Elections générales 90 : Editos - Catalogne
- Riccardo Finacci Núñez
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Elections générales 90 : Editos - Catalogne
Postez ici les éditoriaux à publier dans la presse locale avant le 17 décembre à 21 heures
Chaque édito est limité à 400 mots, compteur forum.
Les journaux locaux sont :
La Raison (journal patronal)
Le Travailleur Déchaîné (journal ouvrier)
Independència (journal régionaliste)
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La Raison (journal patronal)
Le Travailleur Déchaîné (journal ouvrier)
Independència (journal régionaliste)
Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
Independència - Catalogne (régionaliste)
Estimats Catalans,
M’adresser à vous dans ce très estimé journal est un honneur. Moi, Camila, 21 ans, enfant du pays née à Salusa, ai le privilège de représenter les couleurs de mon parti, le Mouvement Populaire pour le Développement, dans notre magnifique Catalogne.
Mes deux parents, agriculteurs des contrées salusiennes, m’ont inculqué l’amour du terroir catalan, de sa langue, de sa culture et de son histoire. Comme le plus grand nombre d’entre vous, je me sens autant catalane que frôceuse et j’en serai toujours fière. Il ne faut pas écouter les discours préconçus : oui, le régionalisme et le patriotisme national peuvent faire bon ménage.
Le régionalisme est le fait d’être attaché à sa culture, à son histoire locale, à sa langue et parfois à la religion de ses ancêtres. Le régionalisme n’est donc pas fondamentalement indépendantiste ou autonomiste. Il s’agit simplement d’aimer sa région et sa culture. Balayons donc d’un revers l’amalgame classique entre régionalisme et indépendantisme.
Ma conviction, c’est celle que le patriotisme local et le régionalisme sont deux forces pour la Frôce, dans tous les domaines. Et naturellement, l’inverse est également vrai, d’autant plus car nous sommes une fédération. Une large part des Catalans se sentent avant tout catalans. Cela ne signifie pas qu’ils rejettent la nationalité frôceuse, bien au contraire.
En choisissant ma candidature, vous optez pour l’assurance d’une identité catalane préservée et affirmée face à l’État fédéral. La Catalogne est la principale source de richesses pour la Fédération de Frôce. Ainsi, il est évident qu’en retour de ce que nous apportons à l’État fédéral, nous puissions exiger de lui qu’il respecte notre identité. Chose que n’ont pas eu le courage de faire les précédents Gouverneurs, et je le déplore. Malgré ma jeunesse, vous pouvez être certains que je démontrerai l’aplomb nécessaire pour faire valoir nos valeurs à Aspen.
Le Mouvement Populaire pour le Développement est le seul parti de Frôce à réellement s’investir dans la préservation des patrimoines locaux. En Transalpie, feu Bern Wölfli, ancien Gouverneur, avait mis en place une filière de soutien à l’agriculture de la province. Je souhaite généraliser ce concept de préférence régionale aux secteurs clés de notre économie. Et cela, je suis la seule à réellement le proposer car la quasi-totalité de mes adversaires représentent des partis jacobins et ultra centralisés.
Me choisir, c’est faire le bon choix pour notre Catalogne. Viure a Catalunya !
M’adresser à vous dans ce très estimé journal est un honneur. Moi, Camila, 21 ans, enfant du pays née à Salusa, ai le privilège de représenter les couleurs de mon parti, le Mouvement Populaire pour le Développement, dans notre magnifique Catalogne.
Mes deux parents, agriculteurs des contrées salusiennes, m’ont inculqué l’amour du terroir catalan, de sa langue, de sa culture et de son histoire. Comme le plus grand nombre d’entre vous, je me sens autant catalane que frôceuse et j’en serai toujours fière. Il ne faut pas écouter les discours préconçus : oui, le régionalisme et le patriotisme national peuvent faire bon ménage.
Le régionalisme est le fait d’être attaché à sa culture, à son histoire locale, à sa langue et parfois à la religion de ses ancêtres. Le régionalisme n’est donc pas fondamentalement indépendantiste ou autonomiste. Il s’agit simplement d’aimer sa région et sa culture. Balayons donc d’un revers l’amalgame classique entre régionalisme et indépendantisme.
Ma conviction, c’est celle que le patriotisme local et le régionalisme sont deux forces pour la Frôce, dans tous les domaines. Et naturellement, l’inverse est également vrai, d’autant plus car nous sommes une fédération. Une large part des Catalans se sentent avant tout catalans. Cela ne signifie pas qu’ils rejettent la nationalité frôceuse, bien au contraire.
