Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
- Aurore Lacroix-Valmont
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MAMA (3/8) :
On cherchait Lisa Reyes, la voilà réincarnée en Nicolas Lubenac !
Qu'auriez-vous fait M. Lubenac ? Vous auriez laissé les antsirananais dans une situation qui nous a valu de milliers de mort à cause de la peste ? Vous auriez abandonné 1/4 de nos concitoyens ? Oui, à vous entendre, sans état d'âme.
Vous dites que l'instauration d'une police économique est une honte car elle fait fuir les investisseurs. Ca c'est nouveau, c'est lavé avec MPD-laine ! Et la police fédérale, elle fait fuir les touristes ? La police des polices, elle fait fuir les flics ? Non, les polices ne font fuir que les voyous et les gens malhonnêtes. Donc de deux choses l'une, soit la police économique fait fuir des gens véreux et dans ce cas là, bon débarras. Soit elle apporte un climat de confiance au sein de l'économie et récompense l'intégrité. Gagnant-gagnant.
D'ailleurs, vous vous contredites, parce que quand vous dites qu'il faut suivre les entreprises pour s'assurer qu'elles reviennent dans une démarche d'embauche, vous instaurer de fait un contrôle et donc une police. Il vous arrive de réfléchir avant de sortir des énormités, ou bien... ?
Le coup de balai fiscal doit se faire d'abord sur les salariés pour leur dégager du pouvoir d'achat. Nous sommes favorables à la baisse des charges salariales et de l'impôt sur les revenus pour les plus modestes. Nous compenserons par la hausse des impôts qui concerne les plus aisés : les grandes entreprises, les fortunes, les actionnaires, les banques...
On cherchait Lisa Reyes, la voilà réincarnée en Nicolas Lubenac !
Qu'auriez-vous fait M. Lubenac ? Vous auriez laissé les antsirananais dans une situation qui nous a valu de milliers de mort à cause de la peste ? Vous auriez abandonné 1/4 de nos concitoyens ? Oui, à vous entendre, sans état d'âme.
Vous dites que l'instauration d'une police économique est une honte car elle fait fuir les investisseurs. Ca c'est nouveau, c'est lavé avec MPD-laine ! Et la police fédérale, elle fait fuir les touristes ? La police des polices, elle fait fuir les flics ? Non, les polices ne font fuir que les voyous et les gens malhonnêtes. Donc de deux choses l'une, soit la police économique fait fuir des gens véreux et dans ce cas là, bon débarras. Soit elle apporte un climat de confiance au sein de l'économie et récompense l'intégrité. Gagnant-gagnant.
D'ailleurs, vous vous contredites, parce que quand vous dites qu'il faut suivre les entreprises pour s'assurer qu'elles reviennent dans une démarche d'embauche, vous instaurer de fait un contrôle et donc une police. Il vous arrive de réfléchir avant de sortir des énormités, ou bien... ?
Le coup de balai fiscal doit se faire d'abord sur les salariés pour leur dégager du pouvoir d'achat. Nous sommes favorables à la baisse des charges salariales et de l'impôt sur les revenus pour les plus modestes. Nous compenserons par la hausse des impôts qui concerne les plus aisés : les grandes entreprises, les fortunes, les actionnaires, les banques...
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense
- Anastasia Mendoza Ojeda
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
CUL (4/8)
Rappelons à tous que le MPD est censé être un parti agraire, qui vise donc à améliorer par l'action étatique les conditions de vie que tout le monde ici acceptera comme très rudes, dans les zones rurales. Chose qui implique donc que d'une certaine manière, les villes fassent montre de solidarité envers les ruraux, ce qui en plus d'être une belle démonstration de solidarité nationale, nous offre des produits de qualité.
Et vous avez donc le toupet de ressortir le couplet selon lequel Antsrianana prend les sous des villes frôceuses ?
Je pense que maintenant tous les frôceux savent pourquoi vous avez été lâché par Olivier Brimont et Charlotte de Kervern, monsieur Lubenac, non seulement vous vous alliez avec n'importe qui, mais en plus vous êtes le roi des hypocrites.
