Frôce - Micronation virtuelle - RPG Politique

UPP (2/5)

Ah nous y voilà donc. De retour aux bilans et au traditionnel: "Mais quand vous étiez au pouvoir vous n'avez rien fait". Premièrement, je n'ai absolument rien à me reprocher personnellement en la matière puisque je n'ai pas eu accès à des postes à responsabilité et donc je n'ai pu agir en ce sens. Mais en tant que Maire, sachez que j'ai été à maintes reprises voir les victimes, les associations et sur le terrain nous avons commencé à travailler sur certains arrêtés que nous soumettrons dans les prochaines semaines que ce soit dans la majorité ou l'opposition. Car contrairement à vous, ce n'est pas parce que je perd une élection que je cesse à croire à mes principes.

Deuxièmement, l'UPP n'a pas à rougir car nous avons agis sur de nombreux domaines divers et variés et avons su faire avancé la cause du genre humain en défendant nos valeurs au nom du peuple et de la nation frôceuse. Vous parlez d'avancées en Septimanie, en Tyrsénie et j'en passe. Mais que faites vous pour la Frôce dans sa globalité? Vous pensez donc que les violences sexuelles n'ont lieu que dans certaines régions? Contrairement à vous, je pense que c'est au niveau fédéral que nous devons agir car c'est une question qui concerne tout le monde. C'est très bien d'agir dans les provinces, mais cela veut aussi dire qu'on laisse à l'abandon toutes les autres provinces et croyez moi, ce n'est pas toujours l'UPP qui en est à leur tête.

Oui, je crois en une commission nationale et oui ce sera une de nos priorités.

RPL (5/5) :

Une priorité au bout de 3 années de pouvoir ? Ben dites donc, il était temps !
Par contre, en plus de la leçon d'histoire de M. Finacci-Voligni, je vais vous inviter à prendre une leçon de droit constitutionnel, car l'application et la définition des peines, c'est une compétence provinciale et non fédérale. Donc à part finir comme le Sinistre de la Protection Sociale, Jean Bournay, vos gesticulations ne vont vous amener bien loin.

Je vois que j'arrive bientôt au terme de mon temps de parole aussi je vais synthétiser les positions que j'ai tenues tout au long de ce débat.

Pour le RPL, la lutte contre les violences sexuelles est un problème de société majeur que nous prenons très au sérieux. Et c'est la raison pour laquelle nous souhaitons non pas assurer le service après-violence mais bien l'éviter. Si la loi et la répression seules suffisaient, nous vivrions tous en paix, en sécurité. Mais ce n'est pas le cas.

Il faut prendre le problème à sa source et faire confiance en l'ensemble des citoyens pour évoluer. Nous privilégierons donc les associations, les professionnels pour répondre à ce problème extrêmement grave. Faire changer le regard, abattre les préjugés, mettre en place des mesures fortes en faveur de la prise en charge des victimes. Protéger au plus près et de façon juste.

C'est une vision réaliste et progressiste qui fait confiance à l'humain pour renforcer l'humanisme. Le RPL a à coeur de défendre une vision différente des partis traditionnels. Nous défendons l'émancipation et nous sommes prêts à aider au développement de celle-ci, pour que la société puisse évoluer dans le bon sens et se prémunir en amont des violences sexuelles.

ADF (5/5)

Donc si j'ai bien compris, le modus operandi de l'UPP face aux violences sexuelles, ce sont des séances de photos avec les victimes.
Je critiquais le RPL pour vouloir fendre un char d'assaut avec un lance-pierre, mais vous vous y allez carrément au hochet en plastique.

Ensuite comme le rappelle justement le représentant du RPL, le droit pénal et l'éducation relèvent des compétences provinciales, et la seule chose qu'on peut constater, c'est que l'UPP de Catalogne qui a le pouvoir depuis plus de trois ans, a passé bien plus de temps à se préoccuper de ses purges internes qu'à lutter contre les violences sexuelles, vous n'êtes hélas pas les seuls dirigeants de province à avoir fait l'impasse sur cette problématique, mais vous êtes les seuls à démontrer tant d'hypocrisie en projetant votre échec sur les autres.

Comme nous arrivons à la fin de ce débat, je souhaiterais conclure en disant que les violences sexuelles exigent une action sur tous les fronts, ne vous laissez pas bercer dans la fausse dichotomie éducation ou répression, nous avons besoin des deux éléments.

Nous avons besoin de la répression, car à l'heure actuelle, le statut accordé aux victimes de violences sexuelles est souvent bien faible eu égard à ce qu'elles ont subi. Non, nous ne pouvons pas parler de simple "atteinte sexuelle" quand un enfant de 10 ans se fait pénétrer par un adulte, quand il n'y a pas de consentement, c'est un viol, et il faut l'appeler tel quel.

En ce qui concerne l'éducation, je ne vais pas répéter le discours du représentant du RPL qui a expliqué tout ce qui peut être utile.