En choisissant ma candidature, vous optez pour l’assurance d’une identité catalane préservée et affirmée face à l’État fédéral. La Catalogne est la principale source de richesses pour la Fédération de Frôce. Ainsi, il est évident qu’en retour de ce que nous apportons à l’État fédéral, nous puissions exiger de lui qu’il respecte notre identité. Chose que n’ont pas eu le courage de faire les précédents Gouverneurs, et je le déplore. Malgré ma jeunesse, vous pouvez être certains que je démontrerai l’aplomb nécessaire pour faire valoir nos valeurs à Aspen.
Le Mouvement Populaire pour le Développement est le seul parti de Frôce à réellement s’investir dans la préservation des patrimoines locaux. En Transalpie, feu Bern Wölfli, ancien Gouverneur, avait mis en place une filière de soutien à l’agriculture de la province. Je souhaite généraliser ce concept de préférence régionale aux secteurs clés de notre économie. Et cela, je suis la seule à réellement le proposer car la quasi-totalité de mes adversaires représentent des partis jacobins et ultra centralisés.
Me choisir, c’est faire le bon choix pour notre Catalogne. Viure a Catalunya !
Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
La Raison - Catalogne (patronal)
Une célèbre maxime socialiste disait : « Le patron a besoin de toi, tu n’as pas besoin de lui ». Comme souvent, les Socialistes avaient tort. L’idée reçue selon laquelle le patron s’offre un quotidien merveilleux en exploitant au maximum ses salariés a la dent dure. Et heureusement, il reste en Catalogne des partis qui combattent cette caricature fondamentalement erronée. La bienséance devrait normalement imposer à tous de ne pas faire de quelques cas une généralité absolue. Normalement…
Je m’appelle Camila Álvarez et j’ai 21 ans. Je suis née en Catalogne, de deux parents exploitants agricoles. La petite entreprise d’exploitation familiale, je l’ai vécue par procuration. En ce sens, je suis bien placée pour savoir que diriger son affaire est loin d’être un long fleuve tranquille. Il est toujours facile de stigmatiser un dirigeant lorsqu’on est de l’autre côté du mur. Un raccourci que bien trop de responsables politiques utilisent pour vous combattre.
Le Mouvement Populaire pour le Développement que je représente a toujours cherché à agir dans l’intérêt des entreprises. Ce qu’ont oublié Socialistes et autres adversaires au monde de l’entrepreneuriat, c’est qu’une bonne santé économique résulte justement d’entreprises en bonne santé. Laissons donc ces personnes continuer à croire au concept de lutte des classes : dans notre environnement économique globalisé et en profonde mutation, c’est à ceux qui croient en l’entreprise qu’appartient le futur.
Si je suis élue Gouverneure de Catalogne, je ne ferai pas de cadeau aux riches sur le dos des pauvres. Un euphémisme, car nous savons évidemment que ce n’est pas ce que demandent les chefs d’entreprise. Permettez-moi cette parenthèse, afin de rayer d’une barre l’une des lignes du répertoire idéologique de certains à gauche.
Alors parlons concrètement de ce que je ferai pour vous, dirigeants et entrepreneurs catalans. Ma volonté, c’est de déployer un environnement politico-légal favorable à la croissance des entreprises qui font de la Catalogne la province la plus riche et productive de Frôce. Simple sur le papier, mais concrètement comment vais-je procéder ? En résumé : je veux que la province constitue un véritable soutien à la trésorerie des entreprises par l’investissement et les suramortissements exceptionnels. Je veux que nous investissions davantage dans les idées novatrices et à fort potentiel de croissance. Et surtout, veux que les entreprises qui créent de l’emploi durable soient récompensées.
C’est cela, l’esprit d’entrepreneur. Notre futur, c’est vous. Faites le bon choix !
Je m’appelle Camila Álvarez et j’ai 21 ans. Je suis née en Catalogne, de deux parents exploitants agricoles. La petite entreprise d’exploitation familiale, je l’ai vécue par procuration. En ce sens, je suis bien placée pour savoir que diriger son affaire est loin d’être un long fleuve tranquille. Il est toujours facile de stigmatiser un dirigeant lorsqu’on est de l’autre côté du mur. Un raccourci que bien trop de responsables politiques utilisent pour vous combattre.
Le Mouvement Populaire pour le Développement que je représente a toujours cherché à agir dans l’intérêt des entreprises. Ce qu’ont oublié Socialistes et autres adversaires au monde de l’entrepreneuriat, c’est qu’une bonne santé économique résulte justement d’entreprises en bonne santé. Laissons donc ces personnes continuer à croire au concept de lutte des classes : dans notre environnement économique globalisé et en profonde mutation, c’est à ceux qui croient en l’entreprise qu’appartient le futur.
