L’agriculture représente une part importante de notre économie. Combien de centaines de milliers de frôceux travaillent dans des exploitations agricoles, que ce soit dans des vignobles, dans des oliveraies, dans des plantations maraichères ou tout simplement nos concitoyens pêcheurs qui ramènent dans nos assiettes des poissons et des crustacés de qualité dans le respect de la biodiversité et du renouvellement des espèces ? Suffisamment pour ne pas instrumentaliser le malheur de certains d’entre eux à des fins politiques Madame Mendoza.
Le soutien de l’Etat à l’agriculture frôceuse dans un contexte de concurrence international est vital : nous ne pouvons pas accepter que des productions étrangères produites dans des conditions sociales désastreuses ou fiscalement inéquitables puissent envahir nos étales. Nous devons mieux contrôler nos importations et faire du made in Frôce pour la sauvegarde de notre agriculture une priorité nationale. Protégeons nos agriculteurs !