Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
- Nicolas Washington
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
PAS (4/8) :
Ce qui est drôle, ce que tout le monde se permet de parler de l’économie sans pour autant vraiment la connaître. Vous voulez tous faire croire à nos citoyens que notre pays a encore un statut d’État providence. Alors que depuis de nombreuses années, l’organisation et le bon fonctionnement de notre économie sont assurés par des institutions privées.
La volonté du Chancelier Suprême, M. Karlsson, de nationaliser une entreprise privée pour la revendre et générer des plus-values financières est une bonne façon de montrer son attachement à l’économie privée. Le même gouvernement socialiste qui a osé entreprendre une réforme des transports ferroviaires et aériens pour favoriser la privatisation de ces activités. Quel toupet de vouloir se revendiquer comme socialiste et faire de la politique de droite.
Votre supposé attachement à vouloir aider les démunis est une hypocrisie sans nom. Vous voulez faire de notre pays, un territoire d'expérimentation. Les frôceux ne sont pas du bétail. Les frôceux ont réellement besoin d’une politique sociale ambitieuse qui prône un bon fonctionnement de nos services publics, de meilleures façons d’aider les plus pauvres et surtout d’assainir notre économie pour lui permettre d'être plus compétitive pour l’ensemble de nos concitoyens et non pas seulement une partie d’entre eux.
On veut permettre à toutes les forces vives de prendre part à la construction d’une économie durable, viable et fiable. Les frôceux n’ont plus besoin de ses personnes qui viennent sans cesse leur promettre monts et merveilles, ils ont besoin de personnes qui s’appuient sur ce qui fonctionne dans notre société.
Ce qui est drôle, ce que tout le monde se permet de parler de l’économie sans pour autant vraiment la connaître. Vous voulez tous faire croire à nos citoyens que notre pays a encore un statut d’État providence. Alors que depuis de nombreuses années, l’organisation et le bon fonctionnement de notre économie sont assurés par des institutions privées.
La volonté du Chancelier Suprême, M. Karlsson, de nationaliser une entreprise privée pour la revendre et générer des plus-values financières est une bonne façon de montrer son attachement à l’économie privée. Le même gouvernement socialiste qui a osé entreprendre une réforme des transports ferroviaires et aériens pour favoriser la privatisation de ces activités. Quel toupet de vouloir se revendiquer comme socialiste et faire de la politique de droite.
Votre supposé attachement à vouloir aider les démunis est une hypocrisie sans nom. Vous voulez faire de notre pays, un territoire d'expérimentation. Les frôceux ne sont pas du bétail. Les frôceux ont réellement besoin d’une politique sociale ambitieuse qui prône un bon fonctionnement de nos services publics, de meilleures façons d’aider les plus pauvres et surtout d’assainir notre économie pour lui permettre d'être plus compétitive pour l’ensemble de nos concitoyens et non pas seulement une partie d’entre eux.
On veut permettre à toutes les forces vives de prendre part à la construction d’une économie durable, viable et fiable. Les frôceux n’ont plus besoin de ses personnes qui viennent sans cesse leur promettre monts et merveilles, ils ont besoin de personnes qui s’appuient sur ce qui fonctionne dans notre société.
- Anastasia Mendoza Ojeda
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
CUL (2/8)
L’État providence est une notion qui renvoie à des États s'étant dotés de fortes compétences sociales au bénéfice de leurs citoyens, les pays les plus cités comme exemples d’État providence sont principalement les pays nordiques, bien que la formule puisse s'appliquer également à des pays d'Europe de l'Ouest comme la France ou la Belgique, donc des états disposant d'un secteur privé conséquent, inscrit dans une logique d'économie de marché.
Certaines provinces frôceuses ont donc bel et bien un système social se rapprochant d'un État providence, merci de ne pas tenter de donner la leçon en utilisant des termes que vous ne maitrisez pas, quand on confond collectivisme et interventionnisme, on évite de parler d'économie en général.
Aider les démunis, ce n'est pas tenir un laboratoire, c'est dynamiser l'économie, les moins riches ont tendance à dépenser bien plus à proportion de leurs revenus que les plus riches, cela s'explique par le fait que les moins riches ont plus de dépenses incompressibles à proportion de leur revenu, donc moins de potentiel intérêt à mettre de côté.