Si je suis élue Gouverneure de Catalogne, je ne ferai pas de cadeau aux riches sur le dos des pauvres. Un euphémisme, car nous savons évidemment que ce n’est pas ce que demandent les chefs d’entreprise. Permettez-moi cette parenthèse, afin de rayer d’une barre l’une des lignes du répertoire idéologique de certains à gauche.
Alors parlons concrètement de ce que je ferai pour vous, dirigeants et entrepreneurs catalans. Ma volonté, c’est de déployer un environnement politico-légal favorable à la croissance des entreprises qui font de la Catalogne la province la plus riche et productive de Frôce. Simple sur le papier, mais concrètement comment vais-je procéder ? En résumé : je veux que la province constitue un véritable soutien à la trésorerie des entreprises par l’investissement et les suramortissements exceptionnels. Je veux que nous investissions davantage dans les idées novatrices et à fort potentiel de croissance. Et surtout, veux que les entreprises qui créent de l’emploi durable soient récompensées.
C’est cela, l’esprit d’entrepreneur. Notre futur, c’est vous. Faites le bon choix !
Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
Le Travailleur Déchaîné - Catalogne (ouvrier)
Travailleur·euse·s,
La mandature qui s'achève aujourd'hui en Catalogne s'est soldée par un statu quo sur la question des conditions de travail et des salaires. Le même constat pouvait être fait à l'issue du précédent. Devons-nous accepter de demeurer dans le registre du "pas terrible", ou même de risquer de passer du "pas terrible" au "pathétique" ?
Nous devons accepter la réalité. Celle qui démontre que tous ceux qui s'érigent durant les campagnes électorales en grands protagonistes du monde ouvrier n'ont eu pour action que ce véritable parjure politique. Face à un Gouverneur déchu, prétendument "centriste et modéré" mais qui n'a pas hésité à dériver avec son parti vers les théories d'extrême-droite du PLC, on vous a présenté comme sauveur un cadre de l'UPP. Ce dernier sera simplement resté dans une posture attentiste, visiblement davantage préoccupé par sa cote de popularité que par le sort de ces femmes et hommes qui s'extravasent quotidiennement au travail. Attention, les vrais amis du monde du travail ne sont pas forcément ceux qui prétendent l'être. La conviction, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale.
En ces circonstances, l'alternative crédible et engagée que je vous propose est celle qui offrira le plus d'avancées au monde ouvrier, notamment en entreprise. Beaucoup oublient que si nous sommes aujourd'hui en bonne santé économique, c'est en grande partie grâce à ceux qui permettent la production. En ce sens, il est inadmissible que nous ne rendions pas à César ce qui lui appartient. Ici, rendons donc aux travailleurs ce qu'ils méritent, à savoir des conditions de travail dignes, des salaires proportionnels à la peine engagée, un dialogue social rétabli.
Devrait-on accepter de voir que des patrons de grandes entreprises perçoivent un salaire équivalent à 200 SMC ? Devrait-on accepter de voir ces multinationales jongler avec les mêmes dirigeants - issus du même milieu mandarinal, évidemment - et de voir ces derniers quitter leurs postes équipés de parachutes dorés ? Devrait-on ne rien dire quand le dirigeant d'une usine licencie ses salariés pour motif économique, alors que parallèlement, son propre salaire augmente ? Il y en a assez de cette hypocrisie.
Je crois en l'entreprise, c'est vrai. Mais je crois tout autant en la force ouvrière, celle qui fait de la Catalogne une référence industrielle. Je crois sincèrement en la possibilité d'un dialogue ouvert et apaisé entre le patronat et le salariat. Ma proposition forte en ce sens est celle de rendre possible la présence des responsables syndicaux au sein des Conseils d'Administration. Je veux également qu'un Comité Social, en présence des délégués du personnel, des responsables syndicaux et d'un membre de la direction, soit tenu chaque mois dans chaque entreprise de plus de 50 salariés. Les échanges permettent souvent le désamorçage des conflits, et dans les entreprises catalanes, ils sont généralement absents.
Le MPD constitue un excellent commutateur entre dirigeants et ouvriers. Nous avons conscience des revendications, nous respectons vos luttes. Aujourd'hui, c’est l’avenir de la classe ouvrière et de la jeunesse qui est en jeu. Et je refuse de céder au principe de lutte des classes. Dans notre système politique, personne ne doit être lésé, et c'est pour cela que j'agirai autant que possible pour éradiquer la précarité et l'injustice.
Me choisir, c'est avant tout vous choisir.
La mandature qui s'achève aujourd'hui en Catalogne s'est soldée par un statu quo sur la question des conditions de travail et des salaires. Le même constat pouvait être fait à l'issue du précédent. Devons-nous accepter de demeurer dans le registre du "pas terrible", ou même de risquer de passer du "pas terrible" au "pathétique" ?
