Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
- Aurore Lacroix-Valmont
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Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
MAMA (4/5) :
M. Madarjeen me fait penser à Boney M, à répéter la même chose comme un disque rayé, avec le charisme d'une chemise à paillettes et le côté playback formaté qui va avec. C'est à se demander comment on peut débattre avec un perroquet.
Bref, je trouve que le discours de M. Bournay, s'il dresse des constats élémentaires est hélas beaucoup trop catégorique. La planète n'est pas finie, elle est limitée, en espace, en ressources. C'est justement parce que la planète n'est pas finie qu'elle peut encore être sauvée et que la COP24 existe.
L'autre monde que nous devons construire n'est pas juste un monde de décroissance. Parce que nous savons aussi ce que signifie la décroissance : chômage, pauvreté... ce n'est pas LA solution, pas à l'état brut en tout cas.
Il est nécessaire d'arrêter tout ce qui nuit au dérèglement climatique, sans délai. Et de développer des technologies permettent le remplacement, le vrai des énergies fossiles par des énergies vertes à empreinte carbone nulle. Idem pour les véhicules, accélérons le mouvement, comme l'a fait la Catalogne sous l'impulsion de Julien Citron avec le moteur à hydrogène.
Répartissons mieux les richesses. Il n'est pas normal que 2% de la population mondiale exploite 98% du reste ! La valeur même de l'argent n'est rien en comparaison de la vie humaine et de la Terre elle-même. Il faut revenir aux fondamentaux, à la solidarité et à l'entraide. Il faut mettre en place des mesures fortes, rapidement, pour enrayer la machine et faire en sorte que nous ne prenions plus davantage que ce que notre monde peut nous offrir.
Faisons donc le pari qu'un jour, nous donnions à la planète.
M. Madarjeen me fait penser à Boney M, à répéter la même chose comme un disque rayé, avec le charisme d'une chemise à paillettes et le côté playback formaté qui va avec. C'est à se demander comment on peut débattre avec un perroquet.
Bref, je trouve que le discours de M. Bournay, s'il dresse des constats élémentaires est hélas beaucoup trop catégorique. La planète n'est pas finie, elle est limitée, en espace, en ressources. C'est justement parce que la planète n'est pas finie qu'elle peut encore être sauvée et que la COP24 existe.
L'autre monde que nous devons construire n'est pas juste un monde de décroissance. Parce que nous savons aussi ce que signifie la décroissance : chômage, pauvreté... ce n'est pas LA solution, pas à l'état brut en tout cas.
Il est nécessaire d'arrêter tout ce qui nuit au dérèglement climatique, sans délai. Et de développer des technologies permettent le remplacement, le vrai des énergies fossiles par des énergies vertes à empreinte carbone nulle. Idem pour les véhicules, accélérons le mouvement, comme l'a fait la Catalogne sous l'impulsion de Julien Citron avec le moteur à hydrogène.
Répartissons mieux les richesses. Il n'est pas normal que 2% de la population mondiale exploite 98% du reste ! La valeur même de l'argent n'est rien en comparaison de la vie humaine et de la Terre elle-même. Il faut revenir aux fondamentaux, à la solidarité et à l'entraide. Il faut mettre en place des mesures fortes, rapidement, pour enrayer la machine et faire en sorte que nous ne prenions plus davantage que ce que notre monde peut nous offrir.
Faisons donc le pari qu'un jour, nous donnions à la planète.
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense
- Jean Bournay
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Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
FCF - (4/5)
Je reste cependant convaincu qu'en laissant vos idéologies vous pourriez être d'accord vous deux. Que vous liiez ou non le réchauffement climatique à l'humain ou non, vous êtes tous les deux pour des mesures écologiques. Abandonnez un peu votre désir d'avoir partout raison, et proposez-nous plutôt des solutions !
De même, je pense que la planète est finie, plus que limitée, mais ce n'est pas pour ça que je ne vais pas en donner et que je vais me fermer à Madame Lacroix-Valmont.
Parmi ces solutions j'ai proposé la décroissance.