Que chacun sache aussi qu'un entrepreneur n'engage pas de salariés par plaisir, pas plus qu'il n'en licencie d'ailleurs, il en engage pour répondre à des nécessités. Si on appauvrit toute la société sauf les employeurs, on ne fait qu'un cadeau fiscal, il n'y a aucune croissance qui se crée.
Monsieur Lubenac prônera alors un suivi, mais que va t-il faire ? Forcer les entrepreneurs à créer des emplois fictifs ? S'il n'y a pas de demande, il n'y a pas de nécessité d'emploi, c'est clair, net et précis.
Il y a un coup de balai fiscal à faire, mais en bas de l'échelle, car comme dans la nature, ce sont les racines qui nourrissent l'arbre, n'en déplaise au ruisseleur devant l'éternel que vous êtes.
Rappelons à tous que le MPD est censé être un parti agraire, qui vise donc à améliorer par l'action étatique les conditions de vie que tout le monde ici acceptera comme très rudes, dans les zones rurales. Chose qui implique donc que d'une certaine manière, les villes fassent montre de solidarité envers les ruraux, ce qui en plus d'être une belle démonstration de solidarité nationale, nous offre des produits de qualité.
Et vous avez donc le toupet de ressortir le couplet selon lequel Antsrianana prend les sous des villes frôceuses ?
Je pense que maintenant tous les frôceux savent pourquoi vous avez été lâché par Olivier Brimont et Charlotte de Kervern, monsieur Lubenac, non seulement vous vous alliez avec n'importe qui, mais en plus vous êtes le roi des hypocrites.
Que chacun sache aussi qu'un entrepreneur n'engage pas de salariés par plaisir, pas plus qu'il n'en licencie d'ailleurs, il en engage pour répondre à des nécessités. Si on appauvrit toute la société sauf les employeurs, on ne fait qu'un cadeau fiscal, il n'y a aucune croissance qui se crée.
Monsieur Lubenac prônera alors un suivi, mais que va t-il faire ? Forcer les entrepreneurs à créer des emplois fictifs ? S'il n'y a pas de demande, il n'y a pas de nécessité d'emploi, c'est clair, net et précis.
Il y a un coup de balai fiscal à faire, mais en bas de l'échelle, car comme dans la nature, ce sont les racines qui nourrissent l'arbre, n'en déplaise au ruisseleur devant l'éternel que vous êtes.
- Vincent De Salvo
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
PLC (3/8)
Olivier Brimont, je sais que vous aimez beaucoup faire des "punchlines", ça ne me déplaît pas non plus. Mais ici c'est pas le concours de la petite blague, on ne peut pas dire tout et n'importe quoi pour amuser la galerie.
Je trouve scandaleux de me qualifier d'extrémiste, le Parti Libéral-Conservateur est un parti de droite que cela vous plaise ou non. Je suis le président du PLC et je ne suis pas moins fréquentable que vous pour autant.
Essayez de parler de votre vision de l'économie sans m'insulter ainsi que mes électeurs gratuitement.
Quant à Victor Karlsson, je trouve formidable qu'il vienne donner des leçons d'économie à tout le monde alors que, durant le mandat qui vient de s'écouler, son ministre de l'économie Julien Citron a été séquestré dans une usine et a retiré son projet phare au dernier moment. Sachant que lorsque Victor Karlsson était Vice-Chancelier, Julien Citron déjà ministre de l'économie avait fait le spectacle avec une vraie/fausse démission.
Voilà un magnifique résumé de l'équipe gouvernementale sortante, une arrogance qui n'a d'égale que l'incompétence.
Dans cette équipe, il faut ajouter monsieur Bournay et son FCF. Ces gens se déchaînent sur Victor Karlsson durant les campagnes électorales puis ils sont doux comme des agneaux à la distribution des places.
Voilà ce qu'est l'esprit même de la gauche, des combines partisanes pour la gamelle sur le dos des électeurs.
Je veux dire aux frôceux que je suis sincère dans mon engagement et que pas une seule de mes paroles n'est factice.
Olivier Brimont, je sais que vous aimez beaucoup faire des "punchlines", ça ne me déplaît pas non plus. Mais ici c'est pas le concours de la petite blague, on ne peut pas dire tout et n'importe quoi pour amuser la galerie.