Nous devons accepter la réalité. Celle qui démontre que tous ceux qui s'érigent durant les campagnes électorales en grands protagonistes du monde ouvrier n'ont eu pour action que ce véritable parjure politique. Face à un Gouverneur déchu, prétendument "centriste et modéré" mais qui n'a pas hésité à dériver avec son parti vers les théories d'extrême-droite du PLC, on vous a présenté comme sauveur un cadre de l'UPP. Ce dernier sera simplement resté dans une posture attentiste, visiblement davantage préoccupé par sa cote de popularité que par le sort de ces femmes et hommes qui s'extravasent quotidiennement au travail. Attention, les vrais amis du monde du travail ne sont pas forcément ceux qui prétendent l'être. La conviction, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale.
En ces circonstances, l'alternative crédible et engagée que je vous propose est celle qui offrira le plus d'avancées au monde ouvrier, notamment en entreprise. Beaucoup oublient que si nous sommes aujourd'hui en bonne santé économique, c'est en grande partie grâce à ceux qui permettent la production. En ce sens, il est inadmissible que nous ne rendions pas à César ce qui lui appartient. Ici, rendons donc aux travailleurs ce qu'ils méritent, à savoir des conditions de travail dignes, des salaires proportionnels à la peine engagée, un dialogue social rétabli.
Devrait-on accepter de voir que des patrons de grandes entreprises perçoivent un salaire équivalent à 200 SMC ? Devrait-on accepter de voir ces multinationales jongler avec les mêmes dirigeants - issus du même milieu mandarinal, évidemment - et de voir ces derniers quitter leurs postes équipés de parachutes dorés ? Devrait-on ne rien dire quand le dirigeant d'une usine licencie ses salariés pour motif économique, alors que parallèlement, son propre salaire augmente ? Il y en a assez de cette hypocrisie.
Je crois en l'entreprise, c'est vrai. Mais je crois tout autant en la force ouvrière, celle qui fait de la Catalogne une référence industrielle. Je crois sincèrement en la possibilité d'un dialogue ouvert et apaisé entre le patronat et le salariat. Ma proposition forte en ce sens est celle de rendre possible la présence des responsables syndicaux au sein des Conseils d'Administration. Je veux également qu'un Comité Social, en présence des délégués du personnel, des responsables syndicaux et d'un membre de la direction, soit tenu chaque mois dans chaque entreprise de plus de 50 salariés. Les échanges permettent souvent le désamorçage des conflits, et dans les entreprises catalanes, ils sont généralement absents.
Le MPD constitue un excellent commutateur entre dirigeants et ouvriers. Nous avons conscience des revendications, nous respectons vos luttes. Aujourd'hui, c’est l’avenir de la classe ouvrière et de la jeunesse qui est en jeu. Et je refuse de céder au principe de lutte des classes. Dans notre système politique, personne ne doit être lésé, et c'est pour cela que j'agirai autant que possible pour éradiquer la précarité et l'injustice.
Me choisir, c'est avant tout vous choisir.
- Nathan Gicquel
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Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
La Raison
Journal patronal catalan
Catalans, Catalanes,
Les ouvriers ont été opposés aux patrons, pour que le monde politique se divise en deux blocs: d'un côté la gauche et de l'autre la droite. Mais il est temps, catalans, de choisir un nouvel horizon, une alternative: l'Alternative Démocrate Frôceuse - les Humanistes.
Certaines personnes voient les patrons comme des radins qui en ont plein les poches et qui surexploitent leurs ouvriers. Certains patrons sont sûrement comme ça, mais la plupart travaillent à ne plus compter leurs heures à faire des sacrifices pour sauver leur entreprise. Ils doivent être disponible vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept. Etre dirigeant d'une entreprise est l'affaire d'une vie, et le moins que l'on puisse dire, c'est que diriger une entreprise n'est pas de tout repos!
Je suis opposé à un socialisme et un libéralisme, qui donnerait raison aux partis de droite ou de gauche, qui sans cesse divise le monde et la Frôce en deux camps: les travailleurs contre les patrons, les plus pauvres contre les plus riches, les gentils contre les méchants. Vous pensez que ces termes sont puérils, mais la division menée par la gauche et la droite sont encore pire!
Moi-même et mon parti, l'Alternative Démocrate Frôceuse - les Humanistes, prônons un centrisme modéré, humaniste, social-libéral.
Nous sommes attachés aux droits de l'Homme, nous croyons en les libertés individuelles, nous sommes fiers d'appartenir à ce pays, ce magnifique pays qui est la Frôce.
