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1. Je vous mets au défi de trouver une ville de métropole de plus de 100 000 habitants qui pratique un niveau de taxe d’habitation aussi bas.
2. À titre de comparaison, chez notre voisin espagnol, la taxe d’habitation annuelle uniforme peut aller jusqu’à 175% du loyer mensuel ; 100% chez notre voisin français. Et AUCUNE exonération pour les ménages modestes hormis des abattements similaires à ceux fixés à Aspen.
3. Ce que vous oubliez de dire, c’est que la taxe d’habitation contribue grandement au financement de l’offre sociale d’une municipalité. À Aspen, nous investirons 80% de l’argent récolté via la taxe d’habitation dans la rénovation du parc social du ressort de la ville et dans le développement des maisons de santé d’arrondissement, dans les centres sociaux de quartiers.
4. Petit exemple pour démontrer l’absurdité de votre propos : un ménage modeste bénéficiant d’un logement social dont le loyer hors charges est de 400 Plz (moyenne municipale pour un logement social de 50 m² à Aspen) paiera une taxe d’habitation de 200 Plz par an, ce qui mensualisé représente moins de 17 Plz par mois.
5. On ne compare pas des choux et des carottes, vous confondez dépenses et revenus.
6. Le niveau fixé pour la taxe d’habitation est tout à fait équitable du fait de sa progressivité. Un ménage qui a les moyens de se payer un logement à 800 Plz par mois n’est jamais un ménage modeste. Il paiera une taxe plus importante qu’un ménage modeste, ce qui me parait tout à fait légitime.
Vous voyez, le pragmatisme et la recherche d’équité sont la base d’un système d’imposition. Nous n’avons aucune leçon à recevoir de la gauche en la matière et encore moins de la part d’un maire qui n’a pas de problème de taxe d’habitation à régler. Forcément, chez vous chacun construit sa cabane et en est le propriétaire.
Argument fallacieux, comme toujours avec le simple d’esprit que vous êtes :Valentin Ravolo a écrit : Pour les ménages modestes, le logement c'est 24 % des dépenses. Votre taxe, c'est donc prendre 12 % des revenus des pauvres, à moins qu'ils ne fassent beaucoup d'enfants pour bénéficier des vos abattements.
Si vous appelez ça être une amie des classes populaires, elles n'ont plus besoin d'ennemi.
1. Je vous mets au défi de trouver une ville de métropole de plus de 100 000 habitants qui pratique un niveau de taxe d’habitation aussi bas.
2. À titre de comparaison, chez notre voisin espagnol, la taxe d’habitation annuelle uniforme peut aller jusqu’à 175% du loyer mensuel ; 100% chez notre voisin français. Et AUCUNE exonération pour les ménages modestes hormis des abattements similaires à ceux fixés à Aspen.
3. Ce que vous oubliez de dire, c’est que la taxe d’habitation contribue grandement au financement de l’offre sociale d’une municipalité. À Aspen, nous investirons 80% de l’argent récolté via la taxe d’habitation dans la rénovation du parc social du ressort de la ville et dans le développement des maisons de santé d’arrondissement, dans les centres sociaux de quartiers.
4. Petit exemple pour démontrer l’absurdité de votre propos : un ménage modeste bénéficiant d’un logement social dont le loyer hors charges est de 400 Plz (moyenne municipale pour un logement social de 50 m² à Aspen) paiera une taxe d’habitation de 200 Plz par an, ce qui mensualisé représente moins de 17 Plz par mois.
5. On ne compare pas des choux et des carottes, vous confondez dépenses et revenus.
6. Le niveau fixé pour la taxe d’habitation est tout à fait équitable du fait de sa progressivité. Un ménage qui a les moyens de se payer un logement à 800 Plz par mois n’est jamais un ménage modeste. Il paiera une taxe plus importante qu’un ménage modeste, ce qui me parait tout à fait légitime.
Vous voyez, le pragmatisme et la recherche d’équité sont la base d’un système d’imposition. Nous n’avons aucune leçon à recevoir de la gauche en la matière et encore moins de la part d’un maire qui n’a pas de problème de taxe d’habitation à régler. Forcément, chez vous chacun construit sa cabane et en est le propriétaire.
