+TPLMOfficial

[Aritz Alves Alarcón]

+   @JulienCitron : avoir fait du tourisme deux mois par an à Etchegorda quand vous étiez jeune ne vous rendra pas plus légitime aux yeux de ses habitants. Le tourisme de masse, c'est le mal, dixit +VictorKarlsson.

Quant à notre bilan, vous avez été incapable il y a quelques jours de démontrer en quoi il est mauvais. Ce qui signifie qu'il est finalement plutôt bon.

En politique, il ne suffit pas d'affirmer pour être entendu, il faut savoir être cohérent. Et à ce niveau-là, la route est encore longue pour votre formation et vous-même.

[Aritz Alves Alarcón]

+   @VictorKarlsson : sa famille oui, lui non. Ne faites pas semblant de ne pas comprendre, bien que le pragmatisme ne soit pas le fort de l'UPP.

Ce n'est pas parce-que mamie possède une maison à Etchegorda que le petit-fils est automatiquement etchegordien.

En voulant venir en aide à votre camarade, vous l'enfoncez encore davantage et vous avec.

[Aritz Alves Alarcón]

+   @JulienCitron : disons que la manière dont vous tentez de justifier votre parachutage prête à sourire, et il est de ma liberté de l'exprimer. Mais je vous le concède, le ridicule ne tue pas.

[Aritz Alves Alarcón]

+   @VictorKarlsson : Julia Blum est implantée à Antsiranana depuis bien longtemps, et contrairement à votre camarade +JulienCitron, elle n'a jamais crié son amour pour une autre province auparavant.

[Aritz Alves Alarcón]

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Lancement officiel de ma seconde élection municipale aujourd'hui ! C'est entouré de mes amis, de mes militants et de plusieurs dizaines d'habitants de la ville que j'ai partagé un moment convivial autour d'une bonne grillade. Nous avons beaucoup échangé ensemble, et le constat est clair : il y a eu beaucoup d'avancées durant mon premier mandat à la tête de San Juán.

Éducation, vie citoyenne, loisirs, tourisme : autant de secteurs qui ont eu la part belle durant mon activité en tant que maire. Mais nous sommes encore loin de la ville parfaite à mon sens. De nombreux projets doivent encore voir le jour, et j'espère sincèrement que les habitants de la ville me réitéreront leur confiance pour les mener à bien.

Je suis également satisfait de constater le fort succès du Conseil Citoyen, que j'avais instaurée en lieu et place du Conseil Municipal pour rendre les décisions de la majorité plus respectueuses de l'opinion des habitants. Des centaines de personnes sont venues lors des diverses séances de ce conseil pour contribuer à la vie municipale, et je les en remercie !

[Aritz Alves Alarcón]

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En visite dans le plus grand sex shop de la ville ce matin, j'ai eu l'occasion de découvrir plus profondément l'éventail de l'offre d'une telle boutique. Après la création du cinéma pornographique 3D il y a quelques mois, San Juán souhaite vraiment devenir une place forte de la culture délurée et pornographique de Frôce.

Si je suis reconduit à la tête de la ville, je proposerai au Conseil Citoyen un projet de création d'un Festival International de la Pornographie. Organisé annuellement, ce dernier aura pour but de réunir les plus grands acteurs de cet univers et de promouvoir cette culture, encore méconnue du fait des tabous liberticides qui pèsent sur elle, auprès de la population.

En ce sens, il faut reconnaître que la politique menée par Anastasia Mendoza-Ojeda a permis de briser les plus grands verrous religieux ou conservateurs qui censuraient jusqu'alors cet art. En matière de culture, ce n'est ni à l'État, ni aux provinces de décider à la place des citoyens libres ce qu'ils doivent apprécier ou non.

[Aritz Alves Alarcón]

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Visite en fin d'après-midi du commissariat central de San Juán. Lors de ma précédente campagne, je m'étais déjà rendu ici pour expliquer le projet, souvent caricaturé par les conservateurs étatistes, des Libertariens en matière de sécurité. J'ai pu constater aujourd'hui que les mentalités ont beaucoup évolué et que globalement, les Policiers sont beaucoup plus réceptifs aux idées libertariennes.

