivent pas peser plus que celles et ceux qui travaillent et génèrent de la croissance au sein de l'entreprise. Il m'apparait impératif que les politiques de production et de management s'axent sur le bien-être des salariés, en priorité.
Allègement du temps de travail, nous l'avons évoqué tout à l'heure, mais aussi revalorisation des rémunération, aménagement du confort au travail, avec les salles de pause, pourquoi pas de crèches comme nous l'avons fait en Transalpie, du temps d'Eric Valmont ? Il y a beaucoup de leviers pour améliorer la qualité de vie de nos travailleurs. Si nous voulons valoriser le travail, nous devons le faire avec intelligence, en renversant la table, mais en faisant évoluer les mentalité aussi. Un salarié qui travaille plus, n'est pas plus efficace. Un salarié qui touche moins qu'un actionnaire, n'est pas plus motivé.
C'est une nouvelle façon d'appréhender le travail que nous proposons dans notre programme.
C'est pour cela que je vous parle d'adapter le temps de travail hebdomadaire en fonction de la situation économique de chaque Province, M. de Salvo.
Sur le numérus clausus, bien que ça soit hors sujet, selon moi, l'ADF est favorable à sa suppression, ne serait-ce que pour donner sa chance à chacun d'une part et accélérer le repeuplement des zones désertées.
Pour en revenir aux actionnaires, c'est bien le problème. Dans l'entreprise, c'est toujours celui qui a l'argent qui décide pour tous les autres. C'est comme si nous acceptions, comme "chefs naturels" tout la ploutocratie frôceuse.
Le pouvoir de décision, selon nous, doit revenir aux patrons ET aux salariés. Disons que les actionnaires ne doivent pas peser plus que celles et ceux qui travaillent et génèrent de la croissance au sein de l'entreprise. Il m'apparait impératif que les politiques de production et de management s'axent sur le bien-être des salariés, en priorité.
Allègement du temps de travail, nous l'avons évoqué tout à l'heure, mais aussi revalorisation des rémunération, aménagement du confort au travail, avec les salles de pause, pourquoi pas de crèches comme nous l'avons fait en Transalpie, du temps d'Eric Valmont ? Il y a beaucoup de leviers pour améliorer la qualité de vie de nos travailleurs. Si nous voulons valoriser le travail, nous devons le faire avec intelligence, en renversant la table, mais en faisant évoluer les mentalité aussi. Un salarié qui travaille plus, n'est pas plus efficace. Un salarié qui touche moins qu'un actionnaire, n'est pas plus motivé.
C'est une nouvelle façon d'appréhender le travail que nous proposons dans notre programme.
ABBC3_SPOILER_SHOW
- Jean Bournay
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
FCF - 4/5
Aujourd'hui Monsieur de Salvo, un actionnaire est sur-rémunéré et les entreprises vont jusqu'à s'endetter pour donner plus aux actionnaires. C'est pourquoi d'un, nous voulons une taxe échelonné sur ce domaine, plus forte que sur les revenus du travail. Le prolétaire doit être moins taxé que le bourgeois. Et nous irons jusqu'à 90% au de-là de 7 fois le SMC et, bien entendu, 100% au delà de 10 fois le SMC de revenu, avec une progressivité pour ne pas mettre tout le monde dans le même panier.
Je suis d'accord avec vous, M.Lacroix-Hanke sur le besoin de renverser la marmite, et de jeter tous les vieux préjugés, bien que je soit plus favorable à des solutions de gestion d'entreprises sans patronat ou avec syndicat ou même sans direction permanente, selon chaque entreprise et chaque salariat qui décidera de lui-même.
Ensuite, nous sommes pour obliger les entreprises d'une certaine taille à employer une part de leur revenu à l'amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Car soyons honnêtes, même si les communistes ont plus pour fer de lance la répartition des richesses qui est un problème majeur, ou la baisse des temps de travail, nous devons tous remarquer qu'il y a quelque chose de pourri, au Royaume de l'économie et qu'il faut prendre des mesures fortes et innovantes et ambitieuses pour faire changer les choses.
