Elections générales 90 : Editos - Transalpie

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Riccardo Finacci Núñez
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Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Riccardo Finacci Núñez »

Postez ici les éditoriaux à publier dans la presse locale avant le 17 décembre à 21 heures

Chaque édito est limité à 400 mots, compteur forum.

Les journaux locaux sont :

Le Pays (journal nationaliste)
La Libre Entreprise (journal patronal)
Terre de Foi (journal chrétien)
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Arthur Lubenac
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Arthur Lubenac »

Edito Le Pays (Nationaliste)

Chers lecteurs,

Notre province a été durement frappée par des évènements regrettables lors de ce mandat. Les tensions attisées par le parti qui dirige actuellement la Transalpie ont mis fin à notre quiétude, à la tranquillité que nous aspirons. Je suis en effet convaincu que faire de l'Islam notre ennemi est une maladresse sans nom qui anéanti nos aspirations sécuritaires.
Vous savez bien comme moi que ne pas jeter un œil sur cette communauté c'est nous exposer au danger terroriste. Si je parviens à la tête de notre province, je resterai impitoyable envers ceux qui menacent notre paix, nos traditions et notre culture. Ceux qui se conformeront à nos habitudes culturelles sont les bienvenus. Mais en même temps qui leur a demandé d'abandonner les leurs et renoncer à ce qu'ils sont ?
A mon humble avis, un étranger qui vient s'installer dans un pays pour X raisons doit se conformer à la culture du pays qui l'accueille, renoncer aux habitudes en contradiction avec la nouvelle terre qu'il foule, mais rien ne l'empêche de suivre ses croyances dans un cadre privé.

Je ne reproduirai pas les erreurs de monsieur Belfort qui a attisé les tensions inter-communautaire. Être opposé au communautarisme c'est justement tout faire pour ne pas diviser les communautés. La tutelle contre l'Islam sera donc levée et nous imposerons à la place des institutions gérées par les autorités musulmanes pour mettre un terme au mode de sélection scandaleux des imams. Poursuivre dans la voie actuelle c'est se placer dans une logique de conflit qui ne pourra pas avoir une bonne issue. Pour régler les tensions il faut encadrer sans écraser, discuter sans être condescendant. Ceux qui vous promettent l'épuration ethnique en excluant des communautés entières vous endorment car cela n'est juridiquement pas possible et cela relève d'une éthique nauséabonde qui nous exposerait à une vindicte généralisée. Assimiler pour apaiser, voilà la solution.

Les terroristes ne bénéficieront d'aucune once de clémence de ma part. S'ils sont étranger ils seront expulsés, s'ils sont frôceux nous ferons le nécessaire pour recourir à la déchéance de nationalité. Il n'est pas possible de rester dans notre grande communauté frôceuse si on la trahit. La nationalité frôceuse ne sera plus donnée comme on gagne à la loterie. Il faudra 10 ans de résidence sur le territoire, une absence de casier judiciaire, disposer d'une situation professionnelle et financière stable et maîtriser l'une des langues officielles de la Frôce pour être naturalisé. Le mariage ne sera pas un moyen de contourner notre administration et ne donnera plus la nationalité de manière automatique au conjoint. Il faudra faire ses preuves avant. La politique migratoire ne sera plus financée pour vous les contribuables, ce seront les requérants qui prendront en charge tout cela car nous augmenterons sensiblement les frais de dossier, les taxes de titres de séjour et les frais d’octroi de la nationalité.
Tout remettre à plat, négocier, discuter, et tout faire dans l'apaisement, voilà ce que je vous propose.
Maire d'Anglès

3ème Chancelier Suprême de la Fédération de Frôce et de Madagascar

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Karl Lacroix-Hanke
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Karl Lacroix-Hanke »

Transalpie - Terre de Foi (journal chrétien)

Il y a quelques jours, le pâpe François s'est rendu en Birmanie. J'ai suivi avec attention cette visite comme beaucoup d'entre vous, préoccupés par le sort des minorités Rohingyas sur place. Cette visite était salutaire. Elle contribue selon moi à mettre en lumière la situation de précarité des Rohingyas, à donner du sens à l'énorme élan de générosité qui s'est créé en leur faveur.