Je crois que le décroissance doit s'effectuer par la répartition des richesses détenues par les plus riches et par la destruction lente de ces richesses au niveau économique. Ce qui ne provoquera nul chômage, nulle pauvreté, puisque ce sont des phénomènes qui apparaissent au contraire quand les riches possèdent plus. Si on réparti mieux la richesse, alors cela engendrera plus de consommation, plus de demande, etc.
De fait, la baisse de la quantité de monnaie, la revalorisera et tant que chacun y aura sa part grâce à une redistribution sociale, cela ne devrait poser de trop grands problèmes.
Cependant nous surproduisons déjà beaucoup. Donc il faut abaisser la productivité par tête. C'est à dire baisser le temps de travail légal aux 28 heures, revaloriser les salaires -ce qui contribue à la répartition des richesses.
Nous devrons sur le plan environnemental, mettre en place une politique anti-voiture. Car nous ne voyons que trop bien ce qu'a été la réussite de la politique individualiste du tout-voiture.
Voilà des mesures qui proposent une réponse pragmatique, sociale et environnementale.
Je reste cependant convaincu qu'en laissant vos idéologies vous pourriez être d'accord vous deux. Que vous liiez ou non le réchauffement climatique à l'humain ou non, vous êtes tous les deux pour des mesures écologiques. Abandonnez un peu votre désir d'avoir partout raison, et proposez-nous plutôt des solutions !
De même, je pense que la planète est finie, plus que limitée, mais ce n'est pas pour ça que je ne vais pas en donner et que je vais me fermer à Madame Lacroix-Valmont.
Parmi ces solutions j'ai proposé la décroissance.
Je crois que le décroissance doit s'effectuer par la répartition des richesses détenues par les plus riches et par la destruction lente de ces richesses au niveau économique. Ce qui ne provoquera nul chômage, nulle pauvreté, puisque ce sont des phénomènes qui apparaissent au contraire quand les riches possèdent plus. Si on réparti mieux la richesse, alors cela engendrera plus de consommation, plus de demande, etc.
De fait, la baisse de la quantité de monnaie, la revalorisera et tant que chacun y aura sa part grâce à une redistribution sociale, cela ne devrait poser de trop grands problèmes.
Cependant nous surproduisons déjà beaucoup. Donc il faut abaisser la productivité par tête. C'est à dire baisser le temps de travail légal aux 28 heures, revaloriser les salaires -ce qui contribue à la répartition des richesses.
Nous devrons sur le plan environnemental, mettre en place une politique anti-voiture. Car nous ne voyons que trop bien ce qu'a été la réussite de la politique individualiste du tout-voiture.
Voilà des mesures qui proposent une réponse pragmatique, sociale et environnementale.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
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- Magnus Madarjeen
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Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
PLC - 4/5
Madame Lacroix-Valmont, vous n'êtes pas la première à me faire le coup de disque rayé uniquement parce que vous ne m'avez pas fait changer d'avis avec vos arguments éculés.
Libre à vous de continuer sur cette lancée, mais je ne suis pas sûr que vous arriverez à convaincre grand monde avec cette méthode.
Et ne dites pas de mal de Boney M.
Monsieur Bournay, je ne pensais pas vous dire cela au vu de nos différences politiques, mais vous êtes beaucoup plus raisonnable que la moitié de mes interlocuteurs.
Toutefois, je suis en profond désaccord avec vos solutions. Déjà, nous n'allons pas refaire aujourd'hui le débat du capitalisme contre le communisme, car nous pourrions y passer des heures, et je ne vois pas vraiment en quoi la décroissance pourra permettre de lutter contre la polluton ou les effets du changement climatique.
Je pense que vous vous êtes laissé emporter par un hors-sujet.
Ensuite, je ne suis pas d'accord avec l'idée qu'il faut abandonner la voiture. Un reproche que je fais souvent aux communistes et aux écologistes, c'est d'avoir une mentalité très citadine de la société, et cette suggestion me le confirme.
La voiture, c'est la liberté de mouvement pour beaucoup de nos compatriotes. Supprimer la voiture, c'est supprimer les déplacements pour tous ceux qui vivent loin de la ville.