Je trouve scandaleux de me qualifier d'extrémiste, le Parti Libéral-Conservateur est un parti de droite que cela vous plaise ou non. Je suis le président du PLC et je ne suis pas moins fréquentable que vous pour autant.
Essayez de parler de votre vision de l'économie sans m'insulter ainsi que mes électeurs gratuitement.
Quant à Victor Karlsson, je trouve formidable qu'il vienne donner des leçons d'économie à tout le monde alors que, durant le mandat qui vient de s'écouler, son ministre de l'économie Julien Citron a été séquestré dans une usine et a retiré son projet phare au dernier moment. Sachant que lorsque Victor Karlsson était Vice-Chancelier, Julien Citron déjà ministre de l'économie avait fait le spectacle avec une vraie/fausse démission.
Voilà un magnifique résumé de l'équipe gouvernementale sortante, une arrogance qui n'a d'égale que l'incompétence.
Dans cette équipe, il faut ajouter monsieur Bournay et son FCF. Ces gens se déchaînent sur Victor Karlsson durant les campagnes électorales puis ils sont doux comme des agneaux à la distribution des places.
Voilà ce qu'est l'esprit même de la gauche, des combines partisanes pour la gamelle sur le dos des électeurs.
Je veux dire aux frôceux que je suis sincère dans mon engagement et que pas une seule de mes paroles n'est factice.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
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- Jean Bournay
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
FCF - 7/8
Mettons les choses au clair, nos projets demandent beaucoup de charges sociales et d'impôts car ils offrent beaucoup de prestations sociales et relanceront l'économie drastiquement. De ce fait, messieurs rien ne sera comme actuellement. Nous prendrons beaucoup pour donner beaucoup. De ce fait en prenant et en donnant équitablement, nous espérons mettre en place une égalité au sein de notre société.
Là j'en vois qui s'affolent de patrons endettées, de nations appauvries, qui s'imaginent des gratte-ciels en lambeaux et des caisses plus vides que le crâne de vos abrutis, aliénés par votre société.
Non, il n'est rien de cela dans nos desseins. L'argent que nous prendrons sera en quasi-intégralité utilisé par les bénéficiaires, donc cet argent retournera dans les caisses d'où il fut sorti et ainsi de suite dans un cercle vertueux.
L'impôt tue l'impôt, oui, quand il n'est pas redistribué à tous. S'il est bien redistribué l'argent repart d'où il a été tiré par le besoin naturel des gens de survivre. Eh oui, messieurs ! le pauvre utilise ses revenus sociaux pour survivre et non pour l'entasser et en priver notre communauté comme le ferait impunément le richissime.
Ne vous en déplaise notre système est égalitaire et fonctionnel. Et si vous avez peur pour le patronat, eh bien nous l'abolirons en faveur de l'autogestion totale, messieurs, on a toujours des solutions quand on a l'esprit assez développé.
M.de Salvo, quant à vous, sachez que le FCF n'a jamais été censuré et que c'est parce qu'on pouvait s'exprimer librement qu'on a choisit, comme il nous fut proposé, d'être au Gouvernement Karlsson, point.
Mettons les choses au clair, nos projets demandent beaucoup de charges sociales et d'impôts car ils offrent beaucoup de prestations sociales et relanceront l'économie drastiquement. De ce fait, messieurs rien ne sera comme actuellement. Nous prendrons beaucoup pour donner beaucoup. De ce fait en prenant et en donnant équitablement, nous espérons mettre en place une égalité au sein de notre société.
Là j'en vois qui s'affolent de patrons endettées, de nations appauvries, qui s'imaginent des gratte-ciels en lambeaux et des caisses plus vides que le crâne de vos abrutis, aliénés par votre société.
Non, il n'est rien de cela dans nos desseins. L'argent que nous prendrons sera en quasi-intégralité utilisé par les bénéficiaires, donc cet argent retournera dans les caisses d'où il fut sorti et ainsi de suite dans un cercle vertueux.
L'impôt tue l'impôt, oui, quand il n'est pas redistribué à tous. S'il est bien redistribué l'argent repart d'où il a été tiré par le besoin naturel des gens de survivre. Eh oui, messieurs ! le pauvre utilise ses revenus sociaux pour survivre et non pour l'entasser et en priver notre communauté comme le ferait impunément le richissime.