Le pâpe François a insufflé davantage d'espoir et d'amour à ces personnes, comme il le fait souvent lors de ses déplacements.

Force est d'admettre qu'humanisme et chrétienté sont liés, de façon beaucoup plus intime que nous l'imaginons. On ne peut pas renier l'héritage culturel de la religion dans notre civilisation, des valeurs qui ont été transmises à travers les générations : l'amour de son prochain, la paix, la solidarité.

Si vous reconnaissez des valeurs frôceuses dans cette liste, c'est bien normal. Notre pays s'est fondé dessus.

L'amour de son prochain passe par son respect, qui lui-même n'est possible qu'avec de la tolérance. C'est ainsi que nous sommes capables de vivre les uns avec les autres, d'accepter nos différences, physiques, morales, philosophiques. Car l'important n'est pas ce que chacun est mais ce que nous sommes lorsque nous vivons ensemble. Dans la Bible, Jésus ne s'est pas aimé lui-même. Il a aimé les autres, sans condition, allant même jusqu'à pardonner à ceux qui lui avaient porté atteinte.

La paix est bel et bien un combat, millénaire. Elle ne peut exister sans diplomatie, sans modération. Il n'y a pas, contrairement à ce que l'on peut entendre, un peuple européen, un peuple africain, un peuple arabe, un peuple asiatique ou américain. Il n'y a que des citoyens du monde, des êtres humains qui pour 90% d'entre vous, cherchent à vivre et à survivre. Pourquoi perdre du temps à la guerre, au massacre, lorsque l'on devrait plutôt s'acharner sur les maladies, sur la pauvreté et le désespoir ? Pourquoi gâcher notre énergie à tuer alors que nous pourrions l'employer à vivre, mieux et ensemble ?

La solidarité est ce qui nous coordonne. Ce qui fait que nous nous arrêtons dans la rue pour donner à un mendiant. Ce qui fait que des associations existent et oeuvrent, dans des centaines de milliers de domaines, à travers le pays et le monde, pour installer de l'eau potable, pour offrir aux enfants des jouets, des lunettes ou encore pour donner aux familles de la nourriture. La solidarité, c'est ce qui fait que nous sommes cohérents avec nous-mêmes. C'est ce qui nous rends humains.

Nous vivons une époque troublée, où au nom d'une doctrine nauséabonde et terroriste, des innocents sont tués et violentés. Au nom du doute, nous remettons en question nos valeurs. Tout cela n'a qu'un but, nous faire perdre la foi et nous détourner du message originel. Ne tombons pas le piège et ne nous laissons pas avoir par ces chimères. La foi est notre épée. La loi, le droit, notre bouclier.

C'est ce que le Pâpe François a voulu nous rappeler, en Birmanie, dans un message universel et humaniste.
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Eric Valmont
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Eric Valmont »

Transalpie : Terre de Foi (journal chrétien)

Nous avons pu voir dernièrement que l’ingérence de l'Etat dans la religion et sa pratique pouvait entraîner de dangereuses tensions dans notre province, notamment avec le décret provincial portant à la mise sous tutelle de l'islam, promulgué par le gouverneur Belfort et soutenu par son parti, ainsi que les incidents qui ont suivi à Aspen.

Et bien que cela n’ait aucun rapport avec l’église et ne touche pas les chrétiens de façon directe, cela nous amène à nous poser des questions quant au danger que cela pourrait représenter si le mouvement anti-religion de l'état se poursuit, aujourd’hui c’est l’Islam, demain ce sera peut-être la liberté des chrétiens qui sera supprimée. Il serait donc fort regrettable que l’Église, qui a su résister aux grands adversaires que l’âge moderne lui avait opposé disparaisse petit à petit parce que nous avons laissé l’état s’ingérer dans un domaine dont il n’a pas à s’occuper.

Et au nom de quoi l’Etat a-t-il compétence à gérer la vie privée des citoyens et de leurs croyances ? Au RPL, nous prenons précisément en compte l’appartenance des citoyens à diverses communautés culturelles. Pour nous, l’Etat doit adopter une attitude de neutralité et de tolérance à l’égard des différentes représentations et pratiques des citoyens d’horizons et d’allégeances variés. Des valeurs qui sont également prônées par l’église.