Pour accélérer l'économie, il est important de savoir arbitrer en faveur des plus démunis, c'est ce que nous prônons avec l'ajout d'une couche négative à l'impôt sur le revenu.
N'oublions jamais que celui qui est rentré dans l'Histoire comme le président qui a sauvé l'Amérique de la crise de 1929 ce n'est pas Hoover le champion des marchés, mais Roosevelt, d'inspiration keynésienne. Croire que le privé a des vertus magiques, c'est un discours extrêmement naïf.
L’État providence est une notion qui renvoie à des États s'étant dotés de fortes compétences sociales au bénéfice de leurs citoyens, les pays les plus cités comme exemples d’État providence sont principalement les pays nordiques, bien que la formule puisse s'appliquer également à des pays d'Europe de l'Ouest comme la France ou la Belgique, donc des états disposant d'un secteur privé conséquent, inscrit dans une logique d'économie de marché.
Certaines provinces frôceuses ont donc bel et bien un système social se rapprochant d'un État providence, merci de ne pas tenter de donner la leçon en utilisant des termes que vous ne maitrisez pas, quand on confond collectivisme et interventionnisme, on évite de parler d'économie en général.
Aider les démunis, ce n'est pas tenir un laboratoire, c'est dynamiser l'économie, les moins riches ont tendance à dépenser bien plus à proportion de leurs revenus que les plus riches, cela s'explique par le fait que les moins riches ont plus de dépenses incompressibles à proportion de leur revenu, donc moins de potentiel intérêt à mettre de côté.
Pour accélérer l'économie, il est important de savoir arbitrer en faveur des plus démunis, c'est ce que nous prônons avec l'ajout d'une couche négative à l'impôt sur le revenu.
N'oublions jamais que celui qui est rentré dans l'Histoire comme le président qui a sauvé l'Amérique de la crise de 1929 ce n'est pas Hoover le champion des marchés, mais Roosevelt, d'inspiration keynésienne. Croire que le privé a des vertus magiques, c'est un discours extrêmement naïf.
- Vincent De Salvo
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
PLC (1/8)
Bonsoir à tous et merci aux organisateurs de ce débat.
Lorsque l'on croit sincèrement en des valeurs, elles se rejoignent sur tous les sujets.
Je ne peux que mettre le travail et le mérite au centre de ce débat sur l'économie et la fiscalité.
L'économie d'un pays est totalement tributaire de la production de chaque individu. Il faut donc encourager la volonté d'entreprendre, de travailler, de prendre des risques et d'investir.
Le tout avec un état passif qui laisse cette économie de marché s'auto-réguler.
Il est inconcevable de mener à bien ce projet en ayant une fiscalité confiscatoire.
Il faut se rendre compte que pour certaines personnes, il est plus avantageux de percevoir moins de revenus en raison de la lourdeur de la fiscalité. Cela n'est pas acceptable.
Chaque citoyen doit profiter du fruit de son labeur de manière décente. Toujours le travail et le mérite.
On ne peut pas traiter un couple de cadres qui ont travaillé toute leur vie pour avoir un bel appartement à Aspen et une résidence secondaire à Monticello comme des milliardaires.
J'ai l'impression que la majorité sortante veut moins de riches alors qu'au Parti Libéral-Conservateur nous voulons moins de pauvres. Nous voulons également favoriser le travail au détriment de l'assistanat. Dans la vie il faut travailler et être imaginatif pour réussir, il ne faut pas attendre que tout nous tombe tout cuit dans le bec. C'est comme cela que l'on fait évoluer son esprit.
Je note que, sans avoir prononcé le moindre mot dans ce débat, j'ai été qualifié par le Chancelier Suprême de "surexcité du PLC". Encore un bel étalage de tout son respect pour l'opposition.
Bonsoir à tous et merci aux organisateurs de ce débat.
Lorsque l'on croit sincèrement en des valeurs, elles se rejoignent sur tous les sujets.