Ne vous en déplaise notre système est égalitaire et fonctionnel. Et si vous avez peur pour le patronat, eh bien nous l'abolirons en faveur de l'autogestion totale, messieurs, on a toujours des solutions quand on a l'esprit assez développé.
M.de Salvo, quant à vous, sachez que le FCF n'a jamais été censuré et que c'est parce qu'on pouvait s'exprimer librement qu'on a choisit, comme il nous fut proposé, d'être au Gouvernement Karlsson, point.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
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- Aurore Lacroix-Valmont
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MAMA (4/8) :
Monsieur de Salvo, la gauche a toujours été plurielle. Il y a des points sur lesquels nous ne sommes pas d'accord, mais le projet commun, il est le même pour nous tous : il s'agit de lutter contre le désastre libéral que vous prônez.
Personne ici ne doute de la sincère des engagements de chacun, ce n'est d'ailleurs par le propos de ce débat. Chacun a pu exposer ses arguments : MPD/PLC/RPL sont en faveur du libéralisme, le PAS c'est un peu l'anguille. Le reste défend le solidarisme. Tout le monde l'a compris. Passons à autre chose.
J'aimerais évoquer un aspect de l'économie que personne ici n'a encore souhaité aborder et c'est bien dommage. Il s'agit de l'écologie. On n'en parle malheureusement pas souvent et pourtant c'est le défi numéro 1 des années à venir. Nous avons une transition économique à faire.
Amener à l'économie verte, au développement durable, c'est permettre tout à d'abord aux générations futures de vivre mieux et dans un monde meilleur. Le MAMA propose de valoriser les initiatives économiques en faveur de la préservation de l'environnement et de la biodiversité. Nous aiderons les entreprises à mieux produire, à réfléchir non plus en quantité et en chiffres mais en qualité.
L'action qu'a mené le MAMA en Tyrsènie, par le biais de la majorité de gauche menée par Simon Brexel est un bon début. Et je sais que sur ces sujets, nous pouvons nous retrouver parfois au delà du prisme politique habituel, cela a été le cas avec le PAS, dans cette province. Il faudra accompagner la transition en mettant en avant les énergies vertes, les véhicules électriques. Nous avons de vraies opportunités industrielles à saisir là-dessus ! Ne les laissons pas filer !
Monsieur de Salvo, la gauche a toujours été plurielle. Il y a des points sur lesquels nous ne sommes pas d'accord, mais le projet commun, il est le même pour nous tous : il s'agit de lutter contre le désastre libéral que vous prônez.
Personne ici ne doute de la sincère des engagements de chacun, ce n'est d'ailleurs par le propos de ce débat. Chacun a pu exposer ses arguments : MPD/PLC/RPL sont en faveur du libéralisme, le PAS c'est un peu l'anguille. Le reste défend le solidarisme. Tout le monde l'a compris. Passons à autre chose.
J'aimerais évoquer un aspect de l'économie que personne ici n'a encore souhaité aborder et c'est bien dommage. Il s'agit de l'écologie. On n'en parle malheureusement pas souvent et pourtant c'est le défi numéro 1 des années à venir. Nous avons une transition économique à faire.
Amener à l'économie verte, au développement durable, c'est permettre tout à d'abord aux générations futures de vivre mieux et dans un monde meilleur. Le MAMA propose de valoriser les initiatives économiques en faveur de la préservation de l'environnement et de la biodiversité. Nous aiderons les entreprises à mieux produire, à réfléchir non plus en quantité et en chiffres mais en qualité.
L'action qu'a mené le MAMA en Tyrsènie, par le biais de la majorité de gauche menée par Simon Brexel est un bon début. Et je sais que sur ces sujets, nous pouvons nous retrouver parfois au delà du prisme politique habituel, cela a été le cas avec le PAS, dans cette province. Il faudra accompagner la transition en mettant en avant les énergies vertes, les véhicules électriques. Nous avons de vraies opportunités industrielles à saisir là-dessus ! Ne les laissons pas filer !