Il faut au contraire continuer d'encourager l'utilisation de la voiture, car c'est cela qui permet aux considérations écologiques de s'en emparer. Les entreprises sont désireuses de fabriquer les voitures les moins polluantes possibles, et c'est par la recherche et le développement que l'on trouvera les solutions pour se déplacer proprement.
Madame Lacroix-Valmont, vous n'êtes pas la première à me faire le coup de disque rayé uniquement parce que vous ne m'avez pas fait changer d'avis avec vos arguments éculés.
Libre à vous de continuer sur cette lancée, mais je ne suis pas sûr que vous arriverez à convaincre grand monde avec cette méthode.
Et ne dites pas de mal de Boney M.
Monsieur Bournay, je ne pensais pas vous dire cela au vu de nos différences politiques, mais vous êtes beaucoup plus raisonnable que la moitié de mes interlocuteurs.
Toutefois, je suis en profond désaccord avec vos solutions. Déjà, nous n'allons pas refaire aujourd'hui le débat du capitalisme contre le communisme, car nous pourrions y passer des heures, et je ne vois pas vraiment en quoi la décroissance pourra permettre de lutter contre la polluton ou les effets du changement climatique.
Je pense que vous vous êtes laissé emporter par un hors-sujet.
Ensuite, je ne suis pas d'accord avec l'idée qu'il faut abandonner la voiture. Un reproche que je fais souvent aux communistes et aux écologistes, c'est d'avoir une mentalité très citadine de la société, et cette suggestion me le confirme.
La voiture, c'est la liberté de mouvement pour beaucoup de nos compatriotes. Supprimer la voiture, c'est supprimer les déplacements pour tous ceux qui vivent loin de la ville.
Il faut au contraire continuer d'encourager l'utilisation de la voiture, car c'est cela qui permet aux considérations écologiques de s'en emparer. Les entreprises sont désireuses de fabriquer les voitures les moins polluantes possibles, et c'est par la recherche et le développement que l'on trouvera les solutions pour se déplacer proprement.
- Aurore Lacroix-Valmont
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Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
LGU (5/5) :
Vous devriez déplacer votre optimisme sur l'environnement M. Bournay, plutôt que sur un accord avec le PLC qui n'arrivera jamais tant que nous aurons cet énergumène qui nie en bloc tout changement climatique et en réfute les causes. Je sais que la période s'y prête mais arrêtez de croire au Père Noël !
A l'inverse de ce que vous proposez, nous souhaitons une rationalisation des comportements. Il s'agit de dire, au quotidien, plus de plastiques, plus d'objets non-recyclables, plus d'obsolescence programmée. Ce n'est quand même pas la lune ! Et ça ne veut pas forcément dire décroissance. Si vous supprimez la richesse, vous aurez bien plus de mal à la répartir et aujourd'hui, elle est déjà très inégalement répartie. La décroissance aurait un impact direct désastreux sur les plus en difficulté. Ce n'est pas la bonne solution.
La LGU propose une approche plus adéquate, en engageant la Frôce toute entière sur une voie du renouvelable. Il s'agit de dire, concrètement, plus d'énergies fossiles, plus de véhicules fonctionnant au pétrole. Des restrictions et des contrôles drastiques sur les émissions de CO2 avec un principe du pollueur-payeur réaffirmé et systématique, mais qui soit exponentiel.
Nous proposons le développement des méthodes alternatives, du covoiturage, des transports en commun. Nous militons pour l'isolation thermique. Nous avons besoin de ces chantiers pour avancer mais c'est surtout et avant tout au niveau international que tout se joue. Cette COP24 est donc cruciale, nous ne raterons pas le rendez-vous de l'histoire !
Je vous remercie pour ce débat qui je l'espère aura permis de dégager des positions claires et concises !
Vous devriez déplacer votre optimisme sur l'environnement M. Bournay, plutôt que sur un accord avec le PLC qui n'arrivera jamais tant que nous aurons cet énergumène qui nie en bloc tout changement climatique et en réfute les causes. Je sais que la période s'y prête mais arrêtez de croire au Père Noël !