Je ne peux que mettre le travail et le mérite au centre de ce débat sur l'économie et la fiscalité.
L'économie d'un pays est totalement tributaire de la production de chaque individu. Il faut donc encourager la volonté d'entreprendre, de travailler, de prendre des risques et d'investir.
Le tout avec un état passif qui laisse cette économie de marché s'auto-réguler.
Il est inconcevable de mener à bien ce projet en ayant une fiscalité confiscatoire.
Il faut se rendre compte que pour certaines personnes, il est plus avantageux de percevoir moins de revenus en raison de la lourdeur de la fiscalité. Cela n'est pas acceptable.
Chaque citoyen doit profiter du fruit de son labeur de manière décente. Toujours le travail et le mérite.
On ne peut pas traiter un couple de cadres qui ont travaillé toute leur vie pour avoir un bel appartement à Aspen et une résidence secondaire à Monticello comme des milliardaires.
J'ai l'impression que la majorité sortante veut moins de riches alors qu'au Parti Libéral-Conservateur nous voulons moins de pauvres. Nous voulons également favoriser le travail au détriment de l'assistanat. Dans la vie il faut travailler et être imaginatif pour réussir, il ne faut pas attendre que tout nous tombe tout cuit dans le bec. C'est comme cela que l'on fait évoluer son esprit.
Je note que, sans avoir prononcé le moindre mot dans ce débat, j'ai été qualifié par le Chancelier Suprême de "surexcité du PLC". Encore un bel étalage de tout son respect pour l'opposition.
VINCENT DE SALVO
Président du Parti Libéral-Conservateur
Gouverneur de Transalpie
Député fédéral
Maire d'Aspen
- Jean Bournay
- Député fédéral
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
FCF - 2/8
Monsieur Washington, nous ne promettons pas monts et merveilles sans proposition, comme vous le faîtes, nous disons des taxes sur les surplus de revenus et sur les fonds stagnants sur la fortune pour distribuer à chacun un fond pour répondre à ses dépenses incompressibles.
Monsieur De Salvo, il n'y aura pas moins de pauvres s'il n'y a pas moins de riches, sauf si on chasse les pauvres ou bien que tous les riches s'enfuient et là, il ne nous restera plus que la révolution prolétarienne, bien entendu.
De ce fait on ne peut pas laisser des gens s'enrichir quand on a encore des pauvres qui n'arrivent pas à survivre de leur labeur. Car oui on peut travailler sans que son travail soit reconnu et rémunéré. Si vous voulez payez au mérite, alors offrez un énorme salaire à chaque ouvrier dans chaque usine, chaque paysan dans chaque champ. Surtout offrez un gigantesque revenu à chaque humain qui aura donné une soupe chaude un soir d'hiver à celui qui est dans la rue sans rien demander, offrez un salaire à nos Justes plein d'humilité qui font sans recevoir, sans réclamer pour ne pas déranger les gens.
Non bien sûr que non, vous ne le ferez pas, seul le "mérite économique" et le labeur que reconnait le capital, vous importe.
Pourtant ces Justes n'ont que faire de l'assistanat, ils triment, ils travaillent mais les entreprises ne le reconnaissent pas donc ils déméritent pour vous et pour l'économie capitaliste.
Il est inconcevable de se fier à vos valeurs.
Ah ! Et bonsoir également.
Monsieur Washington, nous ne promettons pas monts et merveilles sans proposition, comme vous le faîtes, nous disons des taxes sur les surplus de revenus et sur les fonds stagnants sur la fortune pour distribuer à chacun un fond pour répondre à ses dépenses incompressibles.
Monsieur De Salvo, il n'y aura pas moins de pauvres s'il n'y a pas moins de riches, sauf si on chasse les pauvres ou bien que tous les riches s'enfuient et là, il ne nous restera plus que la révolution prolétarienne, bien entendu.