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense
- Alex Baldouin
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
LR (4/8)
Je vous rejoint sur cette élément là madame Lacroix-Valmont. L'écologie est une part importante dans notre économie et il est grand temps que chacun d'entre nous se lance réellement dans cette entreprise là.
Nous considérons à La République que, plus que jamais, c'est à l'Etat d'agir en priorité ce qui donnera ainsi progressivement envie aux particuliers de suivre. Nous lancerons un grand plan de développement avec création de centre éoliens mais surtout l'investissement dans les énergies fossiles et l'énergie hydro-solaire.
Par la suite nous reviendrons sur les primes habitat et auto. Il est important que nos particuliers qui agissent en ce sens soient d'une manière ou d'une autre récompensé par leur action. Progressivement, cela deviendra un acte normal d'investir dans l'energie durable et le respect de l'environnement. Certains nous diront ça ne sert à rien ça n'a aucune importance économique. Je leur dirais l'inverse. D'une part, il y aura une certaine relance de l'économie par l'investissement dans des secteurs touchés par la crise, d'autre part c'est investir dans l'avenir et je veux que mon pays soit un pionnier en la matière d'ici dix ans en Europe et dans le monde. Investir dans l'écologie, c'est investir dans notre planète et nous y arriverons.
Bien sûr, tout ne repose pas uniquement sur cette partie et nombreuses sont nos propositions en la matière. Mais je crois que la transition énergétique sera un véritable pilier de l'économie frôceuse si les électeurs offrent cette opportunité à La République. Nous allons dynamiser notre économie tout en sauvegardant et protégeant notre environnement.
Je vous rejoint sur cette élément là madame Lacroix-Valmont. L'écologie est une part importante dans notre économie et il est grand temps que chacun d'entre nous se lance réellement dans cette entreprise là.
Nous considérons à La République que, plus que jamais, c'est à l'Etat d'agir en priorité ce qui donnera ainsi progressivement envie aux particuliers de suivre. Nous lancerons un grand plan de développement avec création de centre éoliens mais surtout l'investissement dans les énergies fossiles et l'énergie hydro-solaire.
Par la suite nous reviendrons sur les primes habitat et auto. Il est important que nos particuliers qui agissent en ce sens soient d'une manière ou d'une autre récompensé par leur action. Progressivement, cela deviendra un acte normal d'investir dans l'energie durable et le respect de l'environnement. Certains nous diront ça ne sert à rien ça n'a aucune importance économique. Je leur dirais l'inverse. D'une part, il y aura une certaine relance de l'économie par l'investissement dans des secteurs touchés par la crise, d'autre part c'est investir dans l'avenir et je veux que mon pays soit un pionnier en la matière d'ici dix ans en Europe et dans le monde. Investir dans l'écologie, c'est investir dans notre planète et nous y arriverons.
Bien sûr, tout ne repose pas uniquement sur cette partie et nombreuses sont nos propositions en la matière. Mais je crois que la transition énergétique sera un véritable pilier de l'économie frôceuse si les électeurs offrent cette opportunité à La République. Nous allons dynamiser notre économie tout en sauvegardant et protégeant notre environnement.
- Nathan Brimont
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
RPL (7/8) :
La transition écologique, c'est bien beau, mais c'est coûteux. On parle vraiment de long voire très long terme. Sans compter que les emplois que vous créez sur l'énergie verte, vous les détruisez sur le secteur de l'énergie fossile. Vous proposez simplement un système de vase communicant, qui ne va pas créer davantage d'emplois. Par contre, on sait qu'il va revenir cher. Vous allez subventionner, investir, donc devoir augmenter les recettes fiscales à un moment ou à un autre. Et en matière d'écologie tout n'est pas au point.
L'éolien n'est pas aussi efficace qu'une centrale nucléaire. Le solaire, la question du stockage de l'énergie n'est pas réglée. Pour optimiser cela il faudra investir. Or, si vous taxez les entreprises davantage comme vous le proposez, elles n'investiront pas et cela n'avancera pas. Par ailleurs, dans votre modèle, à un moment donné, il faudra bien payer la formation des gens qui vont subir votre transition écologique, pour que demain ils disposent toujours d'un travail.