A l'inverse de ce que vous proposez, nous souhaitons une rationalisation des comportements. Il s'agit de dire, au quotidien, plus de plastiques, plus d'objets non-recyclables, plus d'obsolescence programmée. Ce n'est quand même pas la lune ! Et ça ne veut pas forcément dire décroissance. Si vous supprimez la richesse, vous aurez bien plus de mal à la répartir et aujourd'hui, elle est déjà très inégalement répartie. La décroissance aurait un impact direct désastreux sur les plus en difficulté. Ce n'est pas la bonne solution.
La LGU propose une approche plus adéquate, en engageant la Frôce toute entière sur une voie du renouvelable. Il s'agit de dire, concrètement, plus d'énergies fossiles, plus de véhicules fonctionnant au pétrole. Des restrictions et des contrôles drastiques sur les émissions de CO2 avec un principe du pollueur-payeur réaffirmé et systématique, mais qui soit exponentiel.
Nous proposons le développement des méthodes alternatives, du covoiturage, des transports en commun. Nous militons pour l'isolation thermique. Nous avons besoin de ces chantiers pour avancer mais c'est surtout et avant tout au niveau international que tout se joue. Cette COP24 est donc cruciale, nous ne raterons pas le rendez-vous de l'histoire !
Je vous remercie pour ce débat qui je l'espère aura permis de dégager des positions claires et concises !
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense
- Jean Bournay
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Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
FCF - (5/5)
Je ne crois pas en une alliance avec le PLC sur ce point là, mais il faut au moins savoir dépasser sa petite volonté d'avoir toujours raison sur tout, pour pouvoir dialoguer.
Le problème n'est pas le manque de richesse mais sa répartition. C'est faux de dire qu'il n'y a pas de richesses. C'est juste qu'elle sont entre les mains de richissimes qui la gardent dans leur coffre. La décroissance apporte une approche rationnelle.
La décroissance vise à produire moins donc à moins polluer, Monsieur Maadarjeen. Je suis en plein dans le thème puisque la décroissance est ce qu'on doit pouvoir proposer à la COP24.
Le renouvelable, madame, est partie intégrante de la décroissance, vu qu'elle réduit la croissance puisqu'il n'y a plus besoin d'extraire des ressources, de les transporter, de les modifier, de les distribuer, etc.
Pour en revenir aux voitures, je suis anti-voiture parce que nous avons vu que l'humain était capable de s'en passer durant des millénaires et aujourd'hui on veut nous faire croire que sans elle, c'est l'apocalypse. Je suis toujours favorable à des transports collectifs ou de service public ou médical -ambulances notamment- mais contre la voiture individuelle qui n'a servie qu'à favoriser la pollution par son usage. Si les frôceux de demain n'en auront plus besoin parce qu'ils ne seront plus pressés par le temps du travail -puisque la décroissance passe par l'abaissement du temps de travail- qui est une raison de l'existence de la voiture. La liberté de mouvement sera conservée, seulement ça leur prendra plus de temps.
On aura enfin le temps de vivre.
Je vous remercie pour ce débat.
Je ne crois pas en une alliance avec le PLC sur ce point là, mais il faut au moins savoir dépasser sa petite volonté d'avoir toujours raison sur tout, pour pouvoir dialoguer.
Le problème n'est pas le manque de richesse mais sa répartition. C'est faux de dire qu'il n'y a pas de richesses. C'est juste qu'elle sont entre les mains de richissimes qui la gardent dans leur coffre. La décroissance apporte une approche rationnelle.
La décroissance vise à produire moins donc à moins polluer, Monsieur Maadarjeen. Je suis en plein dans le thème puisque la décroissance est ce qu'on doit pouvoir proposer à la COP24.
Le renouvelable, madame, est partie intégrante de la décroissance, vu qu'elle réduit la croissance puisqu'il n'y a plus besoin d'extraire des ressources, de les transporter, de les modifier, de les distribuer, etc.