De ce fait on ne peut pas laisser des gens s'enrichir quand on a encore des pauvres qui n'arrivent pas à survivre de leur labeur. Car oui on peut travailler sans que son travail soit reconnu et rémunéré. Si vous voulez payez au mérite, alors offrez un énorme salaire à chaque ouvrier dans chaque usine, chaque paysan dans chaque champ. Surtout offrez un gigantesque revenu à chaque humain qui aura donné une soupe chaude un soir d'hiver à celui qui est dans la rue sans rien demander, offrez un salaire à nos Justes plein d'humilité qui font sans recevoir, sans réclamer pour ne pas déranger les gens.
Non bien sûr que non, vous ne le ferez pas, seul le "mérite économique" et le labeur que reconnait le capital, vous importe.
Pourtant ces Justes n'ont que faire de l'assistanat, ils triment, ils travaillent mais les entreprises ne le reconnaissent pas donc ils déméritent pour vous et pour l'économie capitaliste.
Il est inconcevable de se fier à vos valeurs.
Ah ! Et bonsoir également.
OMNIUM TERRARUM PROLETARII CONIUNGITE
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
Merci Victor !
Orateur National du Front Communiste ☭
Ex-Ministre de la Santé et de la Protection Sociale
Député Fédéral
Député Provincial de Septimanie
Maire de la Commune Républicaine Socialiste de Farellia
- Nicolas Lubenac
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MPD (1/8)
Bonsoir,
AH l'assistanat ! parlons-en si vous voulez bien.
Notre modèle social n'est aujourd'hui pas assez incitatif lorsqu'il faut faire le choix entre se reposer sur ses lauriers et profiter des aides ou se remettre à rechercher activement du travail.
La Frôce ne peut se permettre d'entretenir à coup de subventions des personnes au chômage qui ne produisent rien et vivent au crochet de la société. Il n'est selon moi pas question de couper le robinet mais plutôt d'inciter à retourner au travail en assurant à coup sûr qu'un salaire soit plus élevé que les allocations chômage et les autres toutes combinées.
Je propose pour cela d'étalonner une dégressivité des aides au bout de 6 mois avec chaque mois une baisse de 5% des allocations chômage. Pourquoi 5% ? Eh bien parce que contrairement aux pourfendeurs habituels de l'assistanat, je n'occulte pas la dimension sociale du problème car si nous diminuions de 10% voire plus à chaque fois, les conséquences seraient désastreuses. Avec ce taux nous laisserions donc du sursis et plus de temps pour trouver un emploi afin de sortir du chômage.
Enfin, nous associerions à tout cela un plancher de 50% du revenu minimum pendant 12 mois, au-delà duquel l'aide sera purement et simplement retirée.
Tout cela permettra bien évidemment d'inciter le retour au travail mais aussi de faire des économies substantielles sur la sécurité sociale que nous pourrions réinvestir dans la recherche de traitements pour les maladies dégénératives et les médicaments.
Tout comme le PLC nous voulons moins de pauvres, et la solution pour cela c'est de remettre tout le monde au travail, la Frôce ne s'en portera que mieux.
Bonsoir,
AH l'assistanat ! parlons-en si vous voulez bien.
Notre modèle social n'est aujourd'hui pas assez incitatif lorsqu'il faut faire le choix entre se reposer sur ses lauriers et profiter des aides ou se remettre à rechercher activement du travail.
La Frôce ne peut se permettre d'entretenir à coup de subventions des personnes au chômage qui ne produisent rien et vivent au crochet de la société. Il n'est selon moi pas question de couper le robinet mais plutôt d'inciter à retourner au travail en assurant à coup sûr qu'un salaire soit plus élevé que les allocations chômage et les autres toutes combinées.
Je propose pour cela d'étalonner une dégressivité des aides au bout de 6 mois avec chaque mois une baisse de 5% des allocations chômage. Pourquoi 5% ? Eh bien parce que contrairement aux pourfendeurs habituels de l'assistanat, je n'occulte pas la dimension sociale du problème car si nous diminuions de 10% voire plus à chaque fois, les conséquences seraient désastreuses. Avec ce taux nous laisserions donc du sursis et plus de temps pour trouver un emploi afin de sortir du chômage.
Enfin, nous associerions à tout cela un plancher de 50% du revenu minimum pendant 12 mois, au-delà duquel l'aide sera purement et simplement retirée.