Bref, la méthode que vous proposez là, je n'y crois pas. Cela dit, oui, il y a effectivement des opportunités sur l'écologie. Le RPL défend l'idée que la libre concurrence et la taxation minimale encourage rapidement ces changements pour permettre une adaptation réactive de notre société aux enjeux environnementaux. D'ailleurs, nous sommes persuadés que cette méthode propulsera la Frôce en première place sur le plan de l'innovation et de la recherche.
Le programme que nous proposons est destiné à faire du pays non pas un bon élève, mais le meilleur.
La transition écologique, c'est bien beau, mais c'est coûteux. On parle vraiment de long voire très long terme. Sans compter que les emplois que vous créez sur l'énergie verte, vous les détruisez sur le secteur de l'énergie fossile. Vous proposez simplement un système de vase communicant, qui ne va pas créer davantage d'emplois. Par contre, on sait qu'il va revenir cher. Vous allez subventionner, investir, donc devoir augmenter les recettes fiscales à un moment ou à un autre. Et en matière d'écologie tout n'est pas au point.
L'éolien n'est pas aussi efficace qu'une centrale nucléaire. Le solaire, la question du stockage de l'énergie n'est pas réglée. Pour optimiser cela il faudra investir. Or, si vous taxez les entreprises davantage comme vous le proposez, elles n'investiront pas et cela n'avancera pas. Par ailleurs, dans votre modèle, à un moment donné, il faudra bien payer la formation des gens qui vont subir votre transition écologique, pour que demain ils disposent toujours d'un travail.
Bref, la méthode que vous proposez là, je n'y crois pas. Cela dit, oui, il y a effectivement des opportunités sur l'écologie. Le RPL défend l'idée que la libre concurrence et la taxation minimale encourage rapidement ces changements pour permettre une adaptation réactive de notre société aux enjeux environnementaux. D'ailleurs, nous sommes persuadés que cette méthode propulsera la Frôce en première place sur le plan de l'innovation et de la recherche.
Le programme que nous proposons est destiné à faire du pays non pas un bon élève, mais le meilleur.
- Jean Bournay
- Député fédéral
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
FCF - 8/8
Vous avez raison les énergies vertes sont l'avenir et sont coûteuses, de ce fait si on laisse les entreprises privées décider de la voie à suivre, nous resterons au nucléaire pendant longtemps encore. Vraiment ? Non, pas du tout.
Primo, les énergies renouvelables ne sont pas coûteuses par rapport au coût exorbitant de l'entretien des centrales nucléaires, ne vous en déplaise. Secundo il se trouvera plus d'emplois dans les énergies vertes que dans les énergies nucléaires et grâce à nos économies sur l'entretien du nucléaire, nous pourrons financer la transition des employés en leur payant la formation.
Contrairement à ce que vous croyez le progrès vient de l'État qui investie déjà beaucoup et avec notre système nous aurons plus de fond à investir. La recherche provient souvent du public pour le privé en planifiant l'économie nous assurerons et un développement technologique puissant mais également un usage de ces technologies et le respect de la transition écologique.
En laissant la recherche et l'écologisme aux mains qui ne cherchent pas le profit avant tout, nous ne serons pas un bon élève mais le meilleur. Là où les entreprises se battent pour une innovation ou attend pour sortir une innovation, rappelez-vous les appareils photos numériques, dans un but commercial stratégique, l'État mènera les innovations avec célérité pour accéder à un avenir meilleur que celui que vous nous proposez.
Il faut que ce qui est commun, comme notre avenir, universel et public reste à la disposition de tous, ainsi doit être cette "chose publique", nous devons atteindre la république en ce domaine, le profit n'a rien à faire face à l'avenir commun.
Je vous remercie.
Vous avez raison les énergies vertes sont l'avenir et sont coûteuses, de ce fait si on laisse les entreprises privées décider de la voie à suivre, nous resterons au nucléaire pendant longtemps encore. Vraiment ? Non, pas du tout.
Primo, les énergies renouvelables ne sont pas coûteuses par rapport au coût exorbitant de l'entretien des centrales nucléaires, ne vous en déplaise. Secundo il se trouvera plus d'emplois dans les énergies vertes que dans les énergies nucléaires et grâce à nos économies sur l'entretien du nucléaire, nous pourrons financer la transition des employés en leur payant la formation.