Durant mon mandat, j'ai redonné confiance aux habitants et aux touristes en la Police Urbaine, dont l'action depuis des décennies était ici avant tout punitive. La création de la brigade rollers, instaurant beaucoup plus de proximité entre les habitants et les policiers dans l'espace public, y a beaucoup contribué.

J'ai à nouveau affirmé aux Policiers que je ne les oublierai pas. J'ai de nombreuses idées en tête pour poursuivre ce regain d'une confiance mutuelle entre citoyens et habitants. Ma mesure phare sera celle d'imposer à la Police Urbaine une nouvelle tenue. Cette dernière sera sexy, courte et en partie faite de cuir, tant pour les hommes que pour les femmes. L'objectif est de rendre la Police beaucoup plus attirante et agréable en l'associant à l'image positive de l'érotisme, et donc à réduire les incivilités envers les agents. Les citoyens de San Juán ne doivent pas avoir peur de la Police. Un exemple de costume envisagé :

[Aritz Alves Alarcón]

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Ce soir, j'ai eu l'opportunité de me rendre, dans le cadre de ma campagne, à Cannaweed Shop. Il s'agit de la toute première boutique de cannabis ouverte à San Juán consécutivement à l'excellente loi Mendoza-Ojeda portant à dépénalisation du cannabis.

Jusqu'alors non amateur de ce produit, j'ai pu découvrir l'existence de nombreuses variétés de weed, dont les prix peuvent varier du simple au double. La boutique Cannaweed Shop, installée sur le Front de Mer, a créé un indéniable bassin de passage durant l'été, contribuant donc directement à la fréquentation du lieu le plus important de la ville.

Si je suis réélu maire, je mettrai en place une prime municipale cannabique à destination de tous les habitants majeurs de la ville, sans exception. Cette prime, dont le montant sera fixé à 20 Pluzins par mois, servira à promouvoir le cannabis et ses bienfaits, tant médicinaux que psychotropes. Indirectement, l'objectif sera aussi celui de réduire la consommation de tabac au profit du cannabis dans l'espace public.

[Aritz Alves Alarcón]

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Aujourd'hui, pas de campagne terrain. Grosse séance de "chill" avec quelques proches et mes militants les plus investis. Parfois, il faut savoir apprécier la vie et les choses simples sans se fixer d'objectif. Tournicoter dans la ville pour faire de fausses promesses, c'est ce qu'il y a de pire. Je laisse cette entourloupe aux politicards chevronnés.

Si je n'ai pas beaucoup de choses à faire durant cette campagne, c'est car de nombreuses choses ont été améliorées durant mon premier mandat. San Juán est aujourd'hui une ville saine, épanouie et dynamique. Alors désormais, je souhaite que les habitants apprennent à penser à eux-mêmes avant tout. Non, l'individualisme ce n'est pas le mal, au contraire : on sert mieux les autres quand on sait se servir soi-même.

Durant le mandat à venir - si je suis élu - une large promotion sera faite aux plaisirs de la vie. Je pense au cannabis et au sexe, notamment. Des éléments qui font que la vie est agréable et mérite d'être vécue. Nous nous affranchirons des vieilles morales, ici c'est San Juán et on fait ce qu'on veut.

[Aritz Alves Alarcón]

+   J'annonce officiellement ma décision de quitter le Rassemblement Pour la Liberté.

Quand nous avons rejoint le parti avec Alba, nous pensions contribuer à la promotion des idées libertariennes en Frôce, où elles sont encore marginales. Nous avons échoué et j'estime aujourd'hui qu'en tant que Libertarien, je n'ai plus ma place au sein du mouvement.

Le RPL est progressivement devenu un parti à dominante libérale classique - dont j'assimilerais volontiers la ligne à l'École de Manchester - et dont les convictions sont trop éloignées de la philosophie libertarienne. Aujourd'hui, il s'agit d'un parti qui pourrait prétendre au rôle de satellite du PLC, ce que je déplore. Je me sens à des années lumières du réactionnisme du PLC, et de ses cadres xénophobes qui poursuivent des ambitions d'amenuisement des libertés individuelles au sein d'un idéal étatiste sécuritaire.

J'estime être plus proche philosophiquement de la CUL que du PLC ou de la droite frôceuse en général. Je prends donc dès à présent un nouveau chemin. Mes idées primeront toujours sur les opportunités électorales.