Nous ne devons plus voir le travail comme unique occupation, comme objet de mérite ou de prétention, nous devons le ramener à son rôle de pourvoyeur à une nécessité, et désintéresser la population du labeur inutile et de l'excès d'effort.
Aujourd'hui Monsieur de Salvo, un actionnaire est sur-rémunéré et les entreprises vont jusqu'à s'endetter pour donner plus aux actionnaires. C'est pourquoi d'un, nous voulons une taxe échelonné sur ce domaine, plus forte que sur les revenus du travail. Le prolétaire doit être moins taxé que le bourgeois. Et nous irons jusqu'à 90% au de-là de 7 fois le SMC et, bien entendu, 100% au delà de 10 fois le SMC de revenu, avec une progressivité pour ne pas mettre tout le monde dans le même panier.
Je suis d'accord avec vous, M.Lacroix-Hanke sur le besoin de renverser la marmite, et de jeter tous les vieux préjugés, bien que je soit plus favorable à des solutions de gestion d'entreprises sans patronat ou avec syndicat ou même sans direction permanente, selon chaque entreprise et chaque salariat qui décidera de lui-même.
Ensuite, nous sommes pour obliger les entreprises d'une certaine taille à employer une part de leur revenu à l'amélioration des conditions de vie des travailleurs.
Car soyons honnêtes, même si les communistes ont plus pour fer de lance la répartition des richesses qui est un problème majeur, ou la baisse des temps de travail, nous devons tous remarquer qu'il y a quelque chose de pourri, au Royaume de l'économie et qu'il faut prendre des mesures fortes et innovantes et ambitieuses pour faire changer les choses.
Nous ne devons plus voir le travail comme unique occupation, comme objet de mérite ou de prétention, nous devons le ramener à son rôle de pourvoyeur à une nécessité, et désintéresser la population du labeur inutile et de l'excès d'effort.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
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- Vincent De Salvo
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
PLC (5/5)
Je ne peux que m'inscrire en faux contre les propositions fiscales faites par monsieur Bournay. Dans l'intervention précédente il parlait de 90% maintenant 100%, non ce n'est pas possible. Même si de l'argent est perçu par de l'actionnariat, l'état ne peut pas être un voyou. Le résultat d'une telle mesure serait que plus personne ne voudrait investir en Frôce, et tout le monde y serait perdant.
De tels propos tenus sur les actionnaires ne font qu'attiser les haines et diviser notre peuple. Dire que tous les actionnaires ne font rien et touchent un paquet c'est comme dire que tous les fonctionnaires sont fainéants, ça n'a aucun sens.
Dans notre économie en concurrence avec le monde entier, les entreprises sont condamnées à l'innovation et ont besoin des actionnaires pour rester compétitives. Cette concurrence est d'ailleurs une bonne chose, par la stimulation et l'émulation qu'elle apporte.
Pour conclure je vais revenir à la question centrale de ce débat, le temps de travail hebdomadaire.
Comme je l'ai dit, le temps de travail hebdomadaire approprié est de 39 heures pour moi. Si une augmentation du temps légal de travail est décidée, elle doit être accompagnée d'une augmentation de salaire, les valeurs travail et mérite sont fondamentales et ne doivent pas être bafouées.
Concernant les heures supplémentaires, il y a deux axes indispensables et indissociables. Il faut interdire d'obliger un salarié à en effectuer et elles doivent être rémunérées de façon conséquente, je préconise le double d'une heure de travail "normale".
Je remercie les organisateurs de ce débat ainsi que messieurs Lacroix-Hanke et Bournay.
Je ne peux que m'inscrire en faux contre les propositions fiscales faites par monsieur Bournay. Dans l'intervention précédente il parlait de 90% maintenant 100%, non ce n'est pas possible. Même si de l'argent est perçu par de l'actionnariat, l'état ne peut pas être un voyou. Le résultat d'une telle mesure serait que plus personne ne voudrait investir en Frôce, et tout le monde y serait perdant.