Agriculteurs, artisans, dirigeants de start-up, ou chefs de PME par exemple, tous, avez le même objectif: d'abord, il faut payer ses employés, puis il faut nourrir sa famille. Ensuite, il faut rembourser les prêts, et enfin, il faut être heureux, profiter de l'immense patrimoine historique ou culturel qu'offre la nation, faire du sport et d'ailleurs, l'Alternative Démocrate Frôceuse voudrais subventionner à plus haute dose le sport amateur, car c'est lui qui permet à des personnes comme vous, moi ou vos enfants, de vous amuser, de vous dépenser, de vous surpasser. C'est également lui qui fait survivre les petits villages, en offrant une cohésion de groupe importante, à travers tous le village.
Le sport permet en effet la cohésion d'un groupe, et pourrait être moteur dans la cohésion de votre entreprise, en proposant des activités sportives à vos salariés, ce qui ne fera qu'accroître leur motivations, leurs cohésion, leur détermination.
Et comme le disait Steve Jobs: "Les meilleures choses qui arrivent dans le monde de l’entreprise ne sont pas le résultat du travail d’un seul homme. C’est le travail de toute une équipe."
Je vous remercie d'avoir lu cet éditorial et surtout, le 17 décembre prochain, allez vous exprimer et allez voter!
Nathan Gicquel
Député fédéral ADF-H
Conseiller municipal à Pastelac
Député fédéral ADF-H
Conseiller municipal à Pastelac
- Nathan Gicquel
- Electeur
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Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
Le Travailleur déchaîné
Journal ouvrier catalan
Catalans, Catalanes,
Les ouvriers ont été opposés aux patrons, pour que le monde politique se divise en deux blocs: d'un côté la gauche et de l'autre la droite. Mais il est temps, catalans, de choisir un nouvel horizon, une alternative: l'Alternative Démocrate Frôceuse - les Humanistes.
La Catalogne, mais aussi la Frôce entière, a besoin de travailleurs, d'ouvriers, car sans eux, elle ne pourrait pas avancer, elle ne pourrait pas innover, elle ne pourrait pas non plus construire un monde pour demain. Nous nous devons de laisser un monde à nos enfants, où l'image des travailleurs ne doit pas être des syndicalistes, qui parfois cassent du mobilier urbain, etc, mais plutôt celui des syndicalistes qui discutent avec leurs patrons, ou avec les membres des gouvernements: provincial, mais aussi fédéral.
Le socialisme, défendu par le pôle gauche de notre monde politique, est associé aux ouvriers. Le libéralisme, lui, associé à la droite et par conséquent, au patronat. Le premier ne fait qu'accroître la haine envers les patrons, en l'accusant de tous les maux, et le second provoque exactement l'inverse, en cassant le droit du travail par exemple.
Aujourd'hui, il faut agir pour demain, agir pour que nos enfants ne vivent pas dans un monde où le droit du travail n'existe plus, cassé par un libéralisme trop violent, inadapté à notre société. Agir pour leur laisser la liberté d'entreprendre. Agir pour conserver un savoir-faire unique, Agir pour que le développement durable ai une place centrale dans le monde de demain. Vivre dans un monde équitable, viable et vivable, ce n'est pas ce que tout le monde souhaite?
Aux élections de décembre, vous aurez un choix à faire, un chemin à prendre. Vous pourrez prendre celui du communisme, qui cassera le droit d'entreprendre, d'avoir des libertés. Vous pourrez également prendre le chemin du nationalisme, ou du libéral-conservatisme, qui sont voués à diviser le peuple frôceux, les riches contre les pauvres, les travailleurs contre les patrons, les catholiques contre les musulmans, les religieux contre les homosexuels, les frôceux contre les étrangers. Faire le choix d'un centrisme modéré, humaniste, est faire le choix de valeurs, comme la paix, l’entraide, la solidarité, la fraternité, l'égalité, la justice, la démocratie, la liberté...
Vous, catalans et catalanes, ouvriers et ouvrières, votre principal objectif est de rendre heureux votre famille et les personnes qui vous sont chères, quittes à vous oublier un peu. Lorsque vous rentrer le soir, vous vous dîtes qu'il faudrait faire du sport, mais la perspective de se dépenser seul ne vous attire pas, et les clubs de sports ont parfois des adhésions trop chères, cela va changer car l'ADF-H propose une forte hausse des subventions pour ces clubs, qui font vivre nos communes.
Vous n'allez presque jamais dans un musée, voir une galerie d'art, ou une pièce de théâtre: ce ne sont que "des trucs de riches" que seul votre patron et les plus riches peuvent se payer: nous proposons, comme l'a évoqué Andrea lors du premier débat télévisé d'aider les associations artistiques, afin de les faire découvrir au grand public.
Mais surtout, ce week-end, Allez voter!