Pour nous, la relation entre l’Etat et les individus doit être très limitée, elle doit se cantonner à un rôle de protection des droits de ces derniers, notamment le droit de pratiquer sa foi en toute liberté, le rôle de l’Etat doit donc être d’empêcher les violations de ce droit, non de le violer lui-même. Et nous nous engageons à ce que tout chrétien puisse pratiquer sa foi en toute liberté, que cela soit sur sa propriété ou dans les lieux de culte qui y sont consacrés.

Notre but est donc de protéger les libertés individuelles, en nous opposons à tout empiétement de l’État sur des activités que les groupes et les individus sont capables de mener par eux-mêmes dans la pratique de leur foi sans imposition de contraintes de la part de l’administration publique. Puisque le but premier de l’État est de défendre la liberté des citoyens de manière égale pour tous.

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Eric Valmont
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Eric Valmont »

Transalpie : La Libre Entreprise (journal patronal)

La gauche est régulièrement à l'origine de projets qui visent à changer le système économique, toujours à vouloir tout nationaliser, à vouloir trouver des solutions à travers les mécanismes étatiques, parce qu’ils ne croient pas que le marché peut s’auto-réguler de lui-même, mais pour nous, la compétition des individus dans un marché libre est le meilleur moteur du progrès économique.

Ne vous y trompez pas, nous ne sommes pas contre l’Etat, au contraire nous sommes pour un État fort, mais dans les limites strictes de ses fonctions régaliennes et dans le respect des libertés de chacun. Et contrairement à ce que certains opposants du libéralisme peuvent croire, dans un marché libre, les marchés sont régulés, peut-être pas par l’Etat, qui croit être seul capable d’une telle chose mais par les personnes elles-mêmes.

Prenons comme exemple les salaires minimums, ces salaires consistent à vous interdire de travailler pour quelqu’un pour un salaire inférieur à une certaine valeur fixée par l’État. On parle donc bien de supprimer votre liberté. Et même chose pour les heures de travail, si vous avez la liberté de négocier avec votre employeur les heures qui vous conviennent et qui lui conviennent également, en quoi cela pourrait nuire à l’Etat ? Il est nécessaire de comprendre que chaque individu dispose d’un droit de propriété sur sa propre personne et son propre travail, et qu'il peut les engager dans les contrats de services libres de son choix, pourvu que cela soit légal. N’est-ce pas là la liberté que nous souhaitons tous avoir ?

Ils pensent que sans l’Etat ce serait l’anarchie, le désordre, leurs programmes consistent en une intervention permanente et pointilleuse de l'Etat dans la vie des gens et des entreprises, pourtant la libre concurrence entre entreprises donne la chance à tout un chacun d’essayer de trouver son intérêt tout en étant prêt à tout pour nous satisfaire. Donc même si la seule chose importante pour les entreprise se trouve être le profit, elles sont ainsi conduites à améliorer la situation de chacun de nous. C'est le grand miracle du marché libre : de la recherche du profit, de l'égoïsme, naît le bien-être collectif.

Ce qu'il faut comprendre c'est que l’économie de marché libre est l’économie dans laquelle les producteurs et les consommateurs décident eux-mêmes de ce qu’ils vont offrir et demander. Sur le marché libre, les acheteurs régulent les acheteurs, et les vendeurs régulent les vendeurs de façon pacifique, par la rivalité concurrentielle. Et ce, sans interférence de l’État dans cette décision, parce que l’État n’a tout simplement pas à soutenir telle entreprise plutôt que telle autre, tel secteur plutôt que tel autre, par des réglementations particulières ou des subventions directes.

J’irai même plus loin, je comparerais le marché libre à une démocratie et l’ingérence de l’Etat dans ce dernier à une dictature. C'est pour ça que le RPL se bat pour la défense des droits des individus face à ceux de l’État et l’idée que l’intérêt général est obtenu dès lors que chaque agent économique est libre de rechercher son intérêt particulier.

