+ J’étais l’invité durant la matinée de l’hebdomadaire satirique frôceux « La Colombe enchaînée » en compagnie du journaliste, Eric Horeau, avec lequel j’ai eu l’occasion de revenir sur ma récente adhésion à l’UPP ainsi que sur les dernières actualités en date. Retrouvez un extrait de mon intervention ci-dessous.
Comment expliquez-vous votre départ du parti politique, Les Démocrates ?
La vision de ce parti politique est incompatible avec la mienne et sans vouloir faire de la langue de bois, il était impératif de renoncer à vouloir prendre part à un projet politique qui à mon sens est impulsé par des personnes encore loin des réalités politiques. Les volontés politiques de ses dites personnes ont poussé à l’implosion d’une structure politique qui a eu par le passé et qui avait encore aujourd’hui tout pour réussir en faisant référence là à l’ADF. Par ailleurs, Les Démocrates, est un projet politique qui ne reflète aucune objectivité et s’oppose totalement avec les valeurs qui sont les miennes. J’ai préféré quitter les rangs d’une formation politique qui à mon goût est désuète, inintéressante et responsable de la disparition d’une formation politique emblématique en Frôce.
Pourquoi avoir rejoint les rangs du Parti socialiste, l’Union Pour le Progrès ?
L’UPP est un parti politique très apprécié de la population frôceuse et une formation politique intéressante dont les valeurs qu’elle prône sont en totale adéquation avec les miennes. Je l’avoue, j’ai été lors du début de mon engagement très sollicité au centre avec en plus pour mentor en politique, Erce Washington, un ancien homme politique de droite et plus précisément du centre droit. Ma récente adhésion à l’UPP a été une décision longuement réfléchie qui a valu un retrait temporaire de la politique d’environ 1 an. Tout ce temps, m’a permis de réfléchir à l’orientation de mon engagement politique et de faire un brainstorming des nombreuses difficultés que traverse notre pays actuellement. Ce temps m’a permis de reprendre mes marques, je suis en effet un grand admirateur de Michel Rocard, un réformiste assumé avec des idées toujours nouvelles et animé par le sort de la planète et de la destinée humaine. J’aspire à devenir un rocardien à la frôceuse beaucoup plus visionnaire et moderne. Cette aspiration justifie donc mon adhésion à l’UPP toutefois, je souhaite rester passionné, engagé, lucide et optimiste. Par ailleurs, je souhaite redorer l’image du socialisme en Frôce et j’espère pouvoir le faire avec l’ensemble des membres de mon parti.
Que pensez-vous du départ précipité du ministre fédéral, Julien Citron, du gouvernement Ansaldi I ?
C’est assez dommage, il reste pour moi un homme politique de conviction, très ambitieux et apprécié de la population. Son essor vers la fonction de ministre fédéral chargé des affaires économiques du pays, lui a permis de s’affirmer et de démontrer que les pensées économiques à gauche ne sont pas si désuètes et dépourvues de sens et de rationalité. Il peut être fier de lui. Bien sûr, ces nombreux dérapages comme il l’interprète sont pour ma part justifiée, il fait preuve de courage en s’opposant frontalement à certaines idées. Julien Citron est un homme politique qui sait exercer l’art de la politique. Prendre du recul en politique est souvent nécessaire et essentiel dans l’engagement politique de toutes personnalités. Je ne le regrette pas.
Que pensez-vous de Karl Lacroix-Hanke ?
C’est un homme politique rempli d’atouts avec lequel, j’ai eu beaucoup de chance de collaborer au sein des instances de l’ADF anciennement. Il a lui aussi quitté Les Démocrates pour créer son propre mouvement politique, il fait preuve de beaucoup d’audace et j’espère qu’il réussira. Je veux qu’il réussisse comme tout bon ami.
Vous êtes quelque peu réserver quant à la suite que vous donnerez à votre engagement politique, pourriez-vous nous en dire plus ?
Vous n'êtes pas sans savoir que l’UPP se lancera sans doute dans la course pour les élections générales afin de non pas seulement les remporter, mais continuer à défendre les intérêts de la population et de notre pays. Quant à mon engagement, j’irais là où le vent m’emmènera. Je suis jeune, ambitieux, audacieux et motivé à défendre les bienfaits du socialisme et les intérêts de la population tout entière.
A.L