Nathan Gicquel
Député fédéral ADF-H
Conseiller municipal à Pastelac
Député fédéral ADF-H
Conseiller municipal à Pastelac
- Victor Karlsson-Marshall
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Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
Le Travailleur Déchaîné (journal ouvrier)
Travailleurs, travailleuses, chers Catalans et Catalanes,
Depuis mes débuts en politique, je suis toujours resté profondément attaché à mon pays. Vous le savez, vous me connaissez comme mes engagements. Je ne suis pas un arriviste. Je vous ai rencontré au cours de ces dernières semaines, vous, salariés, ouvriers dans les entreprises. Une chose m'a frappé et j'en suis plus que jamais convaincu aujourd'hui : vous, les travailleurs, êtes la plus grande richesse de la Catalogne. Et fou est l'entrepreneur qui passe à côté de ça.
Je m'engage à tout faire pour défendre le potentiel de ma province. A promouvoir le travail humain et encourager l'embauche, à renforcer votre pouvoir dans les entreprises que vous faites vivre. A défendre vos intérêts contre ceux qui menacent de délocaliser dès qu'on leur demande de contribuer - parce que vous, vous contribuez. Vous travaillez dans les entreprises, payez vos impôts dans notre pays, achetez dans les commerces. Vous êtes ceux qui font tourner l'économie et au-delà de ça, qui font fonctionner notre société. Et mon mandat ne sera pas un de ceux ou on laissera les travailleurs se faire marcher dessus par les plus puissants.
Alors, je sais de mon opposante qu'elle promet un dialogue franc avec le patronat, et on peut s'interroger sur sa sincérité quand on connait les valeurs de son parti. Un parti qui vote pour supprimer l'ISF, qui vote contre la lutte contre l'évasion fiscale, et qui dans le même temps vote contre les baisses d'impôts pour les ménages plus modestes, contre les augmentations d'allocations pour les plus défavorisés : est-ce là le genre de personnes aptes à vous représenter et à défendre vos intérêts ?
Je l'admets, ou plutôt je le revendique : nous avons une conviction différente. Celle que l'argent du contribuable ne doit pas servir à financer les caprices de ceux qui s'insurgent dès qu'on demande leur contribution qu'ils sont plus que largement en mesure d'honorer.
Nous sommes pour le dialogue constructif avec les chefs d'entreprise, non pour céder à des exigences absurdes comme c'est le cas de mon opposante. Chaque avancée dans le domaine du travail ou de l'économie doit être une avancée pour tous les Catalans.
Je sais enfin de mon opposante qu'elle me reproche de ne pas m'investir pour ma province, moi qui ait laissé mon poste au gouvernement fédéral après la destitution de mon prédécesseur pour me consacrer à ma Catalogne, abandonnée. Mon prédécesseur, appuyé par la même coalition LD/MPD qui aujourd'hui, majoritaire à l'Assemblée, a empêché le gouvernement que j'ai dirigé ces deux derniers mois d'envisager la moindre réforme sociale, et dont mon opposante incarne la continuité.
Alors, citoyens de Catalogne, un choix s'offre à vous.
Celui de voter pour la même coalition menée par le MPD et adoubée par le centre-droit, qui ignore tout de vos revendications.
Et celui de virer cette majorité du statu-quo, de faire sauter le verrou et de voter pour un garçon du pays, engagé depuis longtemps à vos côtés.
J'espère, mes amis, que vous me trouverez digne de votre confiance.
Mais une chose est sûr : en vous, catalans, j'ai confiance. Vous saurez faire votre choix.
Depuis mes débuts en politique, je suis toujours resté profondément attaché à mon pays. Vous le savez, vous me connaissez comme mes engagements. Je ne suis pas un arriviste. Je vous ai rencontré au cours de ces dernières semaines, vous, salariés, ouvriers dans les entreprises. Une chose m'a frappé et j'en suis plus que jamais convaincu aujourd'hui : vous, les travailleurs, êtes la plus grande richesse de la Catalogne. Et fou est l'entrepreneur qui passe à côté de ça.
Je m'engage à tout faire pour défendre le potentiel de ma province. A promouvoir le travail humain et encourager l'embauche, à renforcer votre pouvoir dans les entreprises que vous faites vivre. A défendre vos intérêts contre ceux qui menacent de délocaliser dès qu'on leur demande de contribuer - parce que vous, vous contribuez. Vous travaillez dans les entreprises, payez vos impôts dans notre pays, achetez dans les commerces. Vous êtes ceux qui font tourner l'économie et au-delà de ça, qui font fonctionner notre société. Et mon mandat ne sera pas un de ceux ou on laissera les travailleurs se faire marcher dessus par les plus puissants.