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Arthur Lubenac
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Arthur Lubenac »

La Libre Entreprise (journal patronal) - MPD

Brutalité. Voilà le mot qui pourrait convenir à la politique économique menée par le gouvernement sortant. Être une entreprise qui a du succès c'est devenu un crime. Vous réussissez trop ? Donnez-nous vite le fruit de votre travail, vous n'avez pas le droit d'être aussi prospères dans vos affaire ! Voilà le leitmotiv de Julien Citron qui a tant démoli. L'Etat qui régule tout, l'Etat-stratège qui monopolise la planification de l'activité économique, qui prend le contrôle de la direction des entreprises, qui jette plus bas que terre les patrons qui ne suivent pas les règles imposées par le gouvernement pour éviter des désastres. Ces conseils d'administration qui se passent sous la menace permanente d'un Etat intrusif qui fait claquer le fouet à la moindre liberté prise par les dirigeants de leur propre affaire. Ces chefs d'entreprise traînés devant les Prud'hommes à la moindre contrariété avec un salarié qui est moins blanc qu'il ne veut le faire paraître.

Cette pression constante, la peur de faire quelque chose de travers et d'avoir ensuite à porter le brassard abominable représentant l'exploitation des plus faibles par l'élite. Ce même brassard affublé par les biens pensants gauchistes qui ne voient dans l'entreprise qu'une structure d'exploitation généralisée des masses. Cette simplicité d'esprit qui ne serait pas si effrayante si elle ne présidait pas à nos destinée. La criminalisation du succès, la diabolisation de l'argent et l'adoration de la médiocrité.
L'idéologie socialiste est aujourd'hui néfaste pour nous, notre économie, notre santé mentale. Elle porte une vision négative de la vie économique, essaie de dresser les patrons contre les salariés pour servir ses ambitions électorales.

Nous devons dire stop et renvoyer ces prophètes du malheur là où il sont venus, du néant. Nous devons militer en faveur d'un monde où les entreprises sont les moteurs de l'interaction sociale, des pépinières de talents et des sources inépuisables d'innovation. Un monde où le salarié s'épanouit dans sa profession et est en synergie avec les autres éléments de l'entreprise. Diriger une entreprise doit rester une aventure humaine enrichissante, débarrassé de toutes les barrières angoissantes imposée par l'Etat tout puissant qui créent la peur d'investir, de créer. Le dialogue doit être la valeur clé. Négocier, discuter, trouver des compromis, progresser, avancer, la marche doit toujours se faire en avant. Le succès doit être partagé par tous les éléments de l'entreprise, il doit être valorisé et utilisé pour attirer toujours plus de monde et faire croître l'activité.

Il ne faut pas avoir peur d'entamer une destruction des réalisations de la gauche et mettre en place nos solutions qui apporteront de l'enthousiasme dans les entreprises et redonneront du souffle aux dirigeants qui pourront réembaucher sereinement une fois l'angoisse disparue. 39 heures modulables dans chaque entreprise, exonération de l'impôt sur le bénéfice pour les TPE/PME, ouvrir le capital des TPE/PME aux salariés pour qu'ils prennent toute leur part eux aussi, ouvrir des pépinières d'entreprises dans les zones rurales.
Voilà les bases pour redonner de la sérénité et l'envie d'investir !
Maire d'Anglès

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Eduardo Belfort
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Eduardo Belfort »

Éditorial d'Eduardo Belfort (PLC) pour La Libre Entreprise (journal patronal) :

Les entreprises sont génératrices de richesses et de dynamisme pour un pays. De la plus petite à la plus grande, elles participent toutes à la création de valeur, à l’innovation et aux échanges nationaux et internationaux. La mondialisation permet la facilitation des échanges. Le monde devient alors un véritable champ d’opportunités pour nos entreprises, à condition qu’on leur permette d’être flexible, réactive et innovante.

Tout d’abord, créer et développer son entreprise en Frôce n’est pas une mince affaire. L’impôt sur le Bénéfice des Sociétés au niveau fédéral ou encore la taxe professionnelle au niveau provincial sont autant de boulets fixées au pied des entrepreneurs. Cet impôt et cette taxe sont un véritable fardeau qui freine la croissance des entreprises.

Aujourd’hui, la fiscalité sur le patrimoine et sa transmission pénalisent également l’initiative et le succès. Les droits de successions, l’ISF et les taux d’imposition actuels constituent à l’heure actuelle de véritables incitations à fuir la Frôce afin d’aller développer son entreprise ou son capital dans un environnement moins hostile. Les socialistes ne comprendront jamais qu’en agissant de la sorte, ils font fuir la création de richesse ainsi que les emplois.