Contrairement à ce que vous croyez le progrès vient de l'État qui investie déjà beaucoup et avec notre système nous aurons plus de fond à investir. La recherche provient souvent du public pour le privé en planifiant l'économie nous assurerons et un développement technologique puissant mais également un usage de ces technologies et le respect de la transition écologique.
En laissant la recherche et l'écologisme aux mains qui ne cherchent pas le profit avant tout, nous ne serons pas un bon élève mais le meilleur. Là où les entreprises se battent pour une innovation ou attend pour sortir une innovation, rappelez-vous les appareils photos numériques, dans un but commercial stratégique, l'État mènera les innovations avec célérité pour accéder à un avenir meilleur que celui que vous nous proposez.
Il faut que ce qui est commun, comme notre avenir, universel et public reste à la disposition de tous, ainsi doit être cette "chose publique", nous devons atteindre la république en ce domaine, le profit n'a rien à faire face à l'avenir commun.
Je vous remercie.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
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- Victor Karlsson-Marshall
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
UPP (6/8)
Monsieur Brimont, vous vous contredisez complètement. Vous ouvrez le débat en bon minarchiste en vous déclarant favorable à un État minimal, à une gestion par le privé, à l'exception des domaines régaliens que sont l'intérieur, la défense et la justice puis vous rétro-pédalez en justifiant l'interventionnisme étatique dans les infrastructures, le logement et le développement pour "raison humanitaire". C'est plus ou moins habile mais pas très cohérent.
Sachez néanmoins que je ne fais que soulever vos contradictions. Je suis particulièrement heureux de vous entendre admettre que l'État est plus efficace que votre sacro-saint "privé". Il y a du progrès pour quelqu'un qui affirmait en début de soirée que l'Etat était la cause de tous nos maux.
La transition écologique n'est pas qu'une lubie de bobo écolo. C'est peut-être coûteux mais absolument nécessaire. Je tiens à rappeler qu'il est question d'enjeux environnementaux majeurs et de l'avenir des jeunes générations. N'est-ce pas une "raison humanitaire" suffisante ?
En terme de fiscalité, à l'image de la Suède ou du Danemark, nous mettrons en place une taxation visant à décourager les méthodes de production polluantes et inciter les entreprises à développer des méthodes moins énergivores. Taxation qui financera la mise en place d'aides à la transition pour les petites entreprises, lesquelles n'ont pas forcément les moyens d'investir dans des moyens de production plus écologiques.
Plutôt que d'attendre que le privé se réveille pour décider de ce qu'il lui rapportera le plus entre productivisme et écologisme, nous nous impliquerons dans la mise en oeuvre concrète du développement durable.
L'État a la responsabilité d'accompagner cette transition et a un rôle majeur à y jouer.
Monsieur Brimont, vous vous contredisez complètement. Vous ouvrez le débat en bon minarchiste en vous déclarant favorable à un État minimal, à une gestion par le privé, à l'exception des domaines régaliens que sont l'intérieur, la défense et la justice puis vous rétro-pédalez en justifiant l'interventionnisme étatique dans les infrastructures, le logement et le développement pour "raison humanitaire". C'est plus ou moins habile mais pas très cohérent.
Sachez néanmoins que je ne fais que soulever vos contradictions. Je suis particulièrement heureux de vous entendre admettre que l'État est plus efficace que votre sacro-saint "privé". Il y a du progrès pour quelqu'un qui affirmait en début de soirée que l'Etat était la cause de tous nos maux.
La transition écologique n'est pas qu'une lubie de bobo écolo. C'est peut-être coûteux mais absolument nécessaire. Je tiens à rappeler qu'il est question d'enjeux environnementaux majeurs et de l'avenir des jeunes générations. N'est-ce pas une "raison humanitaire" suffisante ?
En terme de fiscalité, à l'image de la Suède ou du Danemark, nous mettrons en place une taxation visant à décourager les méthodes de production polluantes et inciter les entreprises à développer des méthodes moins énergivores. Taxation qui financera la mise en place d'aides à la transition pour les petites entreprises, lesquelles n'ont pas forcément les moyens d'investir dans des moyens de production plus écologiques.