Alors, je sais de mon opposante qu'elle promet un dialogue franc avec le patronat, et on peut s'interroger sur sa sincérité quand on connait les valeurs de son parti. Un parti qui vote pour supprimer l'ISF, qui vote contre la lutte contre l'évasion fiscale, et qui dans le même temps vote contre les baisses d'impôts pour les ménages plus modestes, contre les augmentations d'allocations pour les plus défavorisés : est-ce là le genre de personnes aptes à vous représenter et à défendre vos intérêts ?
Je l'admets, ou plutôt je le revendique : nous avons une conviction différente. Celle que l'argent du contribuable ne doit pas servir à financer les caprices de ceux qui s'insurgent dès qu'on demande leur contribution qu'ils sont plus que largement en mesure d'honorer.
Nous sommes pour le dialogue constructif avec les chefs d'entreprise, non pour céder à des exigences absurdes comme c'est le cas de mon opposante. Chaque avancée dans le domaine du travail ou de l'économie doit être une avancée pour tous les Catalans.
Je sais enfin de mon opposante qu'elle me reproche de ne pas m'investir pour ma province, moi qui ait laissé mon poste au gouvernement fédéral après la destitution de mon prédécesseur pour me consacrer à ma Catalogne, abandonnée. Mon prédécesseur, appuyé par la même coalition LD/MPD qui aujourd'hui, majoritaire à l'Assemblée, a empêché le gouvernement que j'ai dirigé ces deux derniers mois d'envisager la moindre réforme sociale, et dont mon opposante incarne la continuité.
Alors, citoyens de Catalogne, un choix s'offre à vous.
Celui de voter pour la même coalition menée par le MPD et adoubée par le centre-droit, qui ignore tout de vos revendications.
Et celui de virer cette majorité du statu-quo, de faire sauter le verrou et de voter pour un garçon du pays, engagé depuis longtemps à vos côtés.
J'espère, mes amis, que vous me trouverez digne de votre confiance.
Mais une chose est sûr : en vous, catalans, j'ai confiance. Vous saurez faire votre choix.
Père, Époux, Chancelier Suprême, Citoyen.
Co-président-fondateur de The European LGBT Foundation
4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94)
2ème Gouverneur de Catalogne (90-92)
3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92)
2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90)
Ancien Maire de Pastelac
Prince dans une dimension parallèle
Biographie | Pluzin | Résidence
- Victor Karlsson-Marshall
- Messages : 1192
- Enregistré le : 24 juin 2017, 20:57
- Sexe du personnage : ---
- Date de naissance du personnage :
Re: Elections générales 90 : Editos - Catalogne
La Raison (journal patronal)
S'il est commode pour mes détracteurs de me réduire à un gauchiste anti-patronat de la vieille école, partisan d'un État qui réprime les entreprises, je crains de les décevoir.
Je ne le cache pas : nous ne croyons pas que réformer le code du travail, même en profondeur, engendrera la croissance dont nous avons besoin. C'est pourquoi nous proposons une alternative : celle de l'action. Et l'action que je veux entreprendre ne se fera pas contre, mais avec les entreprises. Nous voulons insuffler une nouvelle jeunesse à la Catalogne et cela passe par un constat : celui de ses atouts.
Même si on a tendance à l'oublier, la Catalogne possède un formidable potentiel économique, jusqu'ici trop peu mis à profit. Il est clair pour nous que notre province a encore de quoi devenir un haut lieu des nouvelles technologies et du progrès scientifique. Depuis Pastelac, capitale européenne de l'aérospatial, jusqu'à Casarastra, pionnière des smart cities, les secteurs d'avenir sont nombreux : l'aéronautique, l'informatique, l'électronique, la recherche, l'automobile et les biotechnologies sont autant de domaines dans lesquels nous excellons qui sont des raisons d'investir dans notre province.
Question qualité de la main d'oeuvre, nous ne sommes pas en reste : nous disposons d'écoles réputés dans toute l'Europe, parmi les plus avancées dans leur domaine. Et je peux le dire pour être moi-même issu de l'une d'elle, elles regorgent d'étudiants enthousiastes à l'idée de participer à l'aventure technologique de notre temps. Des milliers de futurs diplômés qualifiés, qui sont autant d'atout pour l'avenir et la croissance de notre province, et qui pourtant, devant l'absence d'opportunités chez nous, partent offrir leurs compétences à l'étranger.
Qu'un catalan ne puisse mettre à contribution ses compétences dans l'intérêt de sa province m'est insupportable. C'est pourquoi, pour encourager l'implantation, le développement et aussi l'émergence d'entreprises spécialisées dans les technologies de pointe, je mettrai en place un grand projet d'investissement dans les secteurs des nouvelles technologies.