Tout cela permettra bien évidemment d'inciter le retour au travail mais aussi de faire des économies substantielles sur la sécurité sociale que nous pourrions réinvestir dans la recherche de traitements pour les maladies dégénératives et les médicaments.
Tout comme le PLC nous voulons moins de pauvres, et la solution pour cela c'est de remettre tout le monde au travail, la Frôce ne s'en portera que mieux.
- Aurore Lacroix-Valmont
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MAMA (1/8) :
Oh oui, bien sûr ! C'est vrai que faire la manche pour se payer à bouffer, c'est se reposer sur ses lauriers.
C'est vrai le SMC permet de s'acheter une ferrari afin de faire le kéké dans le rue ! Youhou !!! C'est tellement cool d'être pauvre !
Bémol : en Frôce, tout le monde ne s'appelle pas Lubenac pour profiter de la petite fortune personnelle de papa ou de sa notoriété, si tant est qu'il lui en reste, mais là n'est pas le débat.
En Frôce, il y a des gens qui crèvent pendant que d'autres s'enrichissent. Elle est là, la réalité.
Avez-vous prévu d'appliquer une dégressivité sur les hauts revenus, indexée sur le temps de présence et la productivité ? Ca pourrait être extrêmement intéressant à appliquer, ça, par contre. C'est drôle, dans la majorité des grands groupes, il suffirait de diviser la rémunération de dirigeants et des hauts cadres par 4, pour augmenter chaque salarié de 100 à 300 plz. Epatant, n'est-ce pas ?
Si tout comme le PLC, vous voulez moins de pauvres, commencez par faire en sorte que les entreprises embauchent plutôt que de filer leur bénéfices aux actionnaires. Commencez par interdire les licenciements intempestifs à droite à gauche.
Commencez par donner des droits aux moins qualifiés pour les réinsérer dans le travail.
Investissez dans une véritable autorité de contrôle qui n'ira pas importuner que les allocataires mais ira aussi dans les boites, pour les recadrer et les punir quand elles pratiquent de la discrimination à l'embauche, en fonction du sexe, du secteur géographique ou du faciès.
Commencez par tout ça !
Oh oui, bien sûr ! C'est vrai que faire la manche pour se payer à bouffer, c'est se reposer sur ses lauriers.
C'est vrai le SMC permet de s'acheter une ferrari afin de faire le kéké dans le rue ! Youhou !!! C'est tellement cool d'être pauvre !
Bémol : en Frôce, tout le monde ne s'appelle pas Lubenac pour profiter de la petite fortune personnelle de papa ou de sa notoriété, si tant est qu'il lui en reste, mais là n'est pas le débat.
En Frôce, il y a des gens qui crèvent pendant que d'autres s'enrichissent. Elle est là, la réalité.
Avez-vous prévu d'appliquer une dégressivité sur les hauts revenus, indexée sur le temps de présence et la productivité ? Ca pourrait être extrêmement intéressant à appliquer, ça, par contre. C'est drôle, dans la majorité des grands groupes, il suffirait de diviser la rémunération de dirigeants et des hauts cadres par 4, pour augmenter chaque salarié de 100 à 300 plz. Epatant, n'est-ce pas ?
Si tout comme le PLC, vous voulez moins de pauvres, commencez par faire en sorte que les entreprises embauchent plutôt que de filer leur bénéfices aux actionnaires. Commencez par interdire les licenciements intempestifs à droite à gauche.
Commencez par donner des droits aux moins qualifiés pour les réinsérer dans le travail.
Investissez dans une véritable autorité de contrôle qui n'ira pas importuner que les allocataires mais ira aussi dans les boites, pour les recadrer et les punir quand elles pratiquent de la discrimination à l'embauche, en fonction du sexe, du secteur géographique ou du faciès.
Commencez par tout ça !
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense
- Nicolas Washington
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
PAS (5/8) :
La gestion de l’économie nationale est toujours compliquée. Le plus complexe dans tout ça, c’est la vision que chacun partage et défend pour une économie plus diversifiée, plus juste et équitable. À côté de ça, l’économie veut s’autoréguler et exprime sa volonté de se libéraliser de certaines contraintes étatiques. Oui, nous avons érigé des contraintes à notre économie. Certaines de ses contraintes se sont avérées vitales et d’autre non.