De tels propos tenus sur les actionnaires ne font qu'attiser les haines et diviser notre peuple. Dire que tous les actionnaires ne font rien et touchent un paquet c'est comme dire que tous les fonctionnaires sont fainéants, ça n'a aucun sens.
Dans notre économie en concurrence avec le monde entier, les entreprises sont condamnées à l'innovation et ont besoin des actionnaires pour rester compétitives. Cette concurrence est d'ailleurs une bonne chose, par la stimulation et l'émulation qu'elle apporte.
Pour conclure je vais revenir à la question centrale de ce débat, le temps de travail hebdomadaire.
Comme je l'ai dit, le temps de travail hebdomadaire approprié est de 39 heures pour moi. Si une augmentation du temps légal de travail est décidée, elle doit être accompagnée d'une augmentation de salaire, les valeurs travail et mérite sont fondamentales et ne doivent pas être bafouées.
Concernant les heures supplémentaires, il y a deux axes indispensables et indissociables. Il faut interdire d'obliger un salarié à en effectuer et elles doivent être rémunérées de façon conséquente, je préconise le double d'une heure de travail "normale".
Je remercie les organisateurs de ce débat ainsi que messieurs Lacroix-Hanke et Bournay.
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
EDF 5/5
A l'inverse de M. Bournay, je ne suis pas favorable à une disparition des directions d'entreprise et du patronat. Je crois que tout le monde peut travailler en bonne intelligence.
Pour ça il suffit de garantir trois critères essentiels :
- le bien-être, ou plutôt le mieux être au travail, qui se manifeste par des durées hebdomadaires autour des 36 heures, voire moins selon le contexte de l'entreprise et économique de la province.
- la baisse des disparités entre les salariés et les patrons, et là, je suis totalement d'accord avec l'idée d'un salaire maximal comme le décrit M. Bournay.
- le respect de travailleurs et leur priorisation face aux actionnaires. C'est à dire qu'ils soient les premiers à récolter les fruits de leur labeur.
Ces trois piliers l'ADF les défend ardemment, pour construire une politique sociale et économique.
Mais nous entendons mener ces actions en réunissant syndicats, patronats et état. Les choses peuvent changer à condition que chacun y mette du sien et que nous menions des négociations franches et ouvertes.
Sans arriver à des spoliations à 100% pour les actionnaires, je suis certain que l'on peut trouver un juste milieu qui profite à tout le monde. Ayons une main de velours !
Je remercie en tout cas mes interlocuteurs. Ce débat a été très riche et très agréable, bien que nous ayons eu des désaccords. J'ai l'intime conviction qu'il va permettre aux électeurs de voir nos différents projets. L'ADF, en tout cas, s'est toujours posée comme une troisième voie sociale et économique en politique. Nous avons à coeur de défendre l'humain avant tout et nous continuerons à le faire !
A l'inverse de M. Bournay, je ne suis pas favorable à une disparition des directions d'entreprise et du patronat. Je crois que tout le monde peut travailler en bonne intelligence.
Pour ça il suffit de garantir trois critères essentiels :
- le bien-être, ou plutôt le mieux être au travail, qui se manifeste par des durées hebdomadaires autour des 36 heures, voire moins selon le contexte de l'entreprise et économique de la province.
- la baisse des disparités entre les salariés et les patrons, et là, je suis totalement d'accord avec l'idée d'un salaire maximal comme le décrit M. Bournay.
- le respect de travailleurs et leur priorisation face aux actionnaires. C'est à dire qu'ils soient les premiers à récolter les fruits de leur labeur.
Ces trois piliers l'ADF les défend ardemment, pour construire une politique sociale et économique.
Mais nous entendons mener ces actions en réunissant syndicats, patronats et état. Les choses peuvent changer à condition que chacun y mette du sien et que nous menions des négociations franches et ouvertes.
Sans arriver à des spoliations à 100% pour les actionnaires, je suis certain que l'on peut trouver un juste milieu qui profite à tout le monde. Ayons une main de velours !