Nous voulons permettre à l'individu au sein de l'entreprise de s'accomplir en participant au développement et à la prospérité de son entreprise et de sa province. On dit des gens de gauche que nous voulons créer une société d'assistés, pourtant nous croyons en la réussite individuelle. C'est pourquoi nous sommes en faveur du développement des startups. Le gouvernement provincial avait promis il y a 3 ans d'agir en faveur des jeunes qui se lancent dans l'entrepreneuriat et dans les startups. Promesse réitérée depuis, sans aucune suite.
Notre position n'a pas changé sur le sujet : nous croyons en l'innovation portée par ces jeunes entrepreneurs. C'est pourquoi nous voulons encourager les parrainages de startups et de petites entreprises par les grands groupes, et offrir un soutien aux entreprises naissantes.
Nous avons la conviction que pour faire repartir une économie, il n'est nul besoin de licenciements massifs ou de baisses drastiques de la condition de vie des travailleurs. Assurer la prospérité de notre province commence par investir dans son potentiel.
Développer le potentiel catalan et remettre l’entreprise, dans son ensemble, au coeur des dynamiques économiques, pour faire de la Catalogne un pôle européen de l'innovation et des nouvelles technologies : c'est cette vision que nous offrons, résolument orientée vers l'avenir de la Catalogne.
Je ne le cache pas : nous ne croyons pas que réformer le code du travail, même en profondeur, engendrera la croissance dont nous avons besoin. C'est pourquoi nous proposons une alternative : celle de l'action. Et l'action que je veux entreprendre ne se fera pas contre, mais avec les entreprises. Nous voulons insuffler une nouvelle jeunesse à la Catalogne et cela passe par un constat : celui de ses atouts.
Même si on a tendance à l'oublier, la Catalogne possède un formidable potentiel économique, jusqu'ici trop peu mis à profit. Il est clair pour nous que notre province a encore de quoi devenir un haut lieu des nouvelles technologies et du progrès scientifique. Depuis Pastelac, capitale européenne de l'aérospatial, jusqu'à Casarastra, pionnière des smart cities, les secteurs d'avenir sont nombreux : l'aéronautique, l'informatique, l'électronique, la recherche, l'automobile et les biotechnologies sont autant de domaines dans lesquels nous excellons qui sont des raisons d'investir dans notre province.
Question qualité de la main d'oeuvre, nous ne sommes pas en reste : nous disposons d'écoles réputés dans toute l'Europe, parmi les plus avancées dans leur domaine. Et je peux le dire pour être moi-même issu de l'une d'elle, elles regorgent d'étudiants enthousiastes à l'idée de participer à l'aventure technologique de notre temps. Des milliers de futurs diplômés qualifiés, qui sont autant d'atout pour l'avenir et la croissance de notre province, et qui pourtant, devant l'absence d'opportunités chez nous, partent offrir leurs compétences à l'étranger.
Qu'un catalan ne puisse mettre à contribution ses compétences dans l'intérêt de sa province m'est insupportable. C'est pourquoi, pour encourager l'implantation, le développement et aussi l'émergence d'entreprises spécialisées dans les technologies de pointe, je mettrai en place un grand projet d'investissement dans les secteurs des nouvelles technologies.
Nous voulons permettre à l'individu au sein de l'entreprise de s'accomplir en participant au développement et à la prospérité de son entreprise et de sa province. On dit des gens de gauche que nous voulons créer une société d'assistés, pourtant nous croyons en la réussite individuelle. C'est pourquoi nous sommes en faveur du développement des startups. Le gouvernement provincial avait promis il y a 3 ans d'agir en faveur des jeunes qui se lancent dans l'entrepreneuriat et dans les startups. Promesse réitérée depuis, sans aucune suite.
Notre position n'a pas changé sur le sujet : nous croyons en l'innovation portée par ces jeunes entrepreneurs. C'est pourquoi nous voulons encourager les parrainages de startups et de petites entreprises par les grands groupes, et offrir un soutien aux entreprises naissantes.
Nous avons la conviction que pour faire repartir une économie, il n'est nul besoin de licenciements massifs ou de baisses drastiques de la condition de vie des travailleurs. Assurer la prospérité de notre province commence par investir dans son potentiel.
Développer le potentiel catalan et remettre l’entreprise, dans son ensemble, au coeur des dynamiques économiques, pour faire de la Catalogne un pôle européen de l'innovation et des nouvelles technologies : c'est cette vision que nous offrons, résolument orientée vers l'avenir de la Catalogne.
Père, Époux, Chancelier Suprême, Citoyen.
Co-président-fondateur de The European LGBT Foundation
4ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar (92-94)
2ème Gouverneur de Catalogne (90-92)
3ème Président de l'Assemblée Fédérale (91-92)
2ème Vice-Chancelier de la Fédération (89-90)
Ancien Maire de Pastelac
Prince dans une dimension parallèle
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