Nous devons libérer les énergies et faire sauter un certain nombre de verrous. Le rôle d’un responsable politique n’est pas de s’immiscer dans la vie des entreprises mais plutôt de favoriser un bon environnement économique en offrant aux différents acteurs un cadre ouvert et clair.

Le PLC est la seule formation politique ayant conscience de la situation.

C’est la raison pour laquelle, au niveau fédéral, nous souhaitons supprimer l'impôt sur les successions, la TCPP, la Contribution de Solidarité Publique, l'impôt sur le Bénéfice des Sociétés et l'impôt de Solidarité sur la Fortune.
Au niveau de la Province, nous envisageons de supprimer l'Impôt sur le revenu, la taxe sur les circuits longs de distribution, la taxe provinciale sur les produits pétroliers, la taxe sur les ordures ménagères, la taxe professionnelle, la taxe sur la propriété immobilière et la taxe sur les établissements bancaires.
Tous ces impôts et taxes seront remplacés par une unique taxe sur la vente de 23 % (Fair Tax).

Nous voulons également rendre le travail plus flexible en supprimant le cadre actuel des CDI, CDD et multiples autres contrats préformatés pour les remplacer par un nouveau cadre de contrat, aux grands principes simples et clairs. La grande souplesse juridique du cadre que nous proposons permettra de fixer contractuellement tous les aspects du poste : temps de travail, durée des congés payés, modalités de licenciement et d'indemnisation le cas échéant, formation prévue, etc.

Nous désirons également libérer le travail en supprimant la durée légale du temps de travail fixé à l'heure actuelle à 36 heures hebdomadaires. Le temps de travail devra être librement négocié entre l'employeur et l'employé par contrat.

Notre volonté de remplacer le système de retraite par répartition actuel par l'instauration d'un régime de retraite par capitalisation donnera aussi naissance à des fonds de pension et à une épargne importante pour recapitaliser nos entreprises.

Moins d’impôts, plus de libertés et de flexibilités, le PLC est clairement le meilleur allié des entrepreneurs afin de faire de la Frôce un environnement dynamique générateur de richesses.

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Eduardo Belfort
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Eduardo Belfort »

Éditorial d'Eduardo Belfort (PLC) pour Terre de Foi (journal chrétien) :

En tant que libéraux-conservateurs, nous défendons la culture et les racines judéo-chrétiennes de la Frôce ainsi que deux principes fondamentaux : la famille et la vie. Ces trois éléments constituent le socle de nos valeurs pour la société frôceuse.

La chrétienté a laissé à la Frôce un magnifique héritage de civilisation et de culture. C’est notre histoire, ce sont nos valeurs et c’est la raison pour laquelle je suis pour l'inscription de nos racines judéo-chrétiennes dans la Constitution.

Dans cette période de crise culturelle en Europe, il est primordial pour la Frôce de prendre le contrepied de la déchristianisation. Ces valeurs ne doivent pas se dissoudre et nous devons mettre un terme au grand remplacement qui est en train de s’opérer chaque jour avec la complicité des forces politiques de gauche. Ces traitres à notre héritage tente de détruire nos racines judéo-chrétiennes en détournant la laïcité pour en faire un athéisme d’Etat, de façon totalitaire, avec une exception tout de même à ce laïcisme aigu : l’islam.

Il est capitale pour la survie de notre culture de préserver notre patrimoine religieux, de contrôler notre immigration et de limiter au maximum l’arrivée de populations aux mœurs incompatibles avec les nôtres.

Nous défendons également la famille. Ainsi, nous voulons redéfinir le mariage comme étant l'union entre un homme et une femme, quitte à transformer les mariages entre couples de même sexe déjà contractés en contrat d'union civile. Nous interdirons également les adoptions par les couples homosexuels car l’enfant a besoin d’un père et d’une mère pour se construire.
Certaines études indiquent clairement que l’expérience sociale du soit disant “mariage” homosexuel ne fait rien d'autre que des dommages graves aux enfants. Ces derniers, élevés par des parents homosexuels, ont beaucoup plus de problèmes sociaux et de santé mentale par rapport aux enfants issus de familles traditionnelles. Certaines recherches ont même démontrées qu'il y avait une différence majeure entre les enfants des deux groupes, mais aussi que l'instabilité familiale était une marque caractéristique des relations homosexuelles.