Je remercie en tout cas mes interlocuteurs. Ce débat a été très riche et très agréable, bien que nous ayons eu des désaccords. J'ai l'intime conviction qu'il va permettre aux électeurs de voir nos différents projets. L'ADF, en tout cas, s'est toujours posée comme une troisième voie sociale et économique en politique. Nous avons à coeur de défendre l'humain avant tout et nous continuerons à le faire !
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- Jean Bournay
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Re: Débat 7 : PLC - ADF - FCF : Doit-on réduire le temps de travail hebdomadaire ?
FCF (5/5)
Pour clarifier la taxation des actionnaires, 100% serait le plafond maximum. Avec un escalier qui sera trouvé -je ne puis en parler clairement au vu du manque cruel d'informations communiquées par les gouvernements à ce sujet- le but sera de réduire les revenus du capital, d'un pour stabiliser l'économie, de deux pour que l'argent récupéré circule au sein de l'entreprise, pour l'embauche, pour une hausse des salaires, pour un meilleur environnement au travail, etc.
Et aussi pour limiter l'"innovation" sauvage qui a fait des dizaines de "progrès" à la va-vite et dont on goûte aujourd'hui les conséquences. Si on veut vraiment investir, maintenant il faudra y réfléchir à deux fois.
Je ne suis pas pour la disparition du patronat mais pour une évolution et une liberté de choisir ses dirigeants. Partant du principe que l'entreprise et les moyens de production appartiennent plus aux travailleurs qui s'en servent qu'au patron, il me semble évident qu'ils aient leur mot à dire. Aux Communes Valenciennes par exemple, tous les employés municipaux gèrent en autonomie leurs établissements et choisissent ou non d'avoir un directeur ou un patron.
A l'instar de mes interlocuteurs, je vais me recentrer sur la question du temps de travail légal. Les communistes libertaires le voient depuis des siècles à 24 heures, nous proposons une période de transition à 28 heures, avec une constante augmentation du salaire minimum pour accompagner une redistribution des richesses par le secteur privé.
Je suis d'accord avec Monsieur de Salvo, sur la nécessité d'encadrer les heures supplémentaires et de doubler la rémunération horaire minimale.
Je remercie les organisateurs de ce débat éclairant ainsi que de mes interlocuteurs.
Pour clarifier la taxation des actionnaires, 100% serait le plafond maximum. Avec un escalier qui sera trouvé -je ne puis en parler clairement au vu du manque cruel d'informations communiquées par les gouvernements à ce sujet- le but sera de réduire les revenus du capital, d'un pour stabiliser l'économie, de deux pour que l'argent récupéré circule au sein de l'entreprise, pour l'embauche, pour une hausse des salaires, pour un meilleur environnement au travail, etc.
Et aussi pour limiter l'"innovation" sauvage qui a fait des dizaines de "progrès" à la va-vite et dont on goûte aujourd'hui les conséquences. Si on veut vraiment investir, maintenant il faudra y réfléchir à deux fois.
Je ne suis pas pour la disparition du patronat mais pour une évolution et une liberté de choisir ses dirigeants. Partant du principe que l'entreprise et les moyens de production appartiennent plus aux travailleurs qui s'en servent qu'au patron, il me semble évident qu'ils aient leur mot à dire. Aux Communes Valenciennes par exemple, tous les employés municipaux gèrent en autonomie leurs établissements et choisissent ou non d'avoir un directeur ou un patron.
A l'instar de mes interlocuteurs, je vais me recentrer sur la question du temps de travail légal. Les communistes libertaires le voient depuis des siècles à 24 heures, nous proposons une période de transition à 28 heures, avec une constante augmentation du salaire minimum pour accompagner une redistribution des richesses par le secteur privé.
Je suis d'accord avec Monsieur de Salvo, sur la nécessité d'encadrer les heures supplémentaires et de doubler la rémunération horaire minimale.
Je remercie les organisateurs de ce débat éclairant ainsi que de mes interlocuteurs.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
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