Pour en revenir aux voitures, je suis anti-voiture parce que nous avons vu que l'humain était capable de s'en passer durant des millénaires et aujourd'hui on veut nous faire croire que sans elle, c'est l'apocalypse. Je suis toujours favorable à des transports collectifs ou de service public ou médical -ambulances notamment- mais contre la voiture individuelle qui n'a servie qu'à favoriser la pollution par son usage. Si les frôceux de demain n'en auront plus besoin parce qu'ils ne seront plus pressés par le temps du travail -puisque la décroissance passe par l'abaissement du temps de travail- qui est une raison de l'existence de la voiture. La liberté de mouvement sera conservée, seulement ça leur prendra plus de temps.
On aura enfin le temps de vivre.
Je vous remercie pour ce débat.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
- Magnus Madarjeen
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- Messages : 49
- Enregistré le : 13 sept. 2018, 20:09
- Sexe du personnage : ---
- Date de naissance du personnage :
Re: Débat 1 : LGU - FCF - PLC "Quelle posture doit adopter la Frôce à la COP 24 ?"
PLC - 5/5
Il n'y aura évidemment pas d'alliance entre le PLC et le FCF, la convergence des luttes n'ira pas jusque là. Mais il reste agréable de discuter avec des gens qui acceptent de le faire.
Dans ce débat, nous avons pu voir clairement les différentes positions de chacun. Je ne crois pas à l'origine humaine du changement climatique, car elle n'est pas prouvée scientifiquement.
Mes échanges avec madame Lacroix-Valmont m'ont prouvé qu'elle s'appuyait sur des références biaisées et erronées, et ce n'est pas la démarche que je souhaite suivre.
Toutefois, le changement climatique reste une réalité avec laquelle il faut apprendre à vivre. Avec le nombre de territoires en bord de mer que la Frôce possède, elle ne pourra pas faire l'économie d'investir dans la protection de ses habitants, et cela doit concerner chaque entreprise compétente en la matière.
D'autre part, même si les domaines ont été allègrement mélangés pendant ce débat, la lutte contre la pollution est également un combat que l'humanité doit mener, que ce soit celle des airs, des eaux ou des terres. Elle a des conséquences sur la santé publique et notre agriculture, et doit être traitée. Là-dessus, le marché sera un outil fort et efficace pour bannir les comportements néfastes.
Je ne suis pas d'accord avec l'abandon de la voiture, comme je l'ai dit plus tôt, car il consisterait à punir les plus modestes, alors que d'autres voies sont possibles.
Je refuse les dogmes, mais j'ai tout de même un principe : nous pouvons éviter la pollution et faire face au changement climatique sans renoncer à notre liberté.
Je vous remercie.
Il n'y aura évidemment pas d'alliance entre le PLC et le FCF, la convergence des luttes n'ira pas jusque là. Mais il reste agréable de discuter avec des gens qui acceptent de le faire.
Dans ce débat, nous avons pu voir clairement les différentes positions de chacun. Je ne crois pas à l'origine humaine du changement climatique, car elle n'est pas prouvée scientifiquement.
Mes échanges avec madame Lacroix-Valmont m'ont prouvé qu'elle s'appuyait sur des références biaisées et erronées, et ce n'est pas la démarche que je souhaite suivre.
Toutefois, le changement climatique reste une réalité avec laquelle il faut apprendre à vivre. Avec le nombre de territoires en bord de mer que la Frôce possède, elle ne pourra pas faire l'économie d'investir dans la protection de ses habitants, et cela doit concerner chaque entreprise compétente en la matière.
D'autre part, même si les domaines ont été allègrement mélangés pendant ce débat, la lutte contre la pollution est également un combat que l'humanité doit mener, que ce soit celle des airs, des eaux ou des terres. Elle a des conséquences sur la santé publique et notre agriculture, et doit être traitée. Là-dessus, le marché sera un outil fort et efficace pour bannir les comportements néfastes.
Je ne suis pas d'accord avec l'abandon de la voiture, comme je l'ai dit plus tôt, car il consisterait à punir les plus modestes, alors que d'autres voies sont possibles.
Je refuse les dogmes, mais j'ai tout de même un principe : nous pouvons éviter la pollution et faire face au changement climatique sans renoncer à notre liberté.
Je vous remercie.