Je refuse que les erreurs sociales menées actuellement pèsent plus longtemps sur les épaules de nos enfants. Ils sont directement les victimes innocentes d’une expérimentation sociale inepte.

Au PLC, nous défendons également la vie. Ainsi, nous sommes profondément opposé à l’euthanasie ainsi qu’à l’avortement, sauf dans les cas où la vie de la mère est en danger.
La plupart des gens disent que l’avortement est le « choix de la femme ». Or, il n’en est rien puisque la vie commence dès la conception. Un nouvel être est alors créé et son corps lui appartient. Il s’agit du droit de l’enfant à naître et rien d’autre. L’avortement n’est pas un droit, mais un crime.

Dans le même état d’esprit, nous refusons la GPA, qui est une pratique intolérable de commercialisation des êtres humains et de marchandisation du corps des femmes. La PMA devrait quant à elle être réservée aux couples hétérosexuels infertiles.

Toutes ces mesures seront appliquées si Dieu le veut. Lors de cette campagne, je vais me tourner vers Dieu à chaque jour pour demander de me guider et de me donner le courage de faire le bien.

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Eduardo Belfort
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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Eduardo Belfort »

Éditorial d'Eduardo Belfort (PLC) pour Le Pays (journal nationaliste) :

La politique menée par le gouvernement sortant a été catastrophique à plus d’un titre. En temps que libéraux-conservateurs, nous sommes en faveur d'un État fort, mais limité à ses fonctions régaliennes. Or, nous avons assisté à un désengagement massif de l'Etat des questions régaliennes les plus fondamentales ainsi qu’à une perte de puissance de l'État frôceux sur le pays. Les renoncements successifs de la part des élites frôceuses ont amorcé le déclin progressif de la Frôce.

En matière d’immigration par exemple, il n’est pas concevable de maintenir la suppression des contrôles migratoires aux frontières. Nous le savons, des terroristes islamistes s’infiltrent au travers des flux de migrants, c’est la raison pour laquelle le premier moyen pour limiter le danger du terrorisme islamique, c’est de retrouver nos frontières nationales en rétablissant de sérieux contrôles.
Nous devons savoir qui entre chez nous et qui s’y trouve. La sécurité des frôceux est l’une des priorités du Parti Libéral Conservateur. C’est pourquoi nous envisageons de suspendre jusqu'à nouvel ordre l'immigration en provenance de régions du monde ayant un passé avéré de terrorisme et de lutter contre l'immigration illégale par tous les moyens.

Cela fait des années que les gauchistes nous expliquent que l’immigration est une chance pour la Frôce et cela n’est pas vrai. La réalité est que l’immigration participe à la déstabilisation massive de notre pays au niveau économique et culturel. Si nous continuons à prendre en charge toute la misère du monde, c’est notre civilisation occidentale qui va disparaître.

Pour autant, nous ne sommes pas fermés à l’idée d’une immigration raisonnable et choisie. C’est la raison pour laquelle nous élaborerons une liste de pays (Europe, Amérique du Nord), culturellement proches, dont les ressortissants auraient la priorité pour immigrer dans notre pays, tout en ayant un droit de regard sur le casier judiciaire de toute personne souhaitant entrer en Frôce.

Concernant la nationalité frôceuse, nous pensons au PLC qu’elle s’hérite ou se mérite. La première des conditions pour devenir frôceux est d’aimer la Frôce et d’être accepté comme citoyen.
C’est pourquoi, dans un premier temps, nous sommes pour la suppression du droit du sol. Dans un deuxième temps, nous souhaitons renforcer les conditions nécessaires pour l'obtention de la nationalité frôceuse.

De plus, un serment d'allégeance à la Frôce sera mis en place. Le demandeur devra jurer allégeance à la Constitution et obéir aux lois, il devra renoncer à la loyauté envers son pays et/ou à un titre étranger et devra porter les armes ou servir le gouvernement frôceux si besoin est.