Plutôt que d'attendre que le privé se réveille pour décider de ce qu'il lui rapportera le plus entre productivisme et écologisme, nous nous impliquerons dans la mise en oeuvre concrète du développement durable.
L'État a la responsabilité d'accompagner cette transition et a un rôle majeur à y jouer.
Père, Époux, Chancelier Suprême, Citoyen.
Co-président-fondateur de The European LGBT Foundation
4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94)
2ème Gouverneur de Catalogne (90-92)
3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92)
2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90)
Ancien Maire de Pastelac
Prince dans une dimension parallèle
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- Anastasia Mendoza Ojeda
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- Enregistré le : 15 juin 2017, 21:18
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
CUL (5/8)
Ce que vous nous demandez monsieur Brimont, c'est d'ériger le libéralisme en véritable religion laïque. Toutes les solutions que vous apportez à chacun problème c'est "laissons faire les marchés, ils feront bien".
Cela fait presque un siècle que l'on sait que les marchés peuvent dysfonctionner, et l'on sait également que l'intervention étatique est susceptible d'apporter une véritable aide à l'économie, encore une fois c'est Roosevelt qui est rentré dans l'Histoire, pas Hoover.
Quand on accorde une confiance démesurée à une entité sans qu'il n'y ait de preuve tangible du bien-fondé de cette confiance, on ne produit pas un raisonnement, on accomplit un acte de foi.
L'intérêt d'une entreprise capitaliste, nous ne l'apprendrons à personne, c'est le bénéfice en premier lieu, dans un tel cadre l'investissement sur les énergies renouvelables, qui mettront énormément de temps à atteindre le niveau de compétitivité du nucléaire est clairement une posture peu intuitive. Il est nécessaire qu'une autorité supérieure pousse dans ce sens pour inciter à l'investissement, et cette autorité supérieure, c'est l’État.
Pour cela, l'Etat utilise ses deux leviers traditionnels, la carotte et le bâton, le bâton, c'est la taxation écologique qui pénalise les entreprises polluantes, la carotte, les subventions au développement d'énergies renouvelables et la commande publique qui prisera des productions écoresponsables. En quelque sorte, le bâton alimente la carotte, les pollueurs paient pour les vertueux, à aucun moment l'esprit d'initiative des vertueux n'est pénalisé, ainsi les conséquences sur l'investissement durables seront toujours globalement positives.
Ce que vous nous demandez monsieur Brimont, c'est d'ériger le libéralisme en véritable religion laïque. Toutes les solutions que vous apportez à chacun problème c'est "laissons faire les marchés, ils feront bien".
Cela fait presque un siècle que l'on sait que les marchés peuvent dysfonctionner, et l'on sait également que l'intervention étatique est susceptible d'apporter une véritable aide à l'économie, encore une fois c'est Roosevelt qui est rentré dans l'Histoire, pas Hoover.
Quand on accorde une confiance démesurée à une entité sans qu'il n'y ait de preuve tangible du bien-fondé de cette confiance, on ne produit pas un raisonnement, on accomplit un acte de foi.
L'intérêt d'une entreprise capitaliste, nous ne l'apprendrons à personne, c'est le bénéfice en premier lieu, dans un tel cadre l'investissement sur les énergies renouvelables, qui mettront énormément de temps à atteindre le niveau de compétitivité du nucléaire est clairement une posture peu intuitive. Il est nécessaire qu'une autorité supérieure pousse dans ce sens pour inciter à l'investissement, et cette autorité supérieure, c'est l’État.
Pour cela, l'Etat utilise ses deux leviers traditionnels, la carotte et le bâton, le bâton, c'est la taxation écologique qui pénalise les entreprises polluantes, la carotte, les subventions au développement d'énergies renouvelables et la commande publique qui prisera des productions écoresponsables. En quelque sorte, le bâton alimente la carotte, les pollueurs paient pour les vertueux, à aucun moment l'esprit d'initiative des vertueux n'est pénalisé, ainsi les conséquences sur l'investissement durables seront toujours globalement positives.