Nos prédécesseurs ont établi à leur époque, un système social qui existe encore aujourd’hui. Le seul hic, c’est que ce système social s'essouffle. Un système social qui n’arrive plus à protéger les plus vulnérables et de façon involontaire crée de plus en plus de pauvres. Ce système, il serait temps de le réformer. Il ne fonctionne plus, il est impératif de le remettre au goût du jour.
Les socialistes et les communistes nous disent qu’il est impératif d’aider les pauvres. Le problème, c’est qu’il n’y a pas que les pauvres qui ont besoin d’aide. Toute la population frôceuse a besoin d’aide ! On est en train de se disputer sur le maintien ou non de l'assistanat. Il faudrait peut-être tout simplement dire aux frôceux que ça sera amené à disparaître.
Au Parti Agraire Social, nous sommes avec l’aide de nos militants et de la population frôceuse en train de réfléchir à de nouvelles façons de venir en aide à tout un chacun. Notre société a besoin de personnes qui s’appuient sur ce qui marche dans notre pays pour développer la réussite de l'ensemble de la population.
Le slogan « On veut moins de pauvres, moins de riches », ne se pose pas là. N’oubliez pas que les riches se sont fait aider en amont.
La gestion de l’économie nationale est toujours compliquée. Le plus complexe dans tout ça, c’est la vision que chacun partage et défend pour une économie plus diversifiée, plus juste et équitable. À côté de ça, l’économie veut s’autoréguler et exprime sa volonté de se libéraliser de certaines contraintes étatiques. Oui, nous avons érigé des contraintes à notre économie. Certaines de ses contraintes se sont avérées vitales et d’autre non.
Nos prédécesseurs ont établi à leur époque, un système social qui existe encore aujourd’hui. Le seul hic, c’est que ce système social s'essouffle. Un système social qui n’arrive plus à protéger les plus vulnérables et de façon involontaire crée de plus en plus de pauvres. Ce système, il serait temps de le réformer. Il ne fonctionne plus, il est impératif de le remettre au goût du jour.
Les socialistes et les communistes nous disent qu’il est impératif d’aider les pauvres. Le problème, c’est qu’il n’y a pas que les pauvres qui ont besoin d’aide. Toute la population frôceuse a besoin d’aide ! On est en train de se disputer sur le maintien ou non de l'assistanat. Il faudrait peut-être tout simplement dire aux frôceux que ça sera amené à disparaître.
Au Parti Agraire Social, nous sommes avec l’aide de nos militants et de la population frôceuse en train de réfléchir à de nouvelles façons de venir en aide à tout un chacun. Notre société a besoin de personnes qui s’appuient sur ce qui marche dans notre pays pour développer la réussite de l'ensemble de la population.
Le slogan « On veut moins de pauvres, moins de riches », ne se pose pas là. N’oubliez pas que les riches se sont fait aider en amont.
- Alex Baldouin
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- Date de naissance du personnage :
Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
LR (1/8)
Il est évident que notre programme économique et en terme de fiscalité ne va pas plaire à grand monde et surtout aux socialistes. Mais il est clairement temps de redresser la barre car nous dirigeons notre pays vers un chaos économique sans précédent.
Et là dessus, nous ne pouvons que rejoindre certaines personnalités politiques. Evidemment, les propos de Nicolas Washington font tout à fait écho à notre position. Nous ne pouvons pas gérer toute la misère du monde, ceci n'est clairement pas une vision extrêmiste comme certains risquent de le dire, mais une vision réaliste.
Que dites-vous à un Frôceux au chômage depuis des mois, qui ne touche aucune aide et qui voit son voisin réfugié arriver sur le territoire et bénéficier d'aides incommensurables. Ce n'est pas possible. Même si ce n'est pas le débat ici, nous établirons une liste plus restrictive de l'immigration légale et une meilleure supervision de nos frontières. Mais pour revenir à notre débat, nous instaurerons des priorités nationales notamment en ce qui concerne l'emploi et l'accès au logement.
Nous instaurerons une taxe sur les salaires des personnes étrangères travaillant sur notre territoire mais n'y résidant pas. Ils ne contribuent pas aux impôts et à la Nation. On doit changer cela.
De plus, au vu du succès du patriotisme américain instauré par Trump, nous établirons une certaine forme de protectionnisme frôceux pour favoriser nos entreprises et nos produits locaux. Il est grand temps de donner une véritable impulsion au made in Frôce.
Oui, nous sommes fiers de vouloir une économie nationale forte.
Il est évident que notre programme économique et en terme de fiscalité ne va pas plaire à grand monde et surtout aux socialistes. Mais il est clairement temps de redresser la barre car nous dirigeons notre pays vers un chaos économique sans précédent.
Et là dessus, nous ne pouvons que rejoindre certaines personnalités politiques. Evidemment, les propos de Nicolas Washington font tout à fait écho à notre position. Nous ne pouvons pas gérer toute la misère du monde, ceci n'est clairement pas une vision extrêmiste comme certains risquent de le dire, mais une vision réaliste.
Que dites-vous à un Frôceux au chômage depuis des mois, qui ne touche aucune aide et qui voit son voisin réfugié arriver sur le territoire et bénéficier d'aides incommensurables. Ce n'est pas possible. Même si ce n'est pas le débat ici, nous établirons une liste plus restrictive de l'immigration légale et une meilleure supervision de nos frontières. Mais pour revenir à notre débat, nous instaurerons des priorités nationales notamment en ce qui concerne l'emploi et l'accès au logement.
Nous instaurerons une taxe sur les salaires des personnes étrangères travaillant sur notre territoire mais n'y résidant pas. Ils ne contribuent pas aux impôts et à la Nation. On doit changer cela.
De plus, au vu du succès du patriotisme américain instauré par Trump, nous établirons une certaine forme de protectionnisme frôceux pour favoriser nos entreprises et nos produits locaux. Il est grand temps de donner une véritable impulsion au made in Frôce.
Oui, nous sommes fiers de vouloir une économie nationale forte.
- Nicolas Lubenac
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MPD (2/8)
Madame Lacroix-Valmont, merci de nous épargner votre catéchisme gauchiste qu'on nous ressort à chaque élection. Réduire le nombre de pauvre c'est justement permettre que les entreprises embauchent massivement et ce n'est pas avec vos mesurettes que vous allez arranger les choses, bien au contraire.
De plus dites-moi à quel moment j'ai opposé les pauvres et les riches ? C'est vrai que c'est quelque chose qui vous obsède à gauche les riches.
Vous voulez interdire les licenciements, soit, vous provoquerez l'effet inverse. Une entreprise qui licencie ne le fait pas par plaisir et le soir venu le patron ne vient pas danser sur la pile de lettre de licenciements qu'il a été contraint de rédiger.
Si vous interdisez de licencier vous provoquer la faillite de milliers d'entreprises qui avaient fait ce choix par nécessité. Vous vous retrouverez donc avec encore plus de chômeur, bravo.
Je savais que la gauche était dépourvue de connaissances en économie mais la gauche altermondialiste c'est un niveau au-dessus et cela en est pitoyable.
Dites donc à vos électeur que vous préférez voir les entreprises couler plutôt que licencier pour qu'elles puissent survivre, je vous souhaite bien du courage.
L'assistanat n'est pas un fantasme de la droite, c'est un fait réel qui vampirise les comptes publics et plus particulièrement ceux de la sécurité sociale. Je préfère investir dans des choses bien plus bénéfiques pour l'ensemble de la société.
Madame Lacroix-Valmont, merci de nous épargner votre catéchisme gauchiste qu'on nous ressort à chaque élection. Réduire le nombre de pauvre c'est justement permettre que les entreprises embauchent massivement et ce n'est pas avec vos mesurettes que vous allez arranger les choses, bien au contraire.
De plus dites-moi à quel moment j'ai opposé les pauvres et les riches ? C'est vrai que c'est quelque chose qui vous obsède à gauche les riches.
Vous voulez interdire les licenciements, soit, vous provoquerez l'effet inverse. Une entreprise qui licencie ne le fait pas par plaisir et le soir venu le patron ne vient pas danser sur la pile de lettre de licenciements qu'il a été contraint de rédiger.
Si vous interdisez de licencier vous provoquer la faillite de milliers d'entreprises qui avaient fait ce choix par nécessité. Vous vous retrouverez donc avec encore plus de chômeur, bravo.
Je savais que la gauche était dépourvue de connaissances en économie mais la gauche altermondialiste c'est un niveau au-dessus et cela en est pitoyable.
Dites donc à vos électeur que vous préférez voir les entreprises couler plutôt que licencier pour qu'elles puissent survivre, je vous souhaite bien du courage.
L'assistanat n'est pas un fantasme de la droite, c'est un fait réel qui vampirise les comptes publics et plus particulièrement ceux de la sécurité sociale. Je préfère investir dans des choses bien plus bénéfiques pour l'ensemble de la société.
- Aurore Lacroix-Valmont
- Député fédéral
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Re: Elections générales 93 : Débat sur l'économie et la fiscalité
MAMA (2/8) :
Ne vous montrez pas plus bête que vous n'en avez l'air, Monsieur Lubenac. Vous savez très bien ce que veut dire l'interdiction des licenciements. Elle ne s'appliquera que pour les entreprises qui dégagent du bénéfice, pas pour celles qui sont en difficulté. Il n'y a pas écrit "grosse courge" sur mon front.
Je crois que vous devriez rendre une petite visite aux salariés de Elite World ou encore en France, de Carrefour et leur dire les yeux dans les yeux ce que vous déblatérez sans vergogne dans ce débat, le cul bien vissé sur votre fauteuil. Et allez-y sans body-guard, pour voir un peu qui est pitoyable.
Vous savez quel est le véritable cancer de notre société ? Ce n'est pas l'assistanat. C'est le non partage des richesses. Mais ça, le MPD, vous vous en foutez. Vous avez fait de beaux cadeaux aux plus fortunés, de beaux cadeaux aux grandes entreprises, en arguant que cela créerait de l'emploi !
On attend toujours ces créations d'emploi. On attend toujours le retour sur investissement des milliards que vous avez dilapidé. La réalité, c'est que c'est argent est parti dans les poches des actionnaires et de plus nantis. Les plus modestes n'en reverront jamais la couleur. Dans votre prisme, il est bien normal que cela ne marche que dans un sens !
Vous voulez investir dans quelque-chose, commencez pas vous acheter la dernière édition de "Être de bonne foi pour les nuls", ça sera un salut public.
Ne vous montrez pas plus bête que vous n'en avez l'air, Monsieur Lubenac. Vous savez très bien ce que veut dire l'interdiction des licenciements. Elle ne s'appliquera que pour les entreprises qui dégagent du bénéfice, pas pour celles qui sont en difficulté. Il n'y a pas écrit "grosse courge" sur mon front.
Je crois que vous devriez rendre une petite visite aux salariés de Elite World ou encore en France, de Carrefour et leur dire les yeux dans les yeux ce que vous déblatérez sans vergogne dans ce débat, le cul bien vissé sur votre fauteuil. Et allez-y sans body-guard, pour voir un peu qui est pitoyable.
Vous savez quel est le véritable cancer de notre société ? Ce n'est pas l'assistanat. C'est le non partage des richesses. Mais ça, le MPD, vous vous en foutez. Vous avez fait de beaux cadeaux aux plus fortunés, de beaux cadeaux aux grandes entreprises, en arguant que cela créerait de l'emploi !
On attend toujours ces créations d'emploi. On attend toujours le retour sur investissement des milliards que vous avez dilapidé. La réalité, c'est que c'est argent est parti dans les poches des actionnaires et de plus nantis. Les plus modestes n'en reverront jamais la couleur. Dans votre prisme, il est bien normal que cela ne marche que dans un sens !
Vous voulez investir dans quelque-chose, commencez pas vous acheter la dernière édition de "Être de bonne foi pour les nuls", ça sera un salut public.
Ministre Fédéral de la Diplomatie et de Défense