J’en terminerai en mettant en avant le fait que la préférence nationale s’appliquera à tous les frôceux. En Frôce, un frôceux doit être prioritaire dans son accès au logement, à l’emploi, etc. C’est une mesure qui est d’ailleurs appliquée dans beaucoup d’autres pays européens et extra-européens sans que cela ne choque personne car il s’agit d’une simple mesure de bon sens.

Le PLC est le seul parti à envisager de prendre les seules mesures qui vaillent afin d’assurer la sécurité de tous les frôceux ainsi que la sauvegarde de notre civilisation.

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Re: Elections générales 90 : Editos - Transalpie

Message par Karl Lacroix-Hanke »

Transalpie - La Libre Entreprise (journal patronal) :

La Transalpie est une terre d'entreprise, un véritable vivier au fort potentiel. J'en ai l'intime conviction. Notre province occupe une place stratégique, à la croisée du sud de l'Europe. Elle abrite notre capitale, Aspen, et ses milliers d'opportunités. Elle est dynamique et solide.

Bien souvent, gauche et droite veulent opposer l'entreprise aux ouvriers. La richesse à la pauvreté. Le travail à l'assistanat. N'importe quel patron sait que le monde et le quotidien ne sont pas binaires. Nous ne sommes plus dans une monde d'opposition entre deux pôles politiques, mais dans un monde de complémentarité. La vérité, c'est que l'ouvrier est l'outil de la réussite du patron. Et le patron, l'instrument de l'émancipation de l'ouvrier. Il n'y a pas deux adversaires en lutte perpétuelle mais deux partenaires en recherche constante d'évolution.

L'ADF-H a toujours défendu une vision apaisée du monde de l'entreprise et du travail. Nous pensons que les forces vives qui l'animent ne doivent pas être soumise à un prisme politique, mais qu'elles doivent être canalisées pour répondre aux réalités. D'un côté, les libéraux, qui pensent offrir la liberté à tous, en affaiblissant les droits des travailleurs, alors qu'ils ne font qu'accentuer la haine contre le patronat. De l'autre, les socialistes, avec leur vision étriquée. Patron = pourri, tel est leur credo. Ils contribuent à la haine contre le patronat.

Libéralisme et socialisme s'auto-alimentent, dans un cercle vicieux. C'est à qui construire la pire modèle susceptible de dresser les uns contre les autres. Las !
Las de ce système inefficace et vétuste. Osons, pour la première fois, réconcilier les acteurs économiques de notre pays.

Je sais ce que cela fait, de se lancer dans une entreprise. Il faut beaucoup de courage et de patience. Tout part d'un rêve, d'une envie d'apporter quelque chose à son pays. C'est comme construire sa propre maison. On s'y investit, on dépense, on consolide, on voit les murs grandir, on met du coeur à l'ouvrage. Être patron, c'est avant tout être un travailleur. Il faut casser les préjugés. Non, ce ne sont pas des profiteurs qui exploitent leurs ouvriers pour s'en mettre plein les poches. Un patron paiera toujours ses ouvriers avant d'encaisser sa rémunération.

Et il devra parfois faire des choix pour sauver son oeuvre, pour la faire perdurer. Il devra faire face à des hauts et à des bas. L'entreprenariat est un moteur pour nous tous. Valorisons-le et faisons en sorte de mener une politique économique et sociale, juste et équitable. Adaptons-nous aux réalités du terrain, loin des carcans idéologiques qui tentent de scinder l'opinion.

Une troisième voie est possible, celle de la confiance, de la raison. Nous avons le potentiel de mener à bien une véritable action utile à la Frôce, en consacrant l'effort de l'état à la réussite de nos entreprises. Car à l'intérieur de chacun se cache un vrai trésor : des emplois, des savoir-faires, de l'innovation, du génie. En chacune, sommeille la réussite.

Faisons un pari ! Faisons le choix d'un centrisme équilibré, qui laisse des coudées franches à notre économie tout en assurant à chaque citoyen, un modèle social optimal. C'est possible, sans bolchévisme, sans anarchisme. Simplement en gardant à l'esprit que nous voyageons tous sur le